Politiquecommunautaire de la Font de Rouve”(comme elle se nommait elle-même)bénéf<strong>ici</strong>a de deux articles dans Le Mondeau mom<strong>en</strong>t même où l’av<strong>en</strong>ture s’arrêtait.La communauté s’est heurtée p<strong>en</strong>danttoute son exist<strong>en</strong>ce à des problèmes delégalité : comm<strong>en</strong>t m<strong>en</strong>er une expéri<strong>en</strong>cealternative au système dominant quandcelui-ci impose un grand nombre derègles contraignantes ? L’expérim<strong>en</strong>tationsociale sera très rapidem<strong>en</strong>t l’objetd’accusations de travail au noir qui <strong>en</strong>traînerala décision de pr<strong>en</strong>dre des statutsoff<strong>ici</strong>els d’emplois aidés. C’était le doigtdans un <strong>en</strong>gr<strong>en</strong>age administratif et financierdont le groupe ne se relèvera pas. En1985, il faut pr<strong>en</strong>dre une décision douloureuse: la ferme et les onze hectaresqui l’<strong>en</strong>tour<strong>en</strong>t sont v<strong>en</strong>dus pour effacerles dettes qui se sont accumulées. Jean-Claude Besson-Girard, repr<strong>en</strong>d ses pinceauxet son chevalet avec l’énergie dudésespoir. Il fera, à Paris, une expositionpersonnelle <strong>en</strong> 1987 après vingt ans de“grève” ! C’est un succès qui lui permetde p<strong>en</strong>ser qu’il pourra vivre désormais desa peinture. Entre temps, il s’est réinstallédans un petit village du Vaucluse : àLourmarin, <strong>en</strong> voisin de son ami R<strong>en</strong>éChar qu’il connaît depuis 1964.Décroissanced’aujourd’huiP<strong>en</strong>dant plusieurs années, il doit fairele deuil de son expéri<strong>en</strong>ce communautaire.Vi<strong>en</strong>t une nouvelle crise. Il voyage.Séjourne <strong>en</strong> Irlande p<strong>en</strong>dant sept mois :“C’est un pays pour écrire, pas pourpeindre” dira-t-il face aux paysages irlandaissi peu marqués par les activitéshumaines. Il essaie de s’installer à Paris,mais les loyers pour un atelier sont tropélevés, d’autant qu’une crise économiquetouche alors le milieu de l’art. En 1994, ilredesc<strong>en</strong>d dans le Vaucluse, à Malaucène,au pied du Mont V<strong>en</strong>toux. Il retrouve lalumière et les paysages qu’il a tant aimésdans sa jeunesse. Il installe son atelier aucœur du vieux village. R<strong>en</strong>once aux galerieset aux marchands et survit, bon anmal an, de la v<strong>en</strong>te de ses toiles, grâce, <strong>en</strong>particulier, à des collectionneurs newyorkaisqui lui achèt<strong>en</strong>t assez régulièrem<strong>en</strong>tdes toiles jusqu’aux att<strong>en</strong>tats deseptembre 2001.Son installation dans le Vaucluse où leFront national fait des cartons électorauxl’incite à refaire de la politique. Il adhèreaux Verts ce qui lui permet d’<strong>en</strong>trer dansles réseaux locaux. Avec eux, il lance des“cafés politiques” m<strong>en</strong>suels et repr<strong>en</strong>d saréflexion sur la notion de “pays” qu’ilavait comm<strong>en</strong>cée tr<strong>en</strong>te ans plus tôt dansles Cév<strong>en</strong>nes. Au plan national, il devi<strong>en</strong>t,p<strong>en</strong>dant deux ans, responsable de la commissionde la culture des Verts. Il est vitedéçu par les incessantes querelles de pouvoirqui agit<strong>en</strong>t le parti écologiste qu’ilquittera bi<strong>en</strong>tôt sans ri<strong>en</strong> perdre de sesconvictions. En 2001, il revoit PierreRabhi qui était son voisin dans les annéessoixante-dix. Il va sout<strong>en</strong>ir sa candidatureaux