Roger Picon : histoire <strong>d'Antoine</strong> <strong>Martinez</strong> Le stade de France C’était Marcel, aidé par un GPS farceur qui tenait le volant. Que dire du trajet ? Pas grandchose tant que nous sommes restés sur les grands axes. Nous nous sommes arrêtés deux fois, classique, la première pour se dégourdir les jambes, et la seconde pour nous alimenter dans un restaurant d’autoroute, en y prenant par la même occasion, notre première saucée, juste avant d’entrer dans la salle à manger ! Nous avons compris que nous étions attendus et que le Syndicat d’Initiative avait tenu à bien faire les choses ! En effet, la pluie nous a titillés pendant une partie de l’après-midi – rien de bien méchant – et a bien voulu ne pas nous gâcher notre soirée folklorique. Mais revenons à nos déboires de début d’après-midi. Là où nous avons commencé à avoir du souci à nous faire, c’est quand, une fois parvenus, sans l’ombre d’un doute, à quelques dizaines de mètres de notre objectif, ce GPS, consciencieusement, nous a fait visiter toutes les bretelles des autoroutes qui encerclent la ville de Madame Aubry ! Ca n’a pas été triste mais, après avoir fait appel à notre sens aigu de l’observation, nous en avons déduit que nous aurions une meilleure approche en se fiant à notre sens de l’orientation inclus d’origine dans les méandres de notre cerveau ! Hélas, encore une fois, nous nous étions un peu trop avancés. Des autochtones compatissants nous ont un peu mis sur la bonne voie et c’est à pied que nous avons accompli les manœuvres finales d’approche ! Euréka ! L’hôtel était là, qui nous attendait sagement! Cette fois nous avions un point de repère pour nous orienter, et quel point ! La tour du siège du Conseil Régional ! Encore un petit circuit, digne d’un lillois chevronné, et notre voiture s’était trouvée rangée sagement, pour la nuit, dans le garage de l’Hôtel ! Ouf ! L’explication de nos déboires et de la crise de nerfs qui couvait, tenait seulement au fait que l’adresse de ce satané hôtel, dans un quartier en plein aménagement, ne figurait pas dans la mémoire du serveur ! A quoi tiennent les choses ! Encore un peu, et la guerre de 14-18 faisait des victimes collatérales ! Nous en avons profité pour visiter Lille qui est une ville magnifique (voir photos). Nous avons progressé, en prenant force photos, vers la gare des TGV où j’aurais à prendre mon train le surlendemain. La nécessité de nous refaire une santé, l’heure étant propice à cette activité nous a incités à nous asseoir à la terrasse d’un restaurant, juste en face de la gare « normale » où nous avons respecté la coutume locale en mangeant des moules-frites arrosées d’une bière pression ! http://www.mekerra.fr le site des anciens du lycée Leclerc de Sidi-bel-Abbès et de la plaine de la Mekerra 82
Roger Picon : histoire <strong>d'Antoine</strong> <strong>Martinez</strong> L’hôtel de ville La porte de Paris http://www.mekerra.fr le site des anciens du lycée Leclerc de Sidi-bel-Abbès et de la plaine de la Mekerra 83