d’amour, comment pourrons-nous le reconnaître dans le clochard du coin de la rue ou dans lescontrariétés qui nous agacent ? Si nous ne voulons pas lui accord<strong>er</strong> un peu de temps par amour,comment arriv<strong>er</strong>ons-nous à en donn<strong>er</strong> à nos enfants ?« Donnez-moi, Seigneur, un cœur attentif », dit l’Ecriture. Le Saint-Esprit nous inspiredoucement, au fond de notre cœur, ce qu’il veut de nous. Arrêtons de lui faire écran, ch<strong>er</strong>chons ànous adapt<strong>er</strong> en souplesse à sa présence agissante, efficace, <strong>et</strong> à lui obéir… <strong>et</strong> il se f<strong>er</strong>a degrandes choses. C’est ici qu’il faut nous souvenir de la parole de Jésus à l’heure cruciale de laPassion : « Veillez <strong>et</strong> priez » (Mc XIV, 38). Soyons vigilants, <strong>et</strong> <strong>mai</strong>ntenons notre foi toujours enéveil. Vivons sous le regard de Dieu. « O Esprit-Saint, âme de mon âme, je vous adore.Eclairez-moi, guidez-moi, fortifiez-moi, consolez-moi. Dites-moi ce que je dois faire. Donnezmoivos ordres. Je vous prom<strong>et</strong>s de me soum<strong>et</strong>tre à tout ce que vous me demand<strong>er</strong>ez <strong>et</strong>d’accept<strong>er</strong> tout ce que vous p<strong>er</strong>m<strong>et</strong>trez qu’il m’<strong>arrive</strong>. Montrez-moi seulement <strong>votre</strong> volonté. »Ainsi priait le Cardinal M<strong>er</strong>ci<strong>er</strong>, affirmant ensuite : « C<strong>et</strong>te soumission au Saint-Esprit est lesecr<strong>et</strong> de la saint<strong>et</strong>é ». Elle est finalement la mise en œuvre de ses sept dons, qui rendent l’âmesensible aux moindres inspirations du Saint-Esprit. A l’école de Marie, ouvrons donc largementles sept voiles de notre bateau <strong>et</strong> laissons-nous faire. « Apprenez à vivre de l’esprit de la trèsSainte Vi<strong>er</strong>ge. Elle vivait de l’Esprit de Dieu. Rien ne se mouvait en elle que par le mouvementde l’Esprit, <strong>et</strong> c’est c<strong>et</strong>te grâce qu’elle veut nous communiqu<strong>er</strong>. » (P . Vayssière, OP)Vivre l’instant présentLe prochainConcrètement, la volonté de Dieu se présente souvent par l’int<strong>er</strong>médiaire de ceux qui nousentourent, autrement dit de notre prochain. La charité frat<strong>er</strong>nelle, l’attention aux autres, le refusde l’indifférence sous couv<strong>er</strong>t de respect ou de discrétion, sont bien les critères qui p<strong>er</strong>m<strong>et</strong>tent devérifi<strong>er</strong> l’authenticité de notre réponse d’amour. « Tu aim<strong>er</strong>as ton prochain comme toi-même »(Levit XIX, 18). « Celui qui dit « J’aime Dieu » <strong>et</strong> qui n’aime pas son frère est un menteur » (IJn II,4). Prenons au sérieux c<strong>et</strong> av<strong>er</strong>tissement de l’Evangile. « Le signe auquel on reconnaîtraque vous êtes mes disciples, c’est que vous vous aim<strong>er</strong>ez les uns les autres » (Jn XIII, 35). Sifacilement nous laissons échapp<strong>er</strong> gestes d’impatience, paroles de critique ou de raill<strong>er</strong>ie,int<strong>er</strong>prétations faussées <strong>et</strong> pleines de sous-entendus ! <strong>Que</strong> de contre-témoignages de l’Evangile !