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10 Edition SpécialeLégislativesDu 10 ILS ONT EXPRIMÉ LEUR CHOIX Les électeurs de Sidi Bel-Abbes au cœur de l’événement Le scrutin des élections législatives dans les communes de la région de Sidi Bel-Abbès, s’est déroulé dans de bonnes conditions, a-ton constaté, où toutes les dispositions ont été mises en place. Depuis la première heure, les électeurs étaient sortis en masse formant de longues files. Cet événement a été marqué par la participation massive des localités qui ont été frappées par le terrorisme, notamment celles des régions du Sud entre autre Telagh, Ras El Ma et Merine selon les représentants des CCISEL. Les citoyens étaient au rendezvous pour encourager le processus démocratique en élisant les plus aptes et les plus compétents. Ces régions qui ont enregistré des assassinats aussi lâches les uns que les autres se sont exprimés, pour changer le cours de l’histoire de l’Algérie à la veille du cinquantenaire de l’indépendance. A 11h30, le taux de participation affichait les 15 %, soit plus de 66.000 personnes . Ce taux est passé à 14,66 % à 13 heures, soit 88.878 électeurs qui ont donné leur voix. Que ce soit à Rjem Demmouch, Oued Sebaa, Mezzaourou, Tellagh, ou encore Sidi Chaib et Merchoum, les populations se sont déplacées en en masse pour élire leurs députés dans l'espoir de mettre fin à tous les problèmes vécus par les Algériens notamment le chômage, et la crise de logement. «Aujourd’hui, nous voulons voter pour avoir une meilleure APN et de bons députés» estime t-on auprès des jeunes. A Sidi Bel-Abbes, l’électeur a compris qu’il est appelé à prendre une décision importante, le choix d'élire une APN digne de ce nom. Il est à noter que la wilaya compte 52 communes englobant 818 bureaux de vote qui ont été sélectionnés et qui sont répartis à travers 179 centres. Le corps électoral est de l’ordre de 440.795 électeurs dont 10.150 nouveaux inscrits alors que 5.158 électeurs ont été radiés pour divers motifs à savoir décès, changement de résidence. A souligner qu’en 2007, en fin de matinée, la wilaya de Sidi Bel- Abbès, affiché un taux de participation de 17 %. n Mohamed Medjahdi Une ambiance particulière a marqué la wilaya de Tlemcen lors de cet évènement, avec une participation de 14.66 à 11 heures. Toute la ville et toutes les grandes agglomérations étaient sous haute surveillance, où un important dispositif sécuritaire a été mis en place. Cet évènement historique a été marqué, faut-il le souligner, par une bonne organisation et tous les moyens matériels et humains ont été mis en place pour le bon déroulement du scrutin, à travers les 360 centres de votes abritant 1629 bureaux.Encadrés par 13203 personnes, et dans une ambiance particulière, les électeurs de la wilaya estimés à 617675, n’ont pas manqué ce grand rendez vous de toute l’histoire du pays, au moment où le monde est sous tension. A 11 heures déjà, le taux de participation était de l’ordre de 14.66 soit 90.000 votants qui ont accomplis leur devoir. A 14 heures le taux dépassait les 23 pour cent, avec un début de vote marqué par une affluence féminine. Dans la wilaya HORIZONS • Vendredi 11 Mai 2012 FIDÈLE À LEURS HABITUDES ÉLECTORALES, EMPRUNTES DE CONSCIENCE POLITIQUES, LES ÉLECTEURS ET ÉLECTRICES DES VILLES DE L’OUEST DU PAYS ONT ÉTÉ, HIER À L’OCCASION DES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES, À LA HAUTEUR DE L’ÉVÈNEMENT. L’opération électorale s’est déroulée, en effet, dans d’excellentes conditions avec un taux de participation assez appréciable. Dès le début de l’opération à 8 heures, les citoyens ont afflué en nombre considérable vers les bureaux de vote. C’est le cas, d’ailleurs, de la ville de Mascara qui a enfanté de grandes