élections présid<strong>en</strong>tielles de 2002. Ilest son directeur de campagne et l’accompagne,à travers la France, dans de nombreusesréunions locales qui réuniss<strong>en</strong>tsouv<strong>en</strong>t plus de monde que les meetingsdu parti écologiste… Mais la candidatur<strong>en</strong>’aboutit pas. Pierre Rabhi n’obtint pas les500 signatures d’élus nécessaires.Si le mouvem<strong>en</strong>t qui s’est cristallisé unmom<strong>en</strong>t autour de cette candidature sedisperse par la suite, il a permis de tisserde nombreux li<strong>en</strong>s et révélé des affinités.Jean-Claude Besson-Girard se retrouvedans les équipes qui vont permettrel’émerg<strong>en</strong>ce du colloque sur la décroissance<strong>en</strong> septembre 2003 à Lyon. Avec sesamis de Casseurs de pub et ceux de la revueSil<strong>en</strong>ce, c’est, avant cela, la mémorablemanifestation du Larzac 2003, où sous ungrand chapiteau chauffé à blanc, tant parla canicule que par l’intérêt du millier depart<strong>ici</strong>pants à ce forum, la première manifestationpublique sur le thème de ladécroissance. Il devi<strong>en</strong>t membre duComité de rédaction du bimestriel LaDécroissance, et, <strong>en</strong> octobre 2005, toujoursà Lyon, il part<strong>ici</strong>pe au lancem<strong>en</strong>t des Étatsgénéraux de la décroissance équitable.Une revuede réflexionLa grande diversité des débats sur lacritique de la croissance l’a am<strong>en</strong>é à rappelerque le chemin pour aller vers ladécroissance ne passe pas seulem<strong>en</strong>t parune approche économique qui nousempêche de p<strong>en</strong>ser librem<strong>en</strong>t. Il convi<strong>en</strong>tde repartir de nos perceptions, de noss<strong>en</strong>sations, de nos émotions, de la rechercheesthétique (comprise comme lafaculté de s<strong>en</strong>tir), de développer une spiritualitélaïque s’appuyant sur la quête dus<strong>en</strong>s de l’av<strong>en</strong>ture humaine. Cetterecherche aboutira <strong>en</strong> 2005 à la publication,aux éditions Parangon, de son livreDecresc<strong>en</strong>do cantabile, préfacé par SergeLatouche (2).La notion de décroissance fait peur àbeaucoup, mais elle est facile à compr<strong>en</strong>dre: nous devons parv<strong>en</strong>ir à vivre <strong>en</strong>harmonie avec notre <strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tnaturel et humain, ce qui signifie qu’ilMarie Clem’sfaut cesser de piller les hommes et lanature, rev<strong>en</strong>ir à un niveau de consommationmatériel compatible avec les capacitésde régénération de la planète. Mais,une fois posée cette base de discussion,les moy<strong>en</strong>s sont multiples pour parv<strong>en</strong>ir àl’objectif désiré : tout est possible du souhaitable(autogestion re-localisée des ressources,<strong>en</strong>traide solidaire, anarchie bi<strong>en</strong>tempérée…) à l’haïssable (dirigisme autoritaire,éco-fascisme…). Constatant quele débat sur ces sujets a fait son chemindans l’opinion publique, grâce à LaDécroissance, et auprès des militants parSil<strong>en</strong>ce, Jean-Claude Besson-Girard peutmaint<strong>en</strong>ant repr<strong>en</strong>dre et poursuivre sonrêve d’adolesc<strong>en</strong>ce : la confrontationcréatrice <strong>en</strong>tre des intellectuels, desJean-Claude Besson-Girardsavants, des artistes, des alternatifs… <strong>en</strong>travaillant dans la durée autour de thèmesde recherche reliés <strong>en</strong>tre eux par le désirde décroissance. Pour cela, avec l’appuiincontournable de Serge