SEDI PAL"t"t:f

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lière et moins significative. Ces paramètres sont calculés par la fonnule clas­
si que
d(h,k,l) = =--1 _
...:.4",,-,(h-,-Z_+--,h.:..:..k:-+----,k,-Z..... ) + 1Z
3a Z
d = distance réticulaire
h,k,l : indices de Miller.
C Z
Les valeurs de "a" et "c" calculées à partir des réflexions (300) et
(OOZ) rrontrent des variations plus importantes pour "a" que pour "c", les substi­
tutions de P0 4 -3 par C0 3 -Z affectant rooins et de façon peu significative "c".
Le paramètre "a" sera donc le seul à être pris en compte pour la caractérisation
des apatites (Figure 47). Il apparaît en effet deux groupes distincts d'apatite
comme il a été observé sur les diffractogrammes :
- Les valeurs de "a" pour les marnes phosphatées et les phospharénites
o
marneuses comprises entre 9,337 A et 9,351 A ;
9,363 A et 9,37Z A.
- Les valeurs de "a" pour les phospharénites argileues comprises entre
En comparant les paramètres suivant la variété minéralogique apatiti­
que selon divers auteurs (Figure 48) avec ceux de nos phosphates, 011 arrive à
l'attribution des apatites du premi er groupe à la francol i te et celles du second
groupe à la fluorapatite.
Ces résultats sont tout à fait différents de ceux de FLICOTEAUX (198Z)
qui, en étudiant le membre à phospharénite (phospharénite argileuse), aboutit
o 0
à des valeurs du paramètre "a" comprises entre 9,3Z A et 9,37 A avec une moyenne
o
arithmétique de 9,343 A. Il attribue ces apatites à la francolite-type de Weal
Franco.