Christiaan Huygens – A family affair - Proeven van Vroeger

The making of the horloge ran almost entirely parallel to that of the telescope. Its
production was of a greater scale than that of the telescope, as by its nature the pendulum
clock was an instrument that generated the demand of more people. In the first years after
Christiaan’s invention of the pendulum clock in 1656 he took his time for its improvement and
the recognition for his priority. Throughout the years 1662-1664 Christiaan and his brothers
Lodewijk and Constantijn corresponded intensively on the technical details, the fabrication
and the dispersal of the pendulum clock. Whether he was in Paris 353 (1662) or in The Hague 354
(1663), Lodewijk functioned as Christiaan’s main channel for arranging the “production-line”
with the clockmakers, getting all the necessary information for devising them and providing
impatient peers with news or details – without bringing the secret mechanisms in danger.
Christiaan also gave him many requests to send pendulum clocks either to him or to others –
sometimes asking Lodewijk, or more commonly his father, to pay for them 355 – and discussed
his father’s ideas as how to improve the pendulum clock such that it could be used at sea with
him. 356 Constantijn Jr. also took an active role in arranging the distribution of pendulum
skepticism: HUYGENS, C. (1888) OC., Vol. V, No. 1260 (Oct. 1664); No. 1263 (Oct. 30, 1664): “Pour
la forme de la lunette de Campani je le crois, mais pour la bontè non. Nous avons fait essayer sur vostre
description”.
352 HUYGENS, C. (1888) OC., Vol. V, No. 1266 (Oct. 31, 1664): “L’on admire a Paris le microscope,
que mon Pere y a portè de sa facon qui m’escrit aussi des merveilles d’une lunette de 2 ½ pieds a 4 verres
de Campani, qui fait voir droit et fait a ce qu’il dit, une fort belle ouuerture.” Robert Moray, in England,
was very impatient in his wish for father Huygens to obtain and show the Campani telescope in
England: HUYGENS, C. (1888) OC., Vol. V, No. 1280 (Dec. 5, 1664); No. 1268 (Nov. 7, 1664): “Je
serois rauy de voir ce Telescope de Campani. Voyez si Monsieur vostre pere le peut auoir.”
353 HUYGENS, C. (1888) OC., IV, No. 986 (Feb. 28, 1662): “La pensée de mon Pere sur ce suject, qu’il
m’a envoyée est bonne en effect et la mesme que j’ay eue il y a long temps, a scavoir de suspendre
l’horologe au bas d’un pendule grand et pesant, mais il y faut encore autre chose pour la guarantier du
choc de haut en bas, dont je croy aussi maintenant de scavoir l’invention.”
354 Oeuvres, Vol. 4, No 1104 (Apr. 6, 1663): Christiaan orders Lodewijk to bring the new horloge to
Severyn. “Je voudrais bien que vous renvoiassiez ma nouvelle horologe a Maistre Severyn a fin qu’il la
fit aller comme it faut, et la gardast jusqu’a mon retour”. Vol. IV, No 1151 (Oct. 5, 1663): Christiaan to
Lodewijk: “Donnez ordre aussi au dit Horologer de faire une horologe a pendule de 3 pieds comme la
miene mais qui aille une sepmaine, a contrepoids, et simplement sans sonnerie.” Vol. V, No. 1228
Christiaan to Lodewijk (April 26, 1664): “(...), on nous l’a delivree ce matin. L’ayant ouverte nous avons
trouuè 2 des horloges en trespitoyable estat, a scavoir celle avec la caille de tortue, et celle de 8 jours;
toutes les pieces de la premier s’estant defaites, et les arbres de 3 ou 4 roues rompus. (...)”
“A celle de 8 jours le timbre est en pieces, la queue du marteau, et quelques autres pieces rompues, parce
que l’ouurage s’est detachè de la platineet a roulè ainsi par la boete, qui est aussi fort endommagee par
les costez. La 3me horologe comme par miracle est demeurée entiere, ayant estè couchée entre les 2
autres”
355 Oeuvres, IV, No 977 – Christiaan to Lodewijk (Feb. 15, 1662): “Voicy la copie de ma table de
l’equation du temps, et comment il s’en faut servir. Vous en pourrez faire part a Martinet l’horologer et
d’autres qui la desireront”. In April 1662 Constantijn Sr. paid for horloges, made by Thuret and ordered
by Christiaan: HUYGENS, C. (1888) OC., Vol. IV, No. 1004 (Apr. 12, 1662).
356 Ibid., Vol. IV, No. 1177 (Dec. 6, 1663): “Toot [Lodewijk] a promis de payer la monstre de Bouillaut”.
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