personnalités nationales, à l’instar de l’Emir Abdelkader. Les personnes âgées ont montré la voie aux jeunes, en allant les premiers accomplir leur devoir. Les électeurs de Mascara ont mis l’accent, unanimement, sur l’importance de ce rendez-vous électoral sur le double plan national et international. Ils insistent, en effet, sur la nécessité d’aller voter pour choisir l’homme qu’il faut, lequel aura la lourde mission de défendre les intérêts du peuple. En somme, l’opération électorale se déroule à Mascara dans de parfaites conditions. Comme l’atteste un représentant de l’Union africaine. Le même constat est fait du côté de la ville de Relizane. Mis à part le chef-lieu de wilaya ayant connu une affluence «timide», les électeurs des autres villes n’ont pas dérogé à la règle en se rendant avec beaucoup d’enthousiasme aux bureaux de vote pour choisir leurs représentants à l’hémicycle de Zighout-Youcef. «Si nous sommes venus s’acquitter notre devoir, c’est pour le bien de notre cher pays», estiment, fiers, les citoyens locaux. Si à Mostaganem le vote a commencé timidement avant d’atteindre sa vitesse de croisière au fil des heures, à Tissemsilt, par contre, l’affluence est jugée «exceptionnelle» dès les premières heures du vote. Tout le monde s’est accordé à dire que voter est la meilleure Mai 2012 L’OPÉRATION DE VOTE S’EST DÉROULÉE NORMALEMENT Bonne affluence citoyenne à l’Ouest du pays AVEC UNE AFFLUENCE FÉMININE PARTICULIÈRE Tlemcen contre le boycott, et l’ambiance bat son plein de Tlemcen, la majorité est contre le boycott. La preuve, l’après-midi, c’est carrément le rush vers les bureaux de vote, a-t-on constaté. Autour des centres de vote, la circulation est totalement bloquée, alors qu’au niveau des permanences des candidats, l’hymne national fuse de partout et la ville de Messali Hadj est complètement ambiante. Les Tlemcéniens ont voté dans une fête des grands jours. Marqué par une forte présence de jeunes, ces derniers ont affirmé trois vœux, espérant qu’ils soient exaucés. Emploi, logement et plus de démocratie. La future APN doit relever le défi, en changeant le cap vers un avenir meilleur, espèrent les jeunes. Selon bon nombre d’électeurs, l’heure de vérité a sonné, et ce 10 mai demeure un moment historique dans la vie de chaque Algérien jaloux de son pays. «Je vote pour la première fois. Le choix est difficile, mais j’ai opté pour le programme que j’ai jugé utile», soulignera un jeune lycéen de la classe terminale. Par ailleurs, le même scénario a été Photo : Fouad S. constaté au niveau des contrées les plus reculées. La participation a été tellement forte que le taux dans ces régions était satisfaisant. Cet événement dans la wilaya de Tlemcen, marquée par un temps printanier, a été de l’avis de nombreuses personnes, grandiose. «Les Algériens optent pour le changement et refusent de tomber dans les erreurs du passé», a-t-on souligné. Femmes, jeunes, vieux sont sortis pour voter, et les images sont les mêmes, ou presque. De longues files d’électeurs attendant dans le calme. Des centaines de personnes prennent leur mal en patience devant les bureaux de vote. A Tlemcen, le citoyen a pris la ferme décision de participer à cette élection, car l’avenir du pays se trouve entre ses mains et que demain une nouvelle aube se lèvera sur ce pays d'un million et demi de martyrs. Rappelons que Tlemcen compte 47 listes dont 6 listes indépendantes, pour 12 sièges à l’APN. n Mohamed Medjahdi façon de contribuer dans la construction de l’Algérie. Dans les autres villes de l’Ouest du pays, comme Chlef, Sidi Bel-Abbès et Tiaret, c’est le même enthousiasme observé chez les électeurs qui tenaient à y prendre part pour incarner les acquis démocratiques de l’Algérie. Les observateurs étrangers et