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comme valides toutes les "assurances certifiées Schengen", et a établi sa propre liste sur base de
celles-ci. Les Etats Schengen sont d'accord pour une harmonisation des assurances validées. Une
proposition a été faite d'établir cette harmonisation dans les mois qui viennent.
Des réunions ad hoc sont organisées à propos des questions de fraudes.
3. Défis pour 2014-2015:
Suite à la hausse des demandes en 2012-2013, les Etats membres ont essayé de rendre leurs services
visas plus efficaces par un recours aux prestataires de service extérieurs pour les demandes de
rendez-vous visas. Ceci semble faciliter le processus pour ceux qui ont choisi de le faire, comme
l'Allemagne, l'Espagne, la France et l'Italie. Par un contrôle plus serré du prestataire de rendez-vous
et l’obligation de confirmation du rendez-vous par les demandeurs, la France a réduit le no-show
d'une moyenne de 40 % à moins de 10%, et l’Italie l'a ramené à 10-15%. En revanche, la Belgique a
opté pour une internalisation de tout le processus, et traite désormais toutes les demandes de rendezvous
de visa par émail.
Certains consulats font face à des problèmes d'accueil, les espaces et le staff sont trop justes
pour répondre à la hausse rapide des demandes de visas. Depuis la mise en place du système VIS,
la France a recruté deux agents supplémentaires en décembre 2013. Mais le service des visas n’a
que 7 guichets opérationnels et la salle d'attente est trop petite. Un projet d’aménagement
immobilier du service des visas qui serait financé en partie sur fonds européen (FSI) a été soumis à
Paris par le Consulat de France. L'Italie emploie 3-4 personnes dans la section visa; l'Allemagne 3;
la Suisse 2 personnes; la Belgique 4 personnes, et l'Espagne 3 personnes.
L'augmentation en 2013 de la fréquence aérienne vers l'espace Schengen a un impact important sur
le travail des Consulats.
ANNEX I: Le tableau des statistiques consulaires 2014
12893/14 PR/lm 67
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