Handreichung Geschichte deutsch-französisch in der Sekundarstufe I

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M 32 Dossier supplémentaire Schneider
Donnés biographiques de la famille Schneider
Eugène Schneider (1805-1875)
Premières
années:
1805
Naissance dans une famille de propriétaires terriens
de Lorraine. Employé de la banque Seillière. Etudes
au conservatoire d’Arts et Métiers.
Grundbesitzer
une université
1827-1838 Il dirige les forges de Bazeilles dans les Ardennes. la forge - Schmiede
1836 Il achète avec son frère les forges du Creusot, avec
l’aide financière de la banque Seillière.
des crédits
1837 Mariage avec Clémence Lemoine Des Mares, de la
famille de Neuflize, banquiers et industriels,
propriétaires de forges de Bazeilles. Gérant de la
société « Schneider frère et Cie ». Il spécialise les
directeur, dirigeant
compagnie (f)
usines du Creusot dans les productions
métallurgiques destinées aux chemins de fer et à la
marine.
1845 Il est élu député. Abgeordneter
1851 Ministre du Commerce et de l’Industrie. Dirigeant de
la banque de France.
1867-1870 Président du Corps législatif. équivalent de
l’Assemblée nationale
aujourd’hui
1870 A la demande du gouvernement, il se tourne vers la
production de canons en acier.
1875 A sa mort, son fils Henri lui succède à la tête de la
société.
Henri Schneider (1844-1898)
1875 Gérant de la société. Il la lance dans la production
d’armement et les constructions mécaniques. Député.
succéder à – nachfolgen
lancer qc/qn dans – ici :
commencer à produire dans
ces secteurs
Eugène Schneider (1868-1942)
Il finance un groupe d’affaires métallurgiques en
France et à l’étranger.
1914-1918 Il assure la coordination des industries d’armement. Rüstungsindustrie
Ses deux fils, Jean et Charles, gèrent ensuite
l’entreprise.
1960 A la mort de Charles, qui laisse deux filles, la dynastie
Schneider s’éteint.
gérer - diriger
s’éteindre – se
terminer
Zusammenstellung aus:
Histoire Géographie 4 e . (2006). Hg. v. Sébastien Cote et Jérôme Dunlop, Paris : Nathan. S. 127.
Histoire Géographie 4e. (1992). Initiation économique. Hg. v. Bendjebbar, Paris : Hatier. S. 146.
(Adaptierte Fassung)