Latouche, héritiermajeur des pionniers de la réflexionsur l’après-développem<strong>en</strong>t (Georgescu-Roeg<strong>en</strong>, Illich, Charbonneau, Partant,Ellul, Castoriadis…), il réunit des personnesinflu<strong>en</strong>tes dans la mouvance etprépare, avec un Comité de rédactionapproprié, la parution d’une publicationsemestrielle Entropia, revue d’étude théoriqueet politique de la décroissance. Le premiernuméro sera dans toutes les(bonnes) librairies, le 15 novembre 2006.Il aura pour thème c<strong>en</strong>tral “Décroissanceet politique” avec, parmi d’autres, desarticles de Serge Latouche, Jean-PaulBesset, François Brune, Bernard Guibert,Michel Dias …Michel Bernard ■(2) Dans son livre Decresc<strong>en</strong>do cantabile, Jean-ClaudeBesson-Girard constate, notamm<strong>en</strong>t, que l’échec desexpéri<strong>en</strong>ces alternatives provi<strong>en</strong>t du fait que le modèledominant sait se déf<strong>en</strong>dre contre toute forme dedissid<strong>en</strong>ce. Il propose donc qu’une des premièresrev<strong>en</strong>dications politiques que l’on doit avoir dans uneperspective de décroissance, c’est le droit à m<strong>en</strong>er desexpérim<strong>en</strong>tations sociales novatrices.SILENCE N°33942Octobre 2006
Entraidepubl<strong>ici</strong>té■ Chantier de fondations cyclopé<strong>en</strong>nespour maison bois/paille du 28 octobreau 4 novembre, sud-Ardèche. Nous hébergeonset logeons ceux qui veul<strong>en</strong>t donnerun coup de main. Tél : 04 75 36 87 26ou galouparis@yahoo.fr.■ Cherche bricoleuse-leur écologiquepour reconstruire une ruine, élaguerforêt, cultiver potager, monter panneauxsolaires, contre logem<strong>en</strong>t indép<strong>en</strong>dantet nourriture. Fédoroff, Le Rivage,34390 Olargues, tél : 06 23 28 92 99<strong>en</strong>tre 18 et 21 h, cielterre@yahoo.fr.■ Nous sommes des femmes à la retraite(55 à 63 ans). Nous avons été institutrice,infirmière, v<strong>en</strong>deuse, secrétaire, animatrice,femme au foyer… Nous avons vécu<strong>en</strong> couple, avons eu — ou non — des<strong>en</strong>fants. Nous réfléchissons <strong>en</strong>semble etcherchons des solutions concrètes pourvivre bi<strong>en</strong>, mieux cette situation —femme seule aujourd’hui — sur le planhumain, sur le plan économique. Si vousavez une expéri<strong>en</strong>ce dans ce domaine,<strong>en</strong>vie d’échanger, de partager, écriveznous,nous pourrions nous r<strong>en</strong>contrer.Claude Alibert, 13, route de Bayonne-Lilas, 64140 Billère.■ Donne livre de formation à distancebac STAE, sci<strong>en</strong>ce et technique de l’agricultureet de l’<strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>t, matières :espaces ruraux et société, agronomie,sci<strong>en</strong>ces naturelles… Formation CNPRde 2004-2005, disponibles à R<strong>en</strong>nes,tél : 02 99 59 66 84, demander Lucie.publ<strong>ici</strong>té17 e Salon de l’ÉcologieC<strong>en</strong>tre Équinoxe -La Tour-du-Pin (38)Dimanche 8 octobre2006 9h à 19hExpo – Confér<strong>en</strong>ces –Standscontact : 04 7 6 32 59 0 0■ Toscane : la récolte des olivesapproche… On va avoir besoin d’aide<strong>en</strong>tre le 20 octobre et la fin novembre !Qui a <strong>en</strong>vie de v<strong>en</strong>ir passer deux semaines<strong>en</strong> Toscane nous donner un coup de main,4 h par jour contre hébergem<strong>en</strong>t ?Appelez (plutôt le soir) Marco ouPatr<strong>ici</strong>a au 0039 0566 91 29 62 ou portable0039I 338 80 724 30. A bi<strong>en</strong>tôt.