les représentants des partis politiques ont relevé, de leur côté, le déroulement satisfaisant de ces législatives dont la réussite renforce davantage la bonne santé politique du pays. n K. Yamine BEAUCOUP DE JEUNES ONT VOTÉ La fête était double à Oran La fête était double, en ce jeudi ensoleillé à Oran. D’abord, parce que la journée était férié, ce qui a permis aux Oranais d’observer une grasse matinée que d’aucuns pensaient méritée. Ensuite, parce que c’étaient les élections législatives, un moment propice à la convivialité et à la fête. Dès 11 h, nous avons rendu visite à quelques centres de vote, à St Pierre, au centre-ville, à Oran-Est, et El Braya, au Sud-Est d’Oran. Dans les ruelles d’El Bahia, il n’y avait pas beaucoup de monde, en tout cas pas celui des jours ouvrables où la promenade s’avère, habituellement, problématique tellement la promiscuité est maîtresse des lieux. Seuls les bus privés circulaient en roue libre : «Si tous les jours pouvaient apporter des élections, on en aurait fini avec les fameux embouteillages qui bloquent la circulation oranaise, notamment, à la rue Ben M’hidi», se réjouira le jeune receveur qui nous confie avoir voté avant de prendre son
Edition Spéciale ALGER Le vote, malgré tout En ce jour «crucial» pour l’«avenir de la nation», comme l’a répété, plus d’une fois le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, l’ambiance à Alger était presque aux vacances. Gâtés par une journée ensoleillée (27°), presque estivale, les Algérois ne pouvaient mieux rêver. Loin de l’effervescence des bureaux de vote, la vie suivait son rythme habituel, n’était ce le déploiement visible de quelques brigades mobiles de CNS supplémentaires, et le renforcement sécuritaire au niveau des points d’accès aux grandes artères, pour rappeler qu’il s’agit bel et bien d’un jour de vote. Cassant avec l’ennui des jours fériés, il faisait bon vivre tout au long du boulevard Larbi Ben M’hidi. Dans les cafés ou sur les terrasses, on ne parlait pas que d’élections législatives, mais on en parlait quand même. «J’espère qu’il y aura une forte participation pour administrer une bonne leçon à certains pays qui cherchent à nuire à Algérie». Tel est le souhait d’un homme, confortablement installé sur une la terrasse du mythique café Novelty. Son voisin de table, n’est pas tout à fait optimiste : «A vrai dire, j’ai bien peur que la prolifération de ces nouveaux partis, sans ou à très faible ancrage sociale, ne porte un sérieux discrédit au scrutin. Franchement, qui voterait pour ces candidats fraîchement débarqués à la politique», confie-t-il. Plus loin que la rue Ben M’hidi, la Place des Martyrs, n’était pas moins animée. Loin s’en faut. Rares sont les boutiques qui ont baissé rideau, et nombreux sont les marchands à la sauvette qui prirent d’assaut tous les trottoirs possibles. Au marché Ahmed- Bouzrina plus haut, dans la Casbah, l’atmosphère n’était pas différente de la normale quotidienne. Dans la vieille Médina, l’engouement populaire pour le scrutin n’est pas le même d’il y a vingt ans. Mais nombreux sont à mettre en garde contre le scénario libyen, tunisien ou égyptien. «Je voterai blanc. Je n’ai pas confiance en ces candidats, mais l’appel du chef de l’Etat et la peur que notre pays ne soit l’objet de surenchères et de manipulation étrangère, comme c’est le cas de nombreux pays arabes ont eu raison de mon scepticisme» insiste un vieux tisserand à la Casbah, un ancien Moudjahid de la Zone autonome d’Alger. Et le vieux de poursuivre : «Nous avons toujours été une exception dans le monde arabo-musulman. Nous avons fait une Guerre de libération unique au monde. Nous avons été les premiers au front des libertés et de la démocratie. On ne veut de leçon de personne. A ceux qui