Constructif

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abcd utilise déjà depuis 25 ans
le béton cellulaire Hebel
pour réaliser ses projets.
« 25 ans que je pose du béton cellulaire… » : Francis
Robert, Directeur général d’abcd
« Le béton cellulaire est un produit que l’on connait
depuis de nombreuses années. Les premiers bâtiments
commerciaux que j’ai construits il y a 25 ans étaient déjà
faits en béton cellulaire », aime à rappeler Francis Robert.
« Ce matériau est performant dans les délais de mise en
place, pour ses qualités techniques et thermiques, mais
aussi pour sa couleur ! En effet, le fait qu’il soit blanc
apporte une certaine clarté dans des entrepôts souvent
très mal éclairés, par rapport à un béton gris. Enfin, ce
produit est compétitif en termes de prix, et s’impose
comme une solution évidente quand le budget est serré
et que nous cherchons des économies à proposer à nos
clients. »
Des bâtiments de plus en plus grands…
« Lorsque nous avons créé abcd, nous avions pour objectif
d’augmenter notre chiffre d’affaires de 50 M pendant 4 ans,
pour atteindre 200 M fin 2009. Aujourd’hui nous pouvons dire
que la première partie de l’objectif est atteinte car à fin 2008
nous affichions un chiffre d’affaires d’environ 150 M. Pour 2009,
compte tenu de la conjoncture, nous espérons maintenir l’activité
au même niveau que 2008 », souligne Francis Robert. Cette
progression a été constante depuis la création de la société,
tant sur le plan financier que du point de vue du recrutement
du personnel, qui est passé de 2 à 47 salariés à ce jour. Francis
Robert tient également à faire remarquer que les tailles d’affaires
ont tendance à augmenter en surface, tandis que les coûts ont
plutôt tendance à être tirées vers le bas. Une opération moyenne
pour abcd, c’est environ 10 M. Face à ce constat, Francis Robert
cherche à diversifier l’activité de sa société, tant pour améliorer la
rentabilité que pour amortir les effets de vagues qu’il peut y avoir
dans le domaine des entrepôts logistiques. « On entend ici et là
que ce domaine d’activité est surchargé dans certaines régions,
même si je ne partage pas tout à fait ce constat. Je pense que
le produit logistique est un produit périssable, et qu’un bâtiment
construit il y a 15 ans est devenu caduque et inadapté aux
besoins actuels des logisticiens.