ET COCHINCHINE

LIYRE I, CHAPITRE IIJ. 87
amiral bkt, on pournit dChnrquer Sin-ko, A sepl
ou huit lieurn environ da dernier fort de la rive droile.
- On samit mCme par dcs documents cnvo~k prrr
Pgr Bouly, Cv&quc du Pelchi-li, que le principal fort
n'ttait pas dCfendu A la goqe, et que l'acc~~mulation
des dhfenses etait tournhe du cbtC dc h mer, les Chinois
6ti-1nt conmincus qu'on opCrerait le d&l,arqucrncnt aprk
avoir forcE I'entree da Pci ho.
Jk @nkral Grant et l'arniral Hopc demandaient que
l'on debarqu51 seulement dans le nod, objcctant qu'il
n'y avait point au sud du Pel ho de limx de #barquement
offrant dcs conditions aussi fa~orables sous tous
les rapports que dans h rivihre de Pch-fang; il c-mignail
surtout la dificulte dcs cummunications.
LIT. - Cepcndanl, l'arniral Hopc rcconnaissait lui-
~n&mc h just= des apprbciations Enlists par le g&n&ml
cn c-hcl francais, car plusieurs mois avant cettc rhuniorl
(20 scpt. 18501, il Ccrinit dans un rapport au secrtlaire
Be IkmimutC : a La scule objection au dhharpcment
sur le c8b5 nord de la riviEre du Pei' 110, c'cst que lc
principal fort cst sur le cirti! sud ; par consi.q~lent, dans
lc cas dc dfibarquemcnt au sud, la rdduction du fort le
pins considh-al ~le en trainerail prabablement cclle du
fort plus iaible de l'autic cdtC, ;lincc pcu ou point dc
rkishnce, tandis que Ic r&sulht est tout conlrairc dans
I'hypothh invcrse. s
La discussion durn prCs dc qmtrc beures, ct Ic gCnCral
fran~s fut asscz hcureuu pour bire prcvaloir