misent sur une khalouta dans le bled, je leur dis, nous nous révolterons pas contre nous-mêmes». En gros, c’est plus l’enjeu incarné par le scrutin qui prime que le vote lui-même. A l’heure où toute la région subit, à son corps défendant, un déballage géostratégique visant sa stabilité et ses richesses, les Algérois, comme tous les Algériens, ne jurent que par une seule chose : l’unité de la nation. n Amine Goutali service à neuf heures. Pour qui ? «C’est mon affaire, khouya», répondra-t-il, sans aucune animosité et avec la gouaille habituelle aux Oranais. Constat sur place, l’affluence n’était pas excessive dans les quelques centres visités. A Hai Essabah, au centre de vote n° 10, si, au moment de notre arrivée, la participation était clairsemée, le cœur y était, cependant. Beaucoup de jeunes parmi les votants qui respectaient scrupuleusement les chaines. Les mines des gens semblaient reposées. Confiantes. A 11h15, nous avons noté, inscrit sur le tableau vert, quelques 159 participants sur les 600 prévus. Autre destination, autre centre de vote. Sur les hauteurs de St Pierre, au centre n°16, il y avait beaucoup de monde. C’est que le quartier est populaire. Et les gens très près de leurs intérêts politiques. Selon le chef de centre, la participation, qu’il estimait à 19 %, était «correcte». Selon un homme, entre deux âges, «l’acte de voter est une nécessité pour moi. Notre ville est en train de connaître de notables changements, il faut essayer d’aider nos responsables à améliorer notre vie en votant pour les hommes qui sont capables d’apporter un plus». Au centre de Tripoli, même topo. L’un dans l’autre, la participation était relativement faible mais, selon nos interlocuteurs, les choses évolueront LégislativesDu 10 Mai 2012 vers 16 h, lorsque les Oranais auront terminé avec leurs affaires. En effet, et selon les chiffres communiqués à 13h15, par le DRAG, il a été relevé 139.899 votants, soit un taux de participation de 13,92 %, soit encore, 4 points de moins qu’en 2007 où il était de 17 %. A Oran ville, le taux était d’un peu plus de 10 %. A El Braya, dans la banlieue, il dépassait les 20 %. «Il est clair, déclarent certains interlocuteurs, en partie des observateurs de la scène politique locale, que la participation va s’étoffer dans l’après-midi, car les Oranais, habituellement, peu regardant sur la chose politique, sont cette fois, conscients qu’il faut mettre sa voix dans la balance pour peser sur le cours de la vie». Par ailleurs, quelques errements ont été rapportés par certains représentants de partis, telle que le non-respect de l’ordre de classement des bulletins, mais ces assertions ont vite été démentis par le DRAG qui a réfuté en bloc ces «allégations fausses». A noter que 37 partis, 6 listes indépendantes se disputent les 18 sièges de la wilaya pour lesquels sont censés voter plus d’un million d’électeurs. 15.000 agents encadrent les 261 centres regroupant quelques 2.128 bureaux de vote. 5.000 policiers ont été déployés pour assurer la sécurité des élections. n Amar Abbas HORIZONS • Vendredi 11 Mai 2012 LE DÉROULEMENT DES OPÉRATIONS DE VOTE S’EST DÉROULÉ DANS DE BONNES CONDITIONS C’EST CE QUI A ÉTÉ CONSTATÉ HIER, POUR LES WILAYAS DU CENTRE DU PAYS. Dès l’ouverture des bureaux à 8 h, les électeurs se sont présentés en masse notamment à Djelfa où toutes les conditions ont été réunies, tel a été le constat fait par les observateurs internationaux, particulièrement ceux de la Ligue arabe. Dans certains bureaux les représentants des partis politiques et des listes indépendantes étaient fortement présents. Il faut reconnaître que la ville de Djelfa a connu un véritable rush dans les différents bureaux de vote, notamment à «Emir Abdelkader» et «Bestami Chouiha». A