26.11.2014 Views

Le programme

Le programme

Le programme

SHOW MORE
SHOW LESS

You also want an ePaper? Increase the reach of your titles

YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.

30 vendredi mars<br />

18 h 00<br />

No more reality<br />

performance d’Emmanuel Adely<br />

30 vendredi mars<br />

19 h 00<br />

concordan(s)e, le livre<br />

rencontre avec Sophie Loizeau et Emmanuelle Pagano<br />

Médiathèque<br />

Georges-Brassens<br />

Drancy<br />

65, avenue Marceau<br />

Tél. : 01 48 96 45 67<br />

Accès<br />

rer B station <strong>Le</strong> Bourget<br />

À consulter<br />

http://emmanueladely.free.fr<br />

À lire<br />

Sommes<br />

Emmanuel Adely<br />

Argol, 2009<br />

En mai 2007, Emmanuel Adely ouvre une revue de presse sur<br />

son blog http://emmanueladely.free.fr. Ce centon médiatique et<br />

quinquennal s’arrêtera en mai 2012. Un centon est une œuvre littéraire<br />

constituée d’éléments repris à une ou plusieurs autres, et<br />

réarrangés de manière à former un texte différent. <strong>Le</strong> terme latin<br />

(cento) désigne une pièce d’étoffe faite de morceaux rapiécés.<br />

No more reality est un corpus de plus d’un million de signes.<br />

Emmanuel Adely en fait une lecture transversale, un condensé<br />

des cinq années écoulées entre deux élections présidentielles.<br />

Emmanuel Adely est auteur, depuis plusieurs années il expérimente<br />

d’autres formes d’écriture comme dans J’achète – journal<br />

comptable d’achats quotidiens (Inventaire/Invention) ou No more<br />

reality, couvrant la durée de l’actuel quinquennat. Son œuvre est<br />

plastique, politique, sonore. Elle grandit à côté du champ littéraire<br />

et de ses acteurs médiatiques. Toute parole est matière à création<br />

dès lors que les faits, les dates, les heures échappent à la dépêche<br />

clinique, se précipitent et éclatent en fragments, en alliages nouveaux,<br />

en un langage (flux, rythme et sens) inédit.<br />

Médiathèque de Bagnolet<br />

1, rue Marceau<br />

Tél. : 01 49 93 60 90<br />

Accès<br />

Métro 3 station Gallieni<br />

À lire<br />

Concordan(s)e, L’œil d’or, 2012<br />

La Femme lit, Sophie Loizeau<br />

Flammarion, 2009<br />

L’Absence d’oiseaux d’eau<br />

Emmanuelle Pagano, P.O.L, 2010<br />

À noter<br />

<strong>Le</strong> 30 mars deux Concordan(s)e se<br />

jouent au théâtre de l’Échangeur<br />

de Bagnolet. Renseignements :<br />

www.lechangeur.org<br />

<strong>Le</strong> festival concordan(s)e commande aux écrivains un texte inédit.<br />

Pour garder une trace de ces textes concordan(s)e et les éditions<br />

L’œil d’or ont décidé de les publier accompagnés de photos des<br />

créations chorégraphiques.<br />

À l’occasion de la parution de la deuxième édition, la médiathèque<br />

de Bagnolet invite Sophie Loizeau et Emmanuelle Pagano qui<br />

ont toutes deux participé à l’aventure concordan(s)e en 2010.<br />

Sophie Loizeau vit à Versailles. Elle est titulaire d’un DEA de<br />

lettres modernes et exerce actuellement, après avoir été enseignante,<br />

la profession de psychologue à l’Éducation nationale. Elle est aussi<br />

auteure et a à son actif de nombreuses publications et parutions<br />

dans des revues de littérature et de poésie.<br />

Emmanuelle Pagano est l’auteure aux éditions P.O.L de quatre<br />

romans, le dernier L’Absence d’oiseaux d’eau, paru en 2010 était à<br />

l’origine un échange de lettres avec un autre auteur. Ils se l’étaient<br />

représenté comme une œuvre de fiction. Ils ne savaient pas jusqu’où<br />

le pouvoir du roman les mènerait. Il est sorti de sa vie brutalement en reprenant ses lettres.<br />

