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dossier 99/31.65
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techniques
avec mécanisme de
puisage et couvercle
avec mécanisme de
puisage et couvercle
Rôle de la - Main-d’œuvre bénévole - Main-d’œuvre bénévole - Toutes les attributions
population
- Participation financière
- Prise en charge de
comme Maître
d’Ouvrage
l’entretien
Financement - ca. 27 M BEF - DGIS - ca. 35 M BEF - DGIS - ca. 17 M BEF - DGIS
7.1.3.3. Appréciation de la période ‘95-’97
La troisième phase du programme d’hydraulique villageoise de la SNV-Bénin a démarré en avril
‘95. Conçu initialement comme un projet sectoriel pluri-annuel, les moyens financiers limités mis
à disposition par la coopération néerlandaise ont obligés les initiateurs à réduire les objectifs. Les
travaux d’infrastructure restaient limités au creusement d’environ 35 nouveaux puits entre mi-’95
et fin 1996. Les Comités de Gestion des puits ont été accompagnés jusqu’au début de 1998. Au
cours des années ‘97 et ‘98, quelques puits ont encore été construits selon la même approche et
avec la même équipe, mais sous financement et sur demande des PADE’s.
Pendant cette troisième phase, l’équipe exécutive a été fusionnée avec l’équipe d’un autre projet
d’infrastructure de la SNV-Bénin, notamment le Projet de Désenclavement Rural.
Ces deux projets sectoriels visent surtout à accompagner les communautés dans leur rôle de
maître d’ouvrage pour des infrastructures hydrauliques et de désenclavement (ouvrages de
désenclavement et pistes rurales). Cet accompagnement doit permettre aux communautés de
renforcer leurs capacités d’analyse, d’organisation, de gestion et de négociation.
L’évaluation de cette phase, qui a eu lieu en février ‘97 a démontré que :
• L’objectif opérationnel, notamment d’améliorer l’approvisionnement en eau et
l’assainissement, reste extrèmement pertinent dans le Nord du Bénin.
• La valeur ajoutée du projet est liée à sa bonne connaissance du milieu et du métier, entre autres
grâce aux synergies avec les PADE’s qui accompagnent les communautés à plutôt long terme.
• Les 35 puits, réalisés par des puisatiers privés, sont de bonne qualité et bien gérés par des
comités locaux.
• La sensibilisation est assez développée et donne de bons résultats en ce qui concerne l’hygiène,
la gestion des puits et la compréhension de certains nouveaux concepts comme la
contractualisation, la maîtrise d’ouvrage...
Comme marges de progrès, on a identifié :
• Un suivi de suivi et de pilotage qui est encore trop axé sur les activités et non pas sur les
résultats concrets et sur une performance et efficience optimales.
• Le volet animation pure, en tant qu’outil pour renforcer les capacités des villageois à analyser,
décider et s’organiser est encore trop cantonnée, ne dispose pas encore d’outils adéquats et ne
cherche pas assez de synergies avec d’autres intervenants.
Même que le programme existe déjà depuis 15 ans, et même que plusieurs autres acteurs sont
également actifs dans le secteur de l’hydraulique villageoise dans cette région, les autorités
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