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LES TRIBULATIONS D'UN DECOUVREUR NON ... - Amessi

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manière circonstancielle au niveau du foie permirent à des centaines de personnescouchées très tard après avoir dépassé le stade anodin de la chaleur communicative desbanquets, de se réveiller sans éprouver la sensation très désagréable d'avoir mal auxcheveux.Mais il existe une affection du foie beaucoup plus grave : la cirrhose. Habitant la régionde Sauternes, j'étais habitué à côtoyer beaucoup de ces cas.Quelques-uns, sans être ivres tous les soirs, avaient tendance à consommer voire àabuser de ces vins délicieux qui ne sont pas simplement des mélanges hydro-alcooliquesplus ou moins édulcorés. En plus de la juste harmonie entre l'alcool et la liqueur, il ya lebouquet.De même que " la culture est ce qui reste quand on a tout oublié ", de même lebouquet, le retour d'un vin de Sauternes est ce qui reste quand on a tout dégusté.Beaucoup de ces personnes observaient, au bout de plusieurs années, des troublescertains et les médecins consultés diagnostiquaient une cirrhose du foie.L'une des analyses pratiquées sur ces malades est la teneur en cholestérol. Lesmalades que je côtoyais avaient en général 0,8 grammes de cholestérol (la teneurnormale est de 2 grammes par litre environ). Lorsqu'elles mettaient du D.N.R. encompresse sur le foie huit à douze heures par jour, ils observaient en général, au boutd'un à deux mois que la teneur en cholestérol de leur sang était entre 1,6 et 1,8 grammeau litre. Ceux qui étaient guéris étaient en général reconnaissants.Les médecins n'avaient pas du tout la même attitude. L'un d'eux se bornait à fairepratiquer des analyses tous les quinze jours. Quand le malade disparaissait, il disait à lafamille : " C'était grave ; je vous l'avais bien dit ! " Quand, grâce au D.N.R., le maladeguérissait, il déclarait : " Arrêtez les analyses. C'est encore un cas de guérison spontanéede la cirrhose, comme j'en ai déjà observé ! "Avec le D.N.R., j'ai peut-être permis à beaucoup d'anciens cirrhotiques de reprendreleurs libations coupables.Mais à leur adresse, dès le quatrième siècle Ausone disait déjà : " On n'est jamais sibien cuit que par un bon cru."- 4 -GYNECOLOGIE ET PODOLOGIEDepuis de nombreuses années, je rencontrais à intervalles réguliers un gynécologueenthousiaste s'intéressant à la recherche et à la santé de ses patientes, le docteurLévrier.Ce fut monsieur P. Créach, professeur à la faculté des sciences de Bordeaux qui me lefit connaître. Le professeur Créach est un érudit, une véritable encyclopédie desconnaissances de son temps, tant dans sa discipline, la nutrition, que dans de trèsnombreux autres domaines. Dès que je lui parlai du D.N.R. et de ses premièresapplications en cardiologie, il s'empressa de faire profiter ses parents et ses voisins de madécouverte. Il l'utilisa ensuite dans beaucoup d'autres domaines à mesure que noustrouvions de nouvelles applications (rhumatismes, sinusites, lithiases biliaires, etc.).Cet esprit curieux s'intéressa aux aspects biologiques du processus d'action du D.N.R.Il fit même rayonner ce produit dans les milieux scientifiques nationaux. Il trouva autantd'obstacles que les chimistes de Toulouse, Montpellier, Lyon et Marseille qui essayèrentde faire expérimenter le D.N.R. dans les hôpitaux de leurs villes universitaires respectives.Néanmoins, il réussit à intéresser le docteur Lévrier qui trouva en gynécologie uneapplication inattendue : le traitement des mastoses. Beaucoup de femmes - la moitié aumoins d'après les statistiques - sont sujettes aux mastoses qui sont en général desgrosseurs sur les seins et autour de ceux-ci. Dues à un dérèglement hormonal, ellesrésistent aux traitements classiques, même ceux à base d'hormones, dangereux desurcroît.Psychologiquement, les femmes sont très affectées, car elles sont hantées par le

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