<strong>Que</strong> d’hypocrisie, que de médisances ou de calomnies, sous prétexte d’humour ou de critiqueconstructive, y compris à la sortie de la Messe du dimanche ! Nous étiqu<strong>et</strong>ons, nouscondamnons, nous jugeons allègrement sans accord<strong>er</strong> à notre prochain l’a priori de bienveillancenécessaire, ni la possibilité de chang<strong>er</strong>!Or le prochain, quel qu’il soit, conjoint fatigué, enfant fatigant, voisin grincheux, passantemal habillée, collègue irresponsable, ami désagréable, racaille menaçante ou « on » mal défini,est lui aussi enfant de Dieu, rach<strong>et</strong>é, tab<strong>er</strong>nacle de la Trinité… notre frère, car fils du même Père.Les Pères du dés<strong>er</strong>t disaient : « Après Dieu, vois Dieu en ton frère ». « Ce que vous avez fait auplus p<strong>et</strong>it d’entre les miens, c’est à moi que vous le faites. » (Mt XXV, 40)Ordinairement, nous savons que le christianisme est école de charité. Nous sommes prêts ànous appuy<strong>er</strong> sur l’histoire de l’Eglise pour le prouv<strong>er</strong>, à brandir les noms de Saint Martin, deSaint Vincent de Paul, de Jeanne Jugan, de Mère T<strong>er</strong>esa, <strong>et</strong>c…; <strong>et</strong> nous avons raison, car, par lacommunion des saints, les trésors de charité de l’Eglise nous appartiennent. Mais quand nousdécid<strong>er</strong>ons-nous, nous, p<strong>er</strong>sonnellement, à prendre au sérieux l’Evangile <strong>et</strong> à rejoindre c<strong>et</strong>te nuéede vrais témoins, à notre mesure, <strong>mai</strong>s de façon authentique <strong>et</strong> agissante ? « N’aimons passeulement en paroles <strong>mai</strong>s en acte <strong>et</strong> en vérité » (I Jn III, 18). <strong>Que</strong> de p<strong>et</strong>its moyens sont à notre- 147 -Association Notre Dame de Chrétienté
portée, chaque jour, pour m<strong>et</strong>tre en pratique c<strong>et</strong> humble amour frat<strong>er</strong>nel sur lequel nous s<strong>er</strong>onsjugés : un sourire, un regard amical, un s<strong>er</strong>vice, un propos désagréable réprimé, une attention, unquart d’heure ou une heure de conv<strong>er</strong>sation… La simple politesse, si méprisée <strong>et</strong> dévaluéeaujourd’hui sous prétexte de naturel ou de franchise, est déjà la forme élémentaire de la charitéévangélique. Prenons exemple sur Notre-Dame s’adressant à la p<strong>et</strong>ite B<strong>er</strong>nad<strong>et</strong>te : « voulez-vousme faire la grâce… ? ». « Courtoisie est fleur de charité » (Père Sevin). Et si nous relisionsl’hymne à la charité de Saint Paul <strong>et</strong> le prenions comme point de départ concr<strong>et</strong> de notre examende conscience ou de la préparation de notre journée ? « la charité est bienveillante, elle ne jugepas, elle n’int<strong>er</strong>prète pas de trav<strong>er</strong>s, elle ne biaise pas…elle est prévenante… » (I Co XIII).<strong>Que</strong>lle paix, quelle justice règn<strong>er</strong>aient dans une famille, une communauté ou un groupe d’oùs<strong>er</strong>ait bannie par principe toute parole de critique ! Pourquoi parl<strong>er</strong> au conditionnel ? Après tout,ce n’est que l’Evangile. N’est-ce pas normal que ceux qui en font profession ch<strong>er</strong>chent àl’appliqu<strong>er</strong> ? Dès aujourd’hui, prenons la résolution concrète, précise <strong>et</strong> radicale de ne ja<strong>mai</strong>sdire de mal de quiconque <strong>et</strong> si, par malheur, cela nous avait échappé, d’ajout<strong>er</strong> aussitôt uneparole bienveillante <strong>et</strong> sincère. L’amour frat<strong>er</strong>nel est inventif; venant du Saint-Esprit, chaquejour il fait feu de tout bois, v<strong>er</strong>t ou sec, pour brûl<strong>er</strong> <strong>et</strong> se fondre ainsi dans le brasi<strong>er</strong> de l’AmourDivin.Le devoir d’étatR<strong>et</strong>rouv<strong>er</strong> la présence de Dieu <strong>et</strong> accomplir