■ Vosges. Cherche sil<strong>en</strong>cieux(ses)dans le secteur d’Abreschwiller pouréchange idées, coup de main <strong>en</strong> écoconstruction,jardinage bio, solaire…Gaelle et Christophe,chrismathis@netcourrier.com,tél : 03 87 86 14 05.Vivre <strong>en</strong>semble■ Je loue une grande maison sur un hectarede terrain, au sud de l’Indre-et-Loire, <strong>en</strong> bordure d’une route pas tropfréqu<strong>en</strong>tée, et je souhaite partager le lieuet le loyer avec des personnes nonfumeuses,écolos et aimant les <strong>en</strong>fants. Jeprécise que je ne cherche pas à me mettre<strong>en</strong> couple. J’ai 30 ans et un <strong>en</strong>fant de 4ans, suis “féministe”, “écolo”, “libertaire”,“non-viol<strong>en</strong>te” (avec des guillemetstant la définition et la pratique destermes est variable), sur le chemin de lasimpl<strong>ici</strong>té volontaire, végétari<strong>en</strong>ne depuispeu. Il y a des chats, des poules, un potager-chantier,des arbres… A partagerpour un temps ou pour longtemps. Claire,tél : 02 47 94 51 38.■ “La Source” est un projet de communautévillageoise écologique qui regroupehuit personnes et 200k€ autour de lasolidarité, la non-viol<strong>en</strong>ce et l’ouvertureau spirituel (hors sectarismes). Notrevision est celle d’une coexist<strong>en</strong>ce heureuse<strong>en</strong>tre le collectif et l’individuel, avecun bâtim<strong>en</strong>t commun et des maisons individuellesbioclimatiques. Nous cherchonsactuellem<strong>en</strong>t un terrain <strong>en</strong> pleine nature,avec ou sans construction, dans un périmètreallant de Toulouse à Montpellier etPerpignan. Nous avons déjà repéré desdomaines correspondant à notrerecherche (30 ha, une source, des bâtim<strong>en</strong>tsexistants) dont le prix moy<strong>en</strong> estautour de 500 k€. Nous souhaiterionsmaint<strong>en</strong>ant r<strong>en</strong>contrer d’autres part<strong>en</strong>aires.Une vingtaine de personnes pourrai<strong>en</strong>tassurer <strong>en</strong>semble une dynamiqued’action cohér<strong>en</strong>te. Le projet n’est pasfigé et peut s’adapter aux besoins à v<strong>en</strong>ir.Contact : François Verlet, tél : 04 68 9405 21 ou f.verlet@club-internet.fr.R<strong>en</strong>contres■ 53 ans, recherche femme(s) autonome(s)et libertaire(s) ayant projet culturelet rural. Je possède bâtim<strong>en</strong>ts beauxet pas beaux qui peuv<strong>en</strong>t servir à barauberge,alter-natif ou autre. Ecrire àFrançois, Village Barrot, 63330 LeQuartier.?■ Alexis, 67 ans, habitant au cœur de laforêt de Brocéliande, végétari<strong>en</strong> , préférantl’action à la parlotte, cherche personnemilitante et très motivée pour s’<strong>en</strong>gager<strong>en</strong>semble dans l’écologie, la simpl<strong>ici</strong>tévolontaire, le social, la paix, la justice,la solidarité (animations, part<strong>ici</strong>pationavec stand à diverses manifestations).Tél : 02 99 07 87 83.Recherches■ Je cherche des infos (et contacts depréfér<strong>en</strong>ce <strong>en</strong> région parisi<strong>en</strong>ne) sur lesmédecines dites “alternatives” concernantl’asthme. Ma môman est confrontée auxdiscours culpabilisateurs et infantilisantde la médecine traditionnelle à la corticoïdeet j’aimerais lui ouvrir d’autrespistes vers la santé. Merci de me contacterau 04 78 30 79 18 ou noemiefoutoyet@no-log.org.