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INGEntreprise - ING Belgium

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<strong><strong>ING</strong>Entreprise</strong>Rijndec veut des garanties de leur solidité et cesentreprises exigent, elles, une certitude quant aupaiement. La boucle est bouclée avec une importantebanque chinoise, garante des partenaires et jouissantde la confiance d’<strong>ING</strong>. Frank Heusdens: «Toutel’opération repose donc sur la collaboration entre unclient et sa banque et entre les banques ellesmêmes».Hugo Verschoren, Head of Corporate SalesTFS <strong>ING</strong> South-West Europe, ajoute: «La sécurité quetous les partenaires obtiennent ne sous-tend passeulement le financement, mais aussi bon nombred’autres services».«L’ÉTROITE COLLABORATION ENTRE UN CLIENT ET SABANQUE ET ENTRE LES BANQUES ELLES-MÊMES GARANTIT ÀTOUS LES PARTENAIRES DE NOMBREUX SERVICES, AU-DELÀDU FINANCEMENT», EXPLIQUE HUGO VERSCHOREN, HEADOF CORPORATE SALES TFS <strong>ING</strong> SOUTH-WEST EUROPE.avons construit des navires en Roumanie, Bulgarie,Hongrie, Russie, Ukraine... Pour une clientèle quicouvre petit à petit toute l’Europe, mais se composequand même essentiellement d’armateurs néerlandais,belges et allemands».DE LA CONFIANCEAUX GARANTIES<strong>ING</strong> a toujours été le banquier de Rijndec. La banquea vécu de près toute l’évolution du constructeur denavires. Ce lien et la connaissance de l’entreprisequi en découle ont fait naître une confiance réciproque.Theo Wennekes: «Dans ce deal, la confiancede la banque est cruciale. Ne fut-ce qu’au niveaude l’acompte conséquent dont le donneur d’ordredoit s’acquitter pour pareille commande. Cet argent,il entendra le récupérer, s’il s’avère que nous nepouvons pas respecter nos engagements, et il n’a decertitude que si notre banque se porte garante pournous».Selon Frank Heusdens, qui dirige l’équipe TFS d’<strong>ING</strong>,cet exemple illustre parfaitement l’éventail des servicesqu’<strong>ING</strong> peut proposer dans une transaction aussicomplexe, qui implique plusieurs parties, toutessoucieuses de se couvrir contre de gros risques.«Premièrement, la commande est tellement importanteque notre client ne peut pas se permettre decourir de risques sur le paiement final. Même s’ils’agit d’un donneur d’ordre qu’il connaît bien et enqui il a confiance, il va exiger des garanties de sabanque. Les documents nécessaires à leur octroinous permettent à notre tour de financer notre client.D’où le nom, générique, de crédit documentaire pource type de services financiers. Ces documents nousgarantissent que notre client va rembourser soncrédit s’il livre les bateaux.»RÉPERCUTER ET RÉDUIRELES RISQUESLe même scénario, mais avec des rôles inversés, sedéroule entre Rijndec et les hommes d’affaireschinois chargés de la construction des coques:DES SOLUTIONS SUR MESUREL’histoire de Rijndec est un exemple type de cequ’on appelle au TFS une transaction structurée,à savoir une transaction internationale complexe,qui implique de nombreux sous-traitants, dans différentspays ou même continents, et qui nécessitede régler, garantir et financer beaucoup de mouvementsd’import-export. Ces structured solutions neconstituent toutefois qu’une partie de l’offre de servicesTFS. En effet, il y a aussi des clients qui, chaquesemaine voire tous les jours, exportent une cargaisonà destination du même client. Hugo Verschoren: «Lesclients dont le flux des transactions est aussi réguliertravaillent également avec un crédit documentaire,mais nous procédons différemment. Les structuredsolutions consistent en des réponses très spécifiquesà des questions uniques. Concrètement, cela revientUne année mouvementéeLes membres de l’équipe TFS se souviendront longtempsde 2007 et de ses nombreux bouleversements: unetoute nouvelle structure au sein d’<strong>ING</strong> et un monde enébullition. «L’actualité internationale a été marquée parde nombreux développements géopolitiques, expliqueHugo Verschoren. Prenez l’Iran: les Nations Unies annonçaientà très court terme des règles totalement nouvellesà propos de ce pays. Du jour au lendemain, les banquesn’ont plus été autorisées à y aider leurs clients, alors quec’était possible jusque là. Cette situation est particulièrementdélicate, surtout si le client avait déjà expédié sesmarchandises entre-temps...»LA BIBLE DU CRÉDIT DOCUMENTAIREToujours au niveau international, une nouvelle version del’Uniform Customs & Practice for Documentary Credits aété élaborée. «Il s’agit de règles valables dans le mondeentier. Elles ont été profondément remaniées l’annéepassée, notamment avec l’aide de collaborateurs d’<strong>ING</strong>,explique Frank Heusdens. La nouvelle version s’appelleUCP600: c’est l’équivalent d’une bible pour ceux qui travaillentavec le crédit documentaire. Grâce à la nouvelle13structure TFS, nous avons pu informer nos clients rapidement,adéquatement et sans équivoque.»avril > mai 2008ing-entreprise.be # 183

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