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Leçons de l'Ecole du Sabbat - Sda1844.org

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« Mais la mort <strong>de</strong> Jésus n’a été causée ni par le coup <strong>de</strong> lance, ni par les souffrances<br />

en<strong>du</strong>rées sur la croix. Le grand cri (Matthieu 27 : 50 ; Luc 23 : 46.) jeté au moment <strong>de</strong><br />

la mort, le flot <strong>de</strong> sang et d’eau qui s’écoula <strong>de</strong> son côté disent assez qu’il est mort d’une<br />

rupture <strong>du</strong> cœur. Son cœur se rompit sous l’effet <strong>de</strong> l’angoisse morale. Il a été tué par le<br />

péché <strong>du</strong> mon<strong>de</strong>. » – Jésus-Christ, pp. 774, 775.<br />

la grâce <strong>de</strong> dieu réVélée<br />

5. Le péché ne peut être purifié sans le versement <strong>du</strong> sang <strong>de</strong> Christ. Que<br />

réalisa Adam après sa chute ? Lévitique 17 : 11, <strong>de</strong>rnière partie ; Hébreux<br />

9 : 22.<br />

« Des anges développèrent plus en détail le plan <strong>du</strong> salut à nos premiers parents. Ils<br />

leur dirent : ‘Soyez certains que, malgré votre grand péché, vous ne serez pas abandonnés<br />

à la puissance <strong>de</strong> l’ennemi. Le Fils <strong>de</strong> Dieu a offert d’expier votre faute au prix <strong>de</strong> sa vie.<br />

Grâce à une nouvelle pério<strong>de</strong> d’épreuve, en obéissant à Dieu, par la foi au Ré<strong>de</strong>mpteur,<br />

vous pourrez re<strong>de</strong>venir ses enfants.’<br />

« Le sacrifice exigé par leur transgression révéla à Adam et Ève le caractère sacré<br />

<strong>de</strong> la loi divine. Mieux que jamais, ils virent la nature détestable <strong>du</strong> péché et ses affreux<br />

résultats. Accablés <strong>de</strong> remords et <strong>de</strong> douleur, ils supplièrent Dieu d’épargner son Fils dont<br />

l’amour avait fait toute leur joie, et <strong>de</strong> les frapper eux-mêmes et leur postérité. » – Patriarches<br />

et prophètes, p. 44.<br />

« Il <strong>de</strong>vait y avoir effusion <strong>de</strong> sang dans le plan <strong>du</strong> salut, car la mort <strong>de</strong>vait intervenir<br />

comme conséquence <strong>du</strong> péché <strong>de</strong> l’homme. Les animaux offerts en sacrifice <strong>de</strong>vaient<br />

préfigurer Christ. …Et le sang qui coulait <strong>de</strong> la victime signifierait aussi une expiation. Il<br />

n’y avait aucune vertu dans le sang <strong>de</strong>s animaux ; mais l’effusion <strong>du</strong> sang <strong>de</strong>s animaux<br />

<strong>de</strong>vait annoncer un Ré<strong>de</strong>mpteur qui viendrait un jour dans le mon<strong>de</strong> et mourrait pour les<br />

péchés <strong>de</strong>s hommes. …<br />

« La repentance d’Adam, manifestée par sa peine pour sa transgression et son espoir<br />

<strong>de</strong> salut à travers Christ, montrée par ses œuvres dans les sacrifices offerts, furent une<br />

déception pour Satan. (Review and Herald, 3 mars 1874) » – Confrontation, p. 22.<br />

6. Pourquoi Adam ne mourut-il pas le jour où il mangea <strong>du</strong> fruit défen<strong>du</strong>,<br />

comme Dieu avait dit que cela arriverait ? Genèse 2 : 16, 17 ; 3 : 17-19.<br />

« Adam écouta la parole <strong>du</strong> tentateur, et pour avoir accepté ses insinuations il tomba<br />

dans le péché. Dans son cas, pourquoi la peine <strong>de</strong> mort ne fut-elle pas exécutée immédiatement<br />

? Parce qu’une manière <strong>de</strong> le racheter fut trouvée. Le Fils unique <strong>de</strong> Dieu s’offrit<br />

comme volontaire pour prendre sur lui-même le péché <strong>de</strong> l’homme et pour faire expiation<br />

<strong>de</strong> la race déchue. Il ne pouvait pas y avoir <strong>de</strong> pardon pour le péché s’il n’y avait pas<br />

d’expiation. Si Dieu avait pardonné le péché d’Adam sans qu’il y ait expiation, le péché se<br />

serait immortalisé et se serait perpétué comme une audace qui n’aurait eu aucune restriction<br />

(RH 23/04/1901) » – Commentaires bibliques, p. 2.<br />

« Dès que le péché apparut, il y eut un Sauveur. Christ savait qu’il <strong>de</strong>vait souffrir, et<br />

cependant il se convertit en substitut <strong>de</strong> l’homme. Aussitôt qu’Adam pécha, le Fils <strong>de</strong> Dieu<br />

se présenta comme le Garant <strong>de</strong> la race humaine, avec autant <strong>de</strong> pouvoir pour empêcher la<br />

condamnation prononcée sur les coupables, que lorsqu’il mourut sur la croix <strong>du</strong> Calvaire<br />

(RH 12/03/1901). » – Commentaires bibliques, p. 4.<br />

<strong>de</strong>uxième semestre 2012 19

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