« I believe I can fly », Lu<strong>de</strong>s Dans le parc centenaire <strong>du</strong> domaine Canard-Duchêne, le Danois Gleb Dusavitskiy a dressé <strong>de</strong>ux gigantesques ailes, séparées d’un espace vi<strong>de</strong> où le visiteur pourra s'installer et dire, comme le titre <strong>de</strong> l’œuvre, « J’y crois, je peux voler ». « Nouveau souffle », Épernay Le <strong>de</strong>signer rémois Vincent Rahir a réalisé cette baleine en <strong>de</strong>ux parties, en pancartes publicitaires recyclées, afin <strong>de</strong> mettre en valeur l'animal et le patrimoine géologique <strong>de</strong> la Champagne, recouvert d’une mer chau<strong>de</strong> il y a 40 millions d’années. Elle est visible dans le parc d’un hectare <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong> champagne Gosset, ouvert au public. « L’Inévitable retour à la terre », Monthelon Sur « les <strong>de</strong>moiselles », un espace haut dominant Monthelon, l’artiste globe-trotter Nell Stri<strong>de</strong> a sculpté une statue féminine en métal, tressée en fil <strong>de</strong> fer <strong>de</strong> vignes, qui tient un long drap, en voile <strong>de</strong> fer tressé également, la reliant à la terre. « Le Géant et la fée », Morangis Sur ce site offrant une vue imprenable sur la plaine, près <strong>de</strong>s champs, le vidéaste et sculpteur Charles Serruya, a<strong>de</strong>pte <strong>du</strong> fil <strong>de</strong> fer et <strong>de</strong>s ombres, a souhaité envoyer une étoile dans le ciel, via une fée et une colombe, symbole <strong>de</strong> paix, toutes les <strong>de</strong>ux posées sur la main d’un géant. « Danse avec le vent », Moslins Dans un espace <strong>de</strong> détente qui surplombe la commune <strong>de</strong> Moslins, Alain Mila a voulu mettre en valeur le vent et les différents éléments <strong>de</strong> la nature. Ses tubes en fer <strong>de</strong> 3 mètres <strong>de</strong> haut forment une installation colorée et sonore. « La Mue », Épernay Dans le parc <strong>du</strong> musée d’Épernay, le <strong>du</strong>o d’artistes Véronique Durazzo / Didier Ducrocq a imaginé une mue <strong>de</strong> serpent-miroir <strong>de</strong> 18 mètres, reflétant la nature environnante, qui leur permet <strong>de</strong> représenter un témoignage <strong>de</strong> la trace que peut laisser une évolution, une mutation. « Mikros », Épernay Dans le bassin <strong>du</strong> musée d’Épernay, la plasticienne Marion Orel a construit ce dodécaèdre en inox miroir, une forme géométrique complexe possédant au moins 18 arêtes. L’œuvre reflète la nature qui l’entoure, mais lui donne également un nouveau visage grâce à son effet kaléidoscopique géant. « Symbiose », Nanteuil-la-Forêt Patrick Planchon et Jean-Paul Rahard ont imaginé, à travers cette œuvre <strong>de</strong> près <strong>de</strong> 6 mètres, une symbiose entre l’homme et la nature. Un cocon en bois <strong>de</strong> châtaignier <strong>de</strong>s Cévennes protège une tour d'acier et <strong>de</strong> tôle qui symbolise l’homme. Attention, ce site, situé à la sortie <strong>de</strong> Nanteuil-La-Forêt, n’est pas adapté aux véhicules et il conviendra <strong>de</strong> finir la bala<strong>de</strong>, dotée d'un léger dévers, à pied. « Extension <strong>du</strong> domaine <strong>de</strong> la bulle », Binson-Orquigny L’artiste Erwan Sito a imaginé, dans le parc <strong>de</strong> Binson-Orquigny, une structure immersive en pin sur laquelle <strong>de</strong>s bulles <strong>de</strong> savon <strong>de</strong>viennent bulles <strong>de</strong> champagne. Grâce à <strong>de</strong>s sphères remplies d’eau, la projection <strong>de</strong> l’image est retournée, un message distillé par l’artiste sur la façon dont il perçoit la marche <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>.
« Éclats », Mancy Dans le parc <strong>de</strong> Mancy, ouvert sur un petit lac, Francine Garnier et Alain Engelaere ont imaginé une « sculpture <strong>de</strong> vent » visuelle et sonore. Le public est invité à tourner autour <strong>de</strong> cette tente multicolore pour voir ces rubans s’entrecroiser et changer <strong>de</strong> couleur, comme un clin d’œil aux saveurs et sensations apportées par le champagne. « Nothing’s gonna stop us », Saint-Martin d’Ablois Petit jardin à l’anglaise intimiste et romantique, le parc <strong>du</strong> Sourdon accueille l’œuvre <strong>de</strong> la Belge Chloé Coomans, une nuée <strong>de</strong> 21 soucoupes volantes en acier. L’artiste en appelle ainsi à l’âme d’enfants <strong>de</strong>s visiteurs <strong>du</strong> parc et à leurs rêves enfouis <strong>de</strong> découvrir l’espace et les étoiles.