L'amour de l'histoire locale
L'amour de l'histoire locale
L'amour de l'histoire locale
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
I so Clautlirir Vidiil, Aloin Brunet<br />
pas lieu ; la Société, réduite à quelques fidèles, ruinée, avait perdu son public. Son<br />
nouveau prési<strong>de</strong>nt, Alfred Falaize, publia à grand-peine, en 1908, les travaux <strong>de</strong><br />
1904 et 1905, puis ce fut le silence jusqu’en 1937. La municipalité se contenta <strong>de</strong><br />
fermer les <strong>de</strong>ux pièces qui constituaient le musée <strong>de</strong> la Société.<br />
Trois décennies sans aucune activité. Curieusement, le <strong>de</strong>rnier carré eut un<br />
réflexe <strong>de</strong> survie légale, maintint un bureau statutairement constitué, conserva le<br />
livret <strong>de</strong> Caisse d’épargne <strong>de</strong> la société et un titre du Crédit foncier. I1 y eut, en<br />
1912, une réunion qui confirma les rôles respectifs <strong>de</strong>s membres du bureau.<br />
TreiLe ans plus tard, en mai 1925, Alfred Falaize convoquait une réunion par I’in-<br />
termédiaire du docteur Gannelon, secrétaire <strong>de</strong> la Société (voir note 24). I1<br />
s’adressait aux sept sociétaires : cinq (< anciens >>, titulaires en 1905 (lui-même,<br />
Madame Albert Duflot, le docteur Gannelon, Adrien Herbert, déjà ancien notaire<br />
à cette date, Louis Lefèvre, ancien notaire) et <strong>de</strong>ux > (Henri Penant,<br />
mé<strong>de</strong>cin lui aussi,et Robert Falaize, avoué comme son père). La lettre proposait<br />
I’élection d’un nouveau bureau et la reprise <strong>de</strong>s activités