Tenes, dans la wilaya de Chlef au centre Belkaid Mohamed et à l’école de la gare», la même affluence régnait. A Tipasa et à Boumerdes, c’était plutôt un assaut timide. Dans les bureaux de vote de Benathmane Mohamed et Boucetta Abdelkader situées au centre-ville de Tipaza, des électeurs de différentes générations sont venus accomplir leur devoir avec fierté. A Ain Defla, les vieux étaient les premiers à voter. Toutes les mesures ont été prises pour garantir et accueillir les 444.812 inscrits. A Médéa, aux premières heures de la journée, l’affluence était faible dans les différents centres de la commune. La majorité des électeurs sont de vieilles personnes. En témoigne ce bureau «Bachir Ibrahimi», un des plus grands de la région où Un centre de presse au siège de la wilaya 11 Le vote dans de bonnes conditions dans les wilayas du centre Echos de TIZI OUZOU seulement une dizaine d’électeurs se sont rendus en début de matinée. De leur côté, les observateurs de la ligue arabe ont effectué dès l’entame du vote une tournée afin de s’enquérir du déroulement du scrutin. M. Saad Ahmed Abdelhafidh, un observateur de La ligue arabe, présent au bureau de vote «Bachir Ibrahimi», a affirmé «qu’il y a une bonne organisation sur le plan logistique et humain». A Bouira, la sérénité a dominé durant tout le scrutin, en particulier dans le centre de vote Hassiba Ben-Bouali au chef-lieu de wilaya, composé de 7 bureaux, tous les moyens humains et matériels ont été réunis pour un bon déroulement du suffrage. Au bureau n° 14 du même centre ouvert tôt le matin, les représentants des listes étaient présents lors du scellage de l’urne transparente, avant que le vote débute. A Bejaia, c’est dans de bonnes conditions que les bureaux et centres de vote ont été ouverts dès 8 h. Sur le plan organisationnel, on ne pouvait espérer mieux, selon plusieurs responsables. Ils ont noté que plusieurs responsables, observateurs internationaux, ou représentants de partis politiques ont assisté au vote. Une heure après l’ouverture, le nombre d’électeurs n’était toujours pas important. Cependant, certains bureaux connaissaient un bon flux d’électeur comme le centre de vote au lycée Ibn Sina. n Adel K. Comme à chaque élection la cellule de communication de la wilaya de Tizi Ouzou a mis à la disposition des médias, un centre de presse bien équipé. En effet, des micro-ordinateurs avec connexion Internet et des appareils téléphoniques avec fax ont permis aux correspondants locaux d'effectuer leur travail dans d'excellentes conditions. Un centre de presse qui a reçu à maintes reprises la visite du wali M. Abdelkader Bouazgui, lors de cette journée de scrutin. Il s'est enquis à chaque fois des conditions de travail des journalistes. Un centre de presse qui avait aussi reçu la visite des observateurs étrangers. Ces derniers ont eu à discuter avec les journalistes sur leurs conditions de travail. Satisfaits des réponses fournies, ils sont repartis rassurés. Les observateurs libres de leurs mouvements Les observateurs étrangers ont été libres de leurs mouvements. En effet, le représentant de l'ONU prenait la carte de la wilaya de Tizi Ouzou et pointait son doigt au hasard sur la carte. " Je veux aller là". Aussitôt dit aussitôt acheminé à la destination désirée. 7 journalistes étrangers en couverture dans la wilaya Sept journalistes étrangers de la presse écrite et audio-visuelle ont été accrédités pour la wilaya de Tizi-Ouzou. Ils se sont déplacés là encore en toute liberté mais sous bonne escorte. Il reste que deux journalistes d'un journal en ligne belge non accrédité ont été priés gentillement de ne pas filmer ou de discuter avec les citoyens. n Rachid Hammoutène Photo : Makine F.
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