Procès-verbal de la séance du 30 juin 2011 - Herblay

Surtout en ce moment, alors que nous sommes en plein développement durable.Pourquoi réserver le développement durable à certains quartiers et pas à d’autres.M. le Maire. Vous faite allusion à un dossier en cours depuis 20 ans où il y avait unebagarre entre les riverains de ce sentier, évidemment occupé par des voitures enpermanence et, qui était donc quasiment fermé. Plutôt que de le voir fermé par desvoitures nous avons pensé qu’il valait mieux que chacun des riverains en acquièrent unepartie, qu’on enterre la hache de guerre. Il y avait bien longtemps que plus personne nepassait plus par cette sente-là. Les riverains étaient contre le fait que la sente soit ouverteparce que les gosses allaient se livrer à des actes pendables dans cette impasse. Jeparle sous le contrôle de Jean-Pierre. On a toujours entendu…M. François BERNIERI. Vous avez posé cette question pendant la commission. Vousn’avez pas situé…Pardon.Mme Sophie DARRIGADE. Je vois tous les lots, 395, 94, 96, 97, 98, derrière c’était unesente.M. François BERNIERI. Cette sente avait été fermée parce que, comme l’a dit Monsieurle Maire, tout ce qui s’y passait, voire même du vandalisme et usage de drogue…Cela aété fait à la demande de quatre riverains, et lorsqu’on l’a fait, ils étaient totalementd’accord, tous les quatre, pour fermer. Maintenant c’est un terrain qui est devenu commeles autres, un terrain communal, privatisé. A partir du moment où c’est devenu un terraincommunal, privatisé, il a fallu qu’ils l’achètent ou qu’on le rende au public. Sur les quatre,trois étaient d’accord pour l’acheter. Quand je leur ai dit que les quatre ne sont pasd’accord, j’ai expliqué que nous allions ré-ouvrir et rendre au public, à la communautéd’Herblay, un espace qui lui appartenait et qu’il n’y avait pas de raison qu’ils se leprivatisent. C’est ce que vous avez demandé quand vous avez voté la décision de vendreces terrains. Nous l’avons fait et lorsque j’ai dit à ce monsieur que nous allions ré-ouvrirpuisqu’il ne voulait pas l’acheter, il m’a répondu que dans ce cas-là il achetait. Cela s’estpassé comme cela. Vous savez que s’il ne pouvait pas acheter, je ne pouvais pas lui fairesigner le chèque. Il n’y a que lui qui pouvait le signer.M. le Maire. Oui, Nadine.Mme Nadine PORCHEZ. Je voulais juste ajouter par rapport à cela, qu’il est vrai qu’il y ades conceptions de liaisons douces, mais les liaisons douces d’il y a quelques années, oùnous avions des chemins un peu plus étroits que ce que l’on a prévu aux Bayonnes, oùl’on a des liaisons douces qui ne vont pas avoir ce caractère un peu confidentiel que l’onpeut avoir dans ce que l’on développait il y a quelques années. Là, nous avons eu touteune liste et cela représente un travail de longue haleine. On a présenté treize dossiers decession et chaque dossier est traité individuellement. Cela représente une superficie quin’est que de 821 m² mais une somme de 45 000 € arrondie qui revient à la commune etqui régularise une situation de faits.M. le Maire. Et beaucoup de travail.Mme Nadine PORCHEZ. Oui, parce qu’il y a 13 dossiers mais ce sont des petitessuperficies qui régularisent des situations.M. Mamadou SY. La seule chose que je voulais dire c’est que c’est un travail effectuédifficile et il faut remercier les personnes qui s’occupent de cela et qui, matin et soir, vontvoir les gens, pour négocier, et rendre ce qui est devenu privé, alors que c’était public, etau moins de récupérer la somme due à la communauté. Je remercie toutes cespersonnes qui ont travaillé dessus.M. le Maire. Merci. Pas d’opposition, pas d’abstention ? Unanimité sur les questions 305à 319.48/66 Folio