Obra Completa - Universidade de Coimbra

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Cito apenas um que me parece suficientemente
nitido.
MAC CLELLAND 1 escreve da índia: «Un village était
habite par trois castes: par des Brahmines, des Badjpoutes,
des Panjas. Les Panjas qui buvaient l'eau de
la fontaine voisine, avaient tous un goitre; mais Ies
Brahmines et Ies Radjpoutes, qui seuls buvaient une
autre eau, qui Ieur était reservée, n'avaient pas de goitre.
Pour une raison quelconque, cette eau étant venue à
diminuer, Ies Brahmines restèrent seuls en possession
de la bonne eau; Ies Badjpoutes dúrent boire à la
même source que Ies Panjas et devinrent goítreux
comme eux».
Nas cercanias de Briançon (Saint Chaffrey) existe
uma fonte (Fontaine des goítreux) 2 onde bebe a mocidade
das visinhanças, para se eximir do serviço militar;
a substancia não está dissolvida, porque a filtração
e o repouso fazem desapparecer a propriedade pathogenica.
As aguas pluviaes não possuem esta propriedade
(BORDIER).
1
Citado por BORDIER, loc. cit., pag. 214.
2
VERDAN propunha como medida prophylactica contra a papeira
adquirida por este processo, que tal deformidade não fosse considerada
como motivo de exempção para o serviço militar, e BOUÊHARDAT
professava a mesma opinião.
«Du jour oú Ies gôitreux ne seront plus exemptés, diz elle, Ioin
de chercher à faire développer Ieur goitre, ils se traiteront au contraire
pour Ie faire disparaitre: dòs Iors on peut prévoir que Ie nombre des
goitreux diminuera beaucoup devant Ies conseils de révision. Du
reste, Ie changement de local, Ie traitement ioduré á la caserne
garantit un heureux résultat, et pour Tarmee, et pour Ies jeunes
gens.» (Rev. de méd., 1883, pag. 318.)