sa volonté à chaque instant, c’est aussiaccomplir <strong>et</strong> accueillir fidèlement ce qu’on appelle le devoir d’état. C<strong>et</strong>te expression aux alluresaustères recouvre une réalité tellement simple: correspondre à ce que Dieu, dans son amourp<strong>er</strong>sonnel pour chacun de nous, veut de nous à tel moment. C’est finalement répondre à notrevocation d’enfant de Dieu, concrétisée dans tel ou tel état de vie, dans telle ou telle occupationponctuelle, que ce soit le traitement d’un dossi<strong>er</strong>, le ménage de la cuisine, le gouv<strong>er</strong>nement d’unroyaume, la prière du soir ou l’ex<strong>er</strong>cice de maths. « Le devoir d’état, c’est la volonté de Dieudans l’instant présent », déclare Mgr Van Thuan. La présence agissante de Dieu nous <strong>arrive</strong>cachée sous l’ombre du geste famili<strong>er</strong> qui se présente à c<strong>et</strong>te heure précise, <strong>et</strong> c’est cela que nousdevons apprendre à reconnaître d’abord, puis à aim<strong>er</strong> amoureusement, à cultiv<strong>er</strong> précieusement.Le devoir d’état est souvent fait de p<strong>et</strong>ites choses qui tissent la réalité de nos journées.P<strong>et</strong>ites choses banales, répétitives, voire usantes, <strong>mai</strong>s qui acquièrent d’un coup d’aile leurvaleur d’ét<strong>er</strong>nité dès lors qu’elles sont off<strong>er</strong>tes comme moyen d’union, d’intimité avec Dieu. « Ilest aussi beau de pel<strong>er</strong> des pommes de t<strong>er</strong>re pour l’amour du bon Dieu que de bâtir descathédrales. » (Guy de Larigaudie). C’est l’unique voie pour parvenir à la saint<strong>et</strong>é, ne nous ytrompons pas. L’Evangile nous le prom<strong>et</strong> textuellement : « Parce que tu as été fidèle dans lesp<strong>et</strong>ites choses, entre dans la joie de ton Maître. » (Mt XV, 23)Sous le regard de Dieu, notre vie est ainsi faite de multitudes d’instants qui façonnent notrephysionomie d’ét<strong>er</strong>nité. Chaque minute nous rapproche de Dieu ou nous en éloigne. C’est une<strong>er</strong>reur ou une malhonnêt<strong>et</strong>é de dissoci<strong>er</strong> notre vie de foi de notre vie quotidienne ouprofessionnelle, de la relégu<strong>er</strong> à la messe du dimanche, comme c’en est une de l’oubli<strong>er</strong> le tempsd’une soirée ou d’une affaire professionnelle à conclure. Il s’agit d’établir le règne de Dieu danstoute notre vie <strong>et</strong> dans le monde qui nous entoure, de nous engag<strong>er</strong>, de « nous mouill<strong>er</strong> » , sur l<strong>et</strong><strong>er</strong>rain qui est le nôtre, celui de la famille, du travail, des associations ou de la politique. Lesprincipes qui guident notre action dans ces do<strong>mai</strong>nes sont ceux de l’Evangile. Encore faut-il enavoir une connaissance précise <strong>et</strong> objective, excluant le flou <strong>et</strong> l’esprit de parti, <strong>et</strong> se form<strong>er</strong> envérité. « On ne se moque pas de Dieu » (Gal VI,7). C’est si facile d’anesthési<strong>er</strong> les consciences<strong>et</strong> de leur offrir des faux-fuyants confortables, avec des propos édulcorés, des « il ne faut pasexagér<strong>er</strong> », des « tout le monde le fait », <strong>et</strong>c… Notre vocation à la saint<strong>et</strong>é, c’est un fait avec- 148 -Association Notre Dame de Chrétienté
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La grâce nous établit dans « l
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Ce concile a écrit également : «
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