Il y a donc des vides dans ce roman, des ellipses dans lesquelles il faut imaginer les lettres qu’il<br />

publiera peut-être un jour.<br />

30 vendredi mars<br />

18 h 00<br />

Bibliothèque<br />

Guy-de-Maupassant<br />

Neuilly-Plaisance<br />

11, rue du Général-de-Gaulle<br />

Tél. : 01 43 00 30 30<br />

Accès<br />

Bus 127 arrêt G. Clemenceau, ou<br />

rer A station Neuilly-Plaisance<br />

À lire<br />

Agatha Christie, duchesse<br />

de la mort<br />

<strong>Le</strong> Masque, 2011<br />

L’intégrale d’Agatha Christie<br />

en BD chez EP éditions<br />

‘Redécouvrir… Agatha Christie’<br />

avec François Rivière<br />

Quelle littérature a nourri les auteurs d’aujourd’hui ? Cette année<br />

encore Hors limites propose des redécouvertes, hommage d’écrivains<br />

à leurs auteurs de chevet.<br />

En 1981, François Rivière publie Agatha Christie, duchesse de la<br />

mort, une biographie de la grande dame du crime, doublée d’un<br />

essai. Illustré par un cahier de photos, le livre retrace les grandes<br />

étapes de la vie d’Agatha Christie et voyage à travers son œuvre.<br />

Enquêteur passionné, François Rivière a même reconstitué<br />

l’emploi du temps heure par heure d’Agatha Christie lors de sa<br />

mystérieuse disparition en 1926 : complot ou mise en scène ? Cet<br />

épisode reste une zone d’ombre dans la biographie de l’auteure de<br />

Mort sur le Nil, un mystère non dénoué qui lui a permis de créer<br />

sa propre mythologie. François Rivière a aussi adapté en bandes<br />

dessinées quelques chefs-d’œuvre d’Agatha Christie.<br />

François Rivière est romancier, essayiste, critique littéraire et scénariste d’une soixantaine<br />

de bandes dessinées. Biographe d’Hergé, J.M Barrie (l’auteur de Peter Pan), Edgar P. Jacobs<br />

ou encore Enid Blyton, il est aussi le maître d’œuvre de l’intégrale San Antonio parue dans<br />

la collection Bouquins (Robert Laffont). Son dernier roman, <strong>Le</strong> Mariage de Kipling (Robert<br />

Laffont, 2011), est une fiction sur les jeunes années de l’auteur de Kim et du Livre de la jungle.<br />

30 vendredi mars<br />

19 h 00<br />

Médiathèque<br />

Georges-Perec<br />

Gagny<br />

20, avenue Jean-Jaurès<br />

Tél. : 01 43 02 45 36<br />

Accès<br />

rer E station Gagny<br />

À lire<br />

Ces âmes chagrines<br />

Léonora Miano<br />

Plon, 2011<br />

À consulter<br />

www.gasandji.com<br />

Léonora Miano<br />

rencontre-concert avec Gasandji<br />

On connait Léonora Miano pour ses romans percutants et violents,<br />

peut-être un peu moins pour la musique qui l’habite et qui<br />

pourtant l’inspire beaucoup lorsqu’elle crée la structure de ses<br />

livres. Elle est d’ailleurs entourée de musiciens et chanteurs, ellemême<br />

depuis quelques années a eu l’audace de se lancer sur scène.<br />

Léonora Miano est née en 1973 à Douala au Cameroun et réside<br />

en France depuis 1991. Enfant, elle rêvait d’arpenter elle aussi<br />

les scènes de music-hall, en regardant des artistes comme Cyd<br />

Charisse dans les comédies musicales dont raffolait son père.<br />

L’écriture, dit-elle, est simplement une chose qui lui est arrivée<br />

sans qu’elle puisse l’empêcher. Selon elle, on écrit en raison d’une<br />

certaine tournure d’esprit et parce qu’on y est poussé. Léonora<br />

Miano nous invite en deuxième partie de soirée à découvrir la<br />

chanteuse Gasandji.<br />

Gasandji est originaire de la République Démocratique du Congo, elle arrive en France<br />

à l’âge de 13 ans. Après avoir obtenu son bac, elle se dirige vers la danse, qui la conduira à la<br />

chanson. À partir de rencontres et collaborations variées, Gasandji se construit un univers<br />

particulier, singulier, mélangeant les influences, à l’écoute des mélodies et des émotions.<br />

40 41

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!