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20 h 00 Projection<br />
Carte blanche à Nathalie Léger.<br />
Cette rencontre sera suivie de la<br />
projection du film Wanda de<br />
Barbara Loden au Magic cinéma<br />
dans le cadre du festival Théâtres<br />
au Cinéma.<br />
17 samedi mars<br />
16 h 00<br />
Médiathèque<br />
Jacques-Duclos<br />
Pierrefitte-sur-Seine<br />
16, avenue Gabriel-Péri<br />
Tél. : 01 72 09 35 10<br />
Accès<br />
rer D station Pierrefitte-Stains<br />
puis bus 168 arrêt Mairie de<br />
Pierrefitte<br />
À lire<br />
Rom@<br />
Gallimard, 2011<br />
17 samedi mars<br />
16 h 00<br />
Médiathèque<br />
Romain-Rolland<br />
Romainville<br />
rue Albert-Giry<br />
quartier Marcel-Cachin<br />
Tél. : 01 71 86 60 15<br />
Accès<br />
Bus 105 arrêt Liberté<br />
À lire<br />
Compile<br />
P.O.L, 2011<br />
Nathalie Léger est auteure et directrice adjointe de l’IMEC<br />
(Institut Mémoires de l’Édition Contemporaine). Elle a déjà publié<br />
chez Allia <strong>Le</strong>s Vies silencieuses de Samuel Beckett (2006) et chez<br />
P.O.L L’Exposition (2008).<br />
Aurore Clément est une actrice et comédienne française, elle<br />
a tournée récemment dans le film L’Hiver dernier de John Shank<br />
(sortie février 2012).<br />
Stéphane Audeguy<br />
rencontre<br />
Depuis 2000 ans, Rome nous fascine et nous raconte l’Histoire<br />
et des histoires. C’est ce que rappelle Stéphane Audeguy dans<br />
son septième livre sélectionné pour le prix Goncourt. Un roman<br />
intitulé Rom@, où le ‘a’ est remplacé par une arobase, comme une<br />
invitation à entrer en dialogue avec la ville, une ville qui se dévoile,<br />
qui prend la parole… Une promenade poétique entre passé et<br />
présent.<br />
Stéphane Audeguy est né à Tours en 1965, il a commencé par<br />
le cinéma, en régie d’abord, puis derrière un banc de montage.<br />
Il vit et travaille à Paris, où il enseigne l’histoire du cinéma et des<br />
arts. Son premier roman, La Théorie des nuages, est sorti en 2005<br />
chez Gallimard.<br />
Christian Prigent<br />
lecture-rencontre<br />
Dans son dernier ouvrage Compile, Christian Prigent souligne<br />
combien la poésie dépasse le mot, et rappelle les liens qu’elle<br />
entretient avec la voix, le corps, la langue. Pour lui, la performance<br />
suscite ‘une forme particulière d’apparition’ du texte. Cet exercice<br />
particulier qu’est la lecture met en relief la ‘trace sonore et rythmique<br />
du geste spécifique appelé écriture’.<br />
<strong>Le</strong>s lectures auxquelles procède Christian Prigent révèlent le<br />
phrasé des écrits, ses rythmes et ses musiques. Elles sont incisives,<br />
ludiques, impertinentes... La poésie est aussi un spectacle.<br />
Christian Prigent est né en Bretagne en 1945. Professeur de<br />
lettres dans l’enseignement secondaire jusqu’en 2005, il est par<br />
ailleurs, Docteur ès lettres. Il a fondé en 1969 et dirigé jusqu’en<br />
1993 la revue et la collection TXT. Il collabore à de nombreuses<br />
revues et publie, essentiellement chez P.O.L, des ouvrages de<br />
poésie, de fiction et des essais littéraires. Il donne régulièrement<br />
des lectures publiques de son travail.<br />
17 samedi mars<br />
18 h 00<br />
Médiathèque<br />
Roger-Gouhier<br />
Noisy-le-Sec<br />
3, rue Jean-Jaurès<br />
Tél. : 01 49 42 67 19<br />
Accès<br />
rer E station Noisy-le-Sec<br />
ou bus 105 arrêt Jeanne-d’Arc<br />
