en association avec

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DICKENS, Charles.
The Life and Adventures of Nicholas Nickleby. With illustrations by Phiz. London, Chapman
and Hall, 1839.
In-8 (211 x 130 mm) de XVI, 624 pp. : maroquin vert, dos à faux nerfs orné, filets dorés et à froid
encadrant les plats, tranches dorées (reliure anglaise de l’époque).
Édition originale.
Elle est illustrée de 1 portrait d’après Maclise et 39 compositions de Hablot Knight Browne
alias Phiz – le pseudonyme ayant été choisi par l’artiste pour faire écho à celui utilisé
par Dickens, Boz.
“Phiz (1815-1882) was an abundant and delightful artist who served Victorian storytellers well”
(Gordon Ray). La rétrospective qui lui fut consacrée en 1883 eut un impact décisif
sur la carrière d’une jeune illustratrice, Beatrix Potter.
Troisième roman de Charles Dickens, The Life and Adventures of Nicholas Nickleby retrace la vie d’un jeune
garçon et de sa sœur que la mort prématurée de leur père avait laissés dans la misère. Le personnage
de Mrs. Nickleby est inspiré de la propre mère de l’écrivain. Dickens brosse un tableau terrifiant de
l’institution scolaire, qui déclencha une campagne pour la réforme de l’enseignement privé.
Très bon exemplaire.
Rousseurs sur les planches, comme toujours.
Cape, Changing Images: Nineteenth-Century British Book Illustration, Lilly Library, 1991, nº 13 : “His [Phiz] association with Dickens
is one of the most famous and lasting author/artist arrangements in the history of book illustration. He illustrated even more works
by Charles Lever, however, than he did works by Dickens, and was closely associated with yet another author, Harrison Ainsworth.
Throughout his career he illustrated more than seventy-five books, often working against very short deadlines.”
4 000 / 6 000 €
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DICKENS, Charles.
Nicolas Nickleby. Traduit de l’anglais par E. de La Bédollierre [sic]. Paris, Gustave Barba, 1840.
4 volumes in-8 (198 x 122 mm) de IV, 456 pp. ; (2) ff., 464 pp. ; (2) ff., 366 pp. ; (2) ff.,
388 pp. : demi-maroquin vert à coins, dos lisses filetés or, tranches jaunes (reliure de l’époque).
Édition originale de la traduction française.
Elle est l’œuvre d’Émile Gigault de La Bédollière (1812-1883). Traducteur prolifique, le premier,
il dévoila aux lecteurs français La Case de l’Oncle Tom.
Très bel exemplaire relié pour le prince Dietrichstein.
Sur ce diplomate et bibliophile autrichien qui fut le précepteur de l’Aiglon à Vienne, voir ci-dessus
Custine (nº 252).
2 000 / 3 000 €