1981 nr 49.pdf - BADA - Högskolan i Borås

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"Va-ten, chetif i,nserte, excrérnent de 1.a terre!"
ckst en ces mot-s que le Lion
Par]& t un joyr au floucheron.
L'autre lui declara la guerre.
"Penses-tu, lui dit-il, q ~ ton ~ e titre de roi
Te fasse peur ni me souci.e?
Un b& est plus puicsant que toi:
Je le mene a ma fantaisie."
A peine il achsvait ces mots
Que liii-meme il sonna la ,charge,
Fut le trornpette et le heros.
Dans ].'abord il se met au larqe.
Puis orend soln tem~s, fond sur le cou
Du liop, quil rend presque f?u.
Le quadrupede &cume, et son =il etincelle;
11. runit; nn se cache, on tremble a l'environ:
Et cette alarrne universelle
Est l'ouvrace dhn mourheron,
Un avorton de mouche en cent lieux le harcelle,
~antôt. pique lf6rhine, et tantat, le museau,
~ a n t ô t ent.re au fond dv naseau.
I
1.a raqe al.ors se trouve a son faSte montee
~'invisib?~ enrlenii triomnhe. etrit de vnir
~u'il nbst qriffe ni dent en la bete irritée
Q L J ~ de la mettre en sano; ne fasse con devoir.
\
mal9eureux Lion se dschire lui-rnerne,
Fait resonner sa queiie 2 ento tour de ses flancs*
9at i , qui nkn peut mats; et sa fi.ireiir extreme
Le fatigue, 1kbat:le voila siir les dent.s.
tinsecte du cambat se retire avec uloire:
Comme il sonna la charge, il sqnne la victoire,
Va partout Irannoncer, et ryncontre en chemin
l!embuscade dhne zrai7nee;
I1 y rencontre aussi sa fin.
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Quelle cnose sar 1; nqus peut etre e~ceignee?
~ b voi.s n beux, dont ïune pst qubntre nos ennemis
Les plus a crzindre sant couvent les plus petits;
feutre, qi;kux ?rands ~krils ta! a gu se soustrajre
Q u ~ perit nour la moindre affaire.
$?tiren och knn+ras+eo Yr La rzntainq+? c?voritrne+~d~r ?Asom i
-- L.PJ~E~P~. och -------. dpn li -.-m- 112 Pyooan.
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