À lire<br />
Je suis une aventure<br />
Arno Bertina<br />
Verticales, 2012<br />
Hymne<br />
Lydie Salvayre<br />
Seuil, 2011<br />
‘Écrire avec un personnage célèbre’<br />
avec Arno Bertina et Lydie Salvayre<br />
Icônes, mode d’emploi. Comment la fiction peut-elle s’emparer<br />
d’un personnage entré dans la légende ? Que peut-elle dire de plus ?<br />
Comment l’écrivain s’inscrit-il dans les interstices de la grande<br />
Histoire ?<br />
Dans Hymne, Lydie Salvayre adresse un chant d’amour à Jimi<br />
Hendrix, auteur d’un magnifique coup de force le 18 août 1969.<br />
À Woodstock, Hendrix le métis chante Star spangled banner,<br />
l’hymne américain, en lui insufflant du blues, du jazz et le fracas de<br />
la guerre du Vietnam. Trois minutes quarante trois qui ont changé<br />
l’Amérique.<br />
C’est à une star déclinante que s’intéresse Arno Bertina dans<br />
Je suis une aventure. En 2008, Rodgeur Fédérère, ‘ le plus grand<br />
tennisman de l’histoire’ commence à perdre des matches. Suit une<br />
folle cavale dans laquelle on croisera aussi le boxeur Mike Tyson<br />
et quelques écrivains. Et si le sportif réglait son compte à la star ?<br />
Lydie Salvayre est la fille d’un couple de républicains espagnols exilés dans le sud de la<br />
France. Après des études de lettres et de psychiatrie, elle commence à écrire à la fin des années<br />
soixante-dix. Elle est l’auteur d’une quinzaine d’ouvrages dont, au Seuil, <strong>Le</strong>s Belles âmes (2000)<br />
ou encore Portrait de l’écrivain en animal domestique (2007).<br />
Arno Bertina est né en 1975. Collaborateur régulier de revues littéraires dont Inculte, il écrit<br />
de nombreuses fictions radiophoniques. Après deux romans parus chez Actes Sud, <strong>Le</strong> dehors<br />
ou la migration des truites (2001) et Appoggio (2003), il publie un récit sous le pseudonyme de<br />
Pietro di Vaglio (La Déconfite gigantale du sérieux, 2004) et une fiction biographique consacrée<br />
à Johnny Cash (J’ai appris à ne pas rire du démon, 2006). Je suis une aventure est son troisième<br />
texte paru chez Verticales. Arno Bertina écrit aussi pour la jeunesse (Dompter une baleine,<br />
Thierry Magnier, 2012). Entre 2004 et 2005 il a été pensionnaire de la Villa Médicis à Rome.<br />
17 samedi mars<br />
18 h 30<br />
Médiathèque Persépolis<br />
Saint-Ouen<br />
4, avenue Gabriel-Péri<br />
Tél. : 01 71 86 63 00<br />
Accès<br />
Métro 13 station Mairie de Saint-<br />
Ouen<br />
À lire<br />
Chez Denoël : Olimpia (2010)<br />
et So long, Luise (2011)<br />
Olimpia lecture par Nathalie Richard<br />
et rencontre avec Céline Minard<br />
<strong>Le</strong> peuple m’a suffisamment comblée en m’appelant Pimpaccia<br />
et impia et putain de pape et suceuse d’Innocent […] il m’a assez<br />
conchiée pour que je puisse lever une armée de Pasquins tout en<br />
merde et remplir d’un bout à l’autre le pont Saint-Ange et couper<br />
ainsi cette ville de hâbleurs de la bulle vide du Saint-Siège désormais<br />
vide d’où l’on veut me chasser.<br />
Dans Olimpia, Céline Minard offre un monologue à Olimpia<br />
Maidalchini Pamphili, belle-sœur d’Innocent X, au<br />
moment où la mort du pontife entraîne son bannissement.<br />
C’est une incantation, un charme, une malédiction lancée à la face<br />
de Rome par une papesse déchue dont la rage est proportionnelle<br />
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