Leçons de l'Ecole du Sabbat - Sda1844.org
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2. Après avoir vu la gran<strong>de</strong> multitu<strong>de</strong> en vêtements blancs, quelle question lui<br />
posa l’un <strong>de</strong>s anciens ? Apocalypse 7 : 13.<br />
« Une fois le scellement terminé, Jean contemple une innombrable multitu<strong>de</strong> qui,<br />
en extase, adore Dieu <strong>de</strong>vant son trône. Cette vaste multitu<strong>de</strong> est constituée, sans l’ombre<br />
d’un doute, par les sauvés <strong>de</strong> toute nation, tribu et langue qui ont été ressuscités lors <strong>de</strong> la<br />
secon<strong>de</strong> venue <strong>de</strong> Christ, ce qui démontre que le scellement est la <strong>de</strong>rnière œuvre réalisée<br />
en faveur <strong>du</strong> peuple <strong>de</strong> Dieu avant la translation. …<br />
« Les questions posées par l’un <strong>de</strong>s anciens à Jean : ‘Ceux qui sont revêtus <strong>de</strong> robes<br />
blanches, qui sont-ils, et d’où sont-ils venus ?’ considérée en relation avec la réponse <strong>de</strong><br />
Jean : ‘Mon Seigneur, tu le sais,’ impliquent que Jean ne le savait pas, et elles sembleraient<br />
illogiques si elles se référaient à toute la gran<strong>de</strong> multitu<strong>de</strong> qu’il avait <strong>de</strong>vant lui. » – Uriah<br />
Smith, L’Apocalypse, pp. 59, 60.<br />
l’exPérience <strong>de</strong>s 144 000<br />
3. A travers quelle expérience passera le groupe en vêtements blancs dans<br />
Apocalypse 7 : 13 ? La comparer avec l’expérience <strong>de</strong>s 144 000. Apocalypse<br />
7 : 14-16.<br />
« Sur la mer <strong>de</strong> cristal qui est <strong>de</strong>vant le trône – et que les reflets <strong>de</strong> la gloire <strong>de</strong> Dieu<br />
font ressembler à <strong>du</strong> verre mêlé <strong>de</strong> feu – sont réunis ceux qui ont ‘vaincu la bête, et son<br />
image, et le nombre <strong>de</strong> son nom’. Les cent quarante-quatre mille qui ont été rachetés parmi<br />
les hommes se tiennent sur la montagne <strong>de</strong> Sion avec l’agneau, ‘ayant <strong>de</strong>s harpes <strong>de</strong> Dieu’,<br />
et l’on entend ‘<strong>du</strong> ciel une voix comme un bruit <strong>de</strong> grosses eaux, comme le bruit d’un<br />
grand tonnerre ; et la voix que l’on entendait ‘était comme celle <strong>de</strong> joueurs <strong>de</strong> harpes jouant<br />
<strong>de</strong> leurs harpes’. Ils chantent un cantique nouveau <strong>de</strong>vant le trône, cantique que personne<br />
ne peut apprendre, sinon les cent quarante-quatre mille. C’est le cantique <strong>de</strong> Moïse et <strong>de</strong><br />
l’agneau. Ce chant <strong>de</strong> délivrance, seuls les cent quarante-quatre mille peuvent l’apprendre,<br />
car c’est l’hymne <strong>de</strong> leur histoire, histoire vécue par eux seuls. ‘Ils suivent l’agneau partout<br />
où il va.’ Enlevés <strong>de</strong> la terre, d’entre les vivants, ils sont considérés ‘comme <strong>de</strong>s prémices<br />
pour Dieu et pour l’agneau’. ‘Ce sont ceux qui viennent <strong>de</strong> la gran<strong>de</strong> tribulation.’ Ils ont<br />
traversé un temps <strong>de</strong> détresse tel qu’il n’y en a jamais eu <strong>de</strong>puis que les nations existent ;<br />
ils ont en<strong>du</strong>ré les angoisses <strong>de</strong> la détresse <strong>de</strong> Jacob ; ils ont subsisté sans intercesseur au<br />
milieu <strong>du</strong> déchaînement final <strong>de</strong>s jugements <strong>de</strong> Dieu. Mais ils ont été délivrés, car ‘ils ont<br />
lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang <strong>de</strong> l’agneau’. (Apocalypse 15 : 2, 3 ;<br />
14 : 1-5.) ‘Dans leur bouche il ne s’est point trouvé <strong>de</strong> mensonge, car ils sont irrépréhensibles’<br />
<strong>de</strong>vant Dieu. ‘C’est pour cela qu’ils sont <strong>de</strong>vant le trône <strong>de</strong> Dieu, et le servent jour<br />
et nuit dans son temple. Celui qui est assis sur le trône dressera sa tente sur eux.’ Ils ont vu<br />
la terre désolée par la famine, par la peste et par les ar<strong>de</strong>urs d’un soleil dévorant ; ils ont<br />
eux-mêmes en<strong>du</strong>ré la faim et la soif. Mais ‘ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif, et<br />
le soleil ne les frappera point, ni aucune chaleur. Car l’agneau qui est au milieu <strong>du</strong> trône les<br />
paîtra et les con<strong>du</strong>ira aux sources <strong>de</strong>s eaux <strong>de</strong> la vie, et Dieu essuiera toute larme <strong>de</strong> leurs<br />
yeux.’ (Apocalypse 7 : 14-17.) » – La tragédie <strong>de</strong>s siècles, pp. 703, 704.<br />
<strong>de</strong>uxième semestre 2012 97