clconnect Octobre 2017

thématiques des bonnes pratiques (venues du
Luxembourg et de nos pays voisins) à mettre
en action pour renforcer leur attrait pour le
consommateur en tant que lieu de commerce.
Je tiens d’ailleurs à préciser que nous avons rencontré
il y a quelques jours la Bourgmestre de la
Ville de Luxembourg, Lydie Polfer, pour lui exposer
notre mission pour le commerce des villes
du pays entier. Non pas que nous souhaitons
nous substituer à l’UCVL (Union Commerciale
de la Ville de Luxembourg), mais nous souhaitions
exprimer notre vocation de faire du
Grand-Duché de Luxembourg, et la Ville de
Luxembourg en est le centre, un point d’attrait
pour les consommateurs.
On parle beaucoup de la RSE (Responsabilité
Sociétale des Entreprises). Comment la clc
s’inscrit-elle dans cet enjeu de société ?
La clc a le label RSE depuis 2011 et a depuis eu
2 renouvellements. Je suis persuadé qu’il y a
un énorme potentiel si l’on met en place une
politique RSE dans l’entreprise. Par exemple, en
centralisant les imprimantes ou en supprimant
certains containers à déchets, on fait réfléchir les
collaborateurs sur la production des déchets et
leur traitement. Nous vivons encore bien trop
dans un monde qui ne se soucie que très peu
du recyclage, alors que nous devrions vraiment
prendre l’opportunité d’une économie circulaire.
Il faut réfléchir à long terme. Nous sommes d’ailleurs
en tant que clc engagés dans les réflexions
d’un projet de cocréation d’une zone urbaine
innovante avec une approche d’économie circulaire
afin de créer un mix entre habitat, commerce
et industries créatives.
Quel est votre souhait pour la clc ?
Mon souhait pour la clc est qu’elle renforce sa
place établie dans le monde des organisations
patronales. Elle doit se voir comme organisation
complémentaire et incontournable dans le
monde des entreprises et des entrepreneurs. Elle
doit aussi faire entendre sa voix pour créer de la
valeur dans un but de développement du pays
qui se trouve face à de nombreux défis.
Je souhaite aussi que la clc sache trouver des
successeurs à ceux qui en assurent aujourd’hui
la gouvernance et qu’elle réussisse à attirer des
jeunes prêts à s’engager au-delà de leurs entreprises
pour les secteurs que nous défendons.
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