■ Nord-Est. Je cherche des personnespouvant m’accueillir dans la région Nord-Est et me prés<strong>en</strong>ter des retraités (voisins,connaissances) pour effectuer unerecherche dans l’évolution des méthodesde culture et de jardinage. Je souhaiteaussi faire de l’art dans le paysage. Jepropose de travailler trois heures pasjour, je peux faire la cuisine. Je suis disponibleà partir du mois d’octobre 2006.H. Lozier, 75, rue des Droits-del’Homme,38950 Saint-Martin-le-Vinoux, tél : 04 76 75 27 49.■ Dans le cadre d’un projet agricole detransformation de fruits, je cherche touteinfo concernant le séchage artisanal, formations<strong>en</strong> France ou à l’étranger, exploitationssimilaires… Merci ! LineCharraud, hameau de Vinas,34700 Lodève, tél : 04 67 44 39 08.Emploi■ Homme, 38 ans, cherche stage avecchevaux. Je m’intéresse pour le travail àla méthode de Ned Leigh ou bi<strong>en</strong> au“natural horsmanship”. Tél : 0041 32426 1221.■ Les Ateliers de la Bergerette embauch<strong>en</strong>tun techn<strong>ici</strong><strong>en</strong> animateur de recyclerieayant des compét<strong>en</strong>ces <strong>en</strong> informatiqueet télévision. Temps plein <strong>en</strong> CDI.Un mi-temps consacré au tronc communde l’association : collecte des <strong>en</strong>combrants,accueil, v<strong>en</strong>tes. Un mi-tempsconsacré au tri, essai, diagnostic dumatériel informatique et télévision, configurationinformatique, réparations télévisionset magnétoscopes, gestion despièces détachées, estimation prix et étiquetage.Etre autonome et débrouillard,connaissances Linux, permis B nécessaire,aptitude au travail manuel et autravail <strong>en</strong> équipe. SMIC + 10 %.Ateliers de la Bergerette, 8, rue dela Bergerette, 60000 Beauvais,contact@ateliers-bergerette.org.Annonces■ RMIste, de septembre 2006 à juin2007, je vais réaliser un BTSA Gestionet protection de la nature, spécialité animationnature, <strong>en</strong> région Ile-de-France.Un stage pratique se déroulera <strong>en</strong>May<strong>en</strong>ne avec May<strong>en</strong>ne Nature <strong>en</strong>vironnem<strong>en</strong>tet concerne la réalisation d’unjardin écologique pédagogique. Je possèdepar ailleurs une formation de techn<strong>ici</strong><strong>en</strong><strong>en</strong> jardins et espaces verts, un certificat<strong>en</strong> agriculture biologique, un bac sci<strong>en</strong>tifique,un BEPA aménagem<strong>en</strong>t et <strong>en</strong>treti<strong>en</strong>des espaces naturels, le BAFA etBASE animation nature. Je cherche pouraprès un poste d’animateur nature surune ferme écologique pédagogique. Vouspouvez me contacter : Christian Pinçon,21, rue d’Avesnières, 53000 Laval,tél : 06 10 44 42 41,ch.ecosysteme@laposte.net.Logem<strong>en</strong>t■ Loue au mois, ou semaine, ou échangecontre m<strong>en</strong>us travaux, très jolie petiteyourte sur un terrain arboré <strong>en</strong> bordurede village <strong>en</strong> Cév<strong>en</strong>nes, pour personnedésirant expérim<strong>en</strong>ter la simpl<strong>ici</strong>té volontaireet un mode de vie et d’habitat écologiqueet naturel, ainsi que pour quiconquecherchant refuge et inspirationpour changer de vie et se ressourcer.Possibilité de part<strong>ici</strong>pation à la fabricationde yourtes, à la méditation, SNCFà 15 mn à pied. Prêt de vélo. Demeuresnomades, tél : 04 66 54 84 77.■ Dans hameau francomtois (Frettes,70600), v<strong>en</strong>dons maison avec eau etélectr<strong>ici</strong>té <strong>en</strong> cours de restauration avecmatériaux écologiques (laine de mouton,fil blindé, chaux). Possibilité 150 m 2 habitable+ atelier + cave voûtée, 800 m 2jardin arboré + 200 m 2 cour, 60 kmde Dijon et Besançon. 27 000 €.Tél : 06 62 03 80 51.publ<strong>ici</strong>téSILENCE N°33943Octobre 2006