ET COCHINCHINE

LlFRS I, CHAPITRE 111.
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devaicnt plus q~iiltcr avi~nt d'avoir vengb , par la
chute des forb du Pci ho, I'insulte kite ;lux pavilions
allifis.
Aussitbt que le gkneral eul reconnu pil' lui-111Cmc
~ U C le dkharquemenk powait s'cffeclucr sans dangc~.
pour lcs troupes, il cnvoga un dl: scs aides du u;lmp
porter I'ordre aux g&n&l-aux Ji~mir~ et Collinenu dc dCbarquc!r
arce Icur brigadc et de wnir le rcjoildrc sur
des poi11 ts qu'jl lcur itssignai I.
Ccs dcux chefs, aclifs ct cntrrtprennnts, attendaicnl
imp;tlit.mrnent cel 0141-e. Dietllbt toutcs Ics troupcs arrivirrent
cn bon ordre; ~nais la batterit dc monlagnc pl;L
seulc alteindrc la terre. En *a111 artillcurs ct c-hcv:~nx
iirent des eflorts surhumains, il rut ililpossiblc de faire
avanccr dnns la ks bnlturies dc 4 qr~i avnienl ilc
dkbatplrCes. Lcs t-oues unfoor,aicnt i moilie, el les chcvans
s'al~a ttaieot sans pouvoir avancel. d'un pas.
I-SSYI. - a En touchant cctk terrc si difficiic & itbordcr
(Ccrit le gCnCd de JIonhuban), nos hommes furcot
Clcclrisb, et le cri Be : viuc I'Ernpcl.cur! sortit nwc entllousiasme
de chaquc poilrinc. Torit Chit oublifi, et les
Anglais ripondnient par des hourras h nos cris dc con-
~IIE~C (1).
Le gCn6ral de Nontauhan cnvoya aussitirt lc cl~cf dc
balaillon Guiilol de la Poleric occupcr avec ses chasseurs
la chauss&c et lc pont qui scrvaicnt de communl-