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M.I.L VIGILANCE - MIL la droite civique gaulliste et patriote

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officiellement des sports au ministère de l’Intérieur. Rien de plus normal pour<br />

un ancien prof de gym devenu député socialiste. Sauf qu’ils s’occupent d’autre<br />

chose : les deux hommes veillent en fait, entre 1989 <strong>et</strong> 1991, sur les affaires<br />

corses.<br />

À l’époque, Pierre Joxe est ministre <strong>et</strong> son proche conseiller pour <strong>la</strong> police<br />

s’appelle Patrice Bergougnoux. Depuis, Jean Hugues Colonna <strong>et</strong> Didier Vino<strong>la</strong>s<br />

sont restés très amis. Ce qui fragilise naturellement le témoignage de Vino<strong>la</strong>s<br />

devant <strong>la</strong> cour d’assises.<br />

D’autant plus que le mystérieux informateur du commissaire Vino<strong>la</strong>s, que<br />

Bakchich connait bien, est un militant socialiste fort actif en Corse du Sud <strong>et</strong><br />

responsable du Grand Orient, une obédience à <strong>la</strong>quelle appartiennent également<br />

Jean Hugues Colonna <strong>et</strong> Patrice Bergougnoux. Un monde très fraternel.<br />

Ce n’est pas <strong>la</strong> première fois que le nom de Jean­Hugues Colonna, ancien<br />

député socialiste <strong>et</strong> tombeur du maire de Nice, Jacques Médecin, apparaît<br />

dans le feuill<strong>et</strong>on tragique qu’a constitué l’assassinat du préf<strong>et</strong> Erignac. Lorsque<br />

les membres du commando sont arrêtés, le vendredi 21 mai 1999, les flics<br />

anti­terroristes <strong>la</strong>issent échapper Yvan Colonna, qu’ils vont rechercher dans sa<br />

bergerie seulement le lendemain samedi, <strong>et</strong> encore dans l’après midi.<br />

Depuis, une polémique fait rage chez les flics sur ce raté. Pour certains, pas de<br />

doute. Au moment de l’arrestation du commando anti­Erignac, le père Colonna<br />

aurait fait jouer ses appuis au ministère de l’Intérieur, en actionnant notamment<br />

Patrice Bergougnoux, devenu sous Chevènement, en 1999, le patron de <strong>la</strong><br />

puissante Direction générale de <strong>la</strong> police nationale qui a surveillé toute<br />

l’arrestation du commando.<br />

Une certitude : le témoignage d’un ami de monsieur Colonna père doit être pris<br />

avec d’infinies précautions…<br />

Bakchich.info du 17 février 2009<br />

ESPAGNE : DES POLICIERS DENONCENT LES "QUOTAS" D'AR­<br />

RESTATIONS D'ETRANGERS<br />

"Le préf<strong>et</strong> de police donne chaque semaine l'ordre aux commissaires d'arrêter<br />

un certain nombre d'étrangers", a dénoncé le secrétaire général du syndicat<br />

Union fédérale de police (UFP), Alfredo Perdiguero. Selon lui, les commissaires<br />

transm<strong>et</strong>tent ces ordres aux agents, qui "en ont assez de subir ces pressions".<br />

Consultée par l'AFP, <strong>la</strong> préfecture de police de Madrid n'était pas en mesure,<br />

dimanche après­midi, de commenter c<strong>et</strong>te information. "Arrêter des étrangers<br />

sans­papiers fait partie de nos fonctions mais on ne doit pas le faire par obligation,<br />

seulement pour améliorer les statistiques de <strong>la</strong> préfecture de police", a<br />

ajouté Alfredo Perdiguero. Selon lui, c<strong>et</strong>te pratique remonte au mois d'octobre<br />

2008, lorsque l'actuel préf<strong>et</strong> de police de Madrid, Carlos Rubio, a pris ses<br />

fonctions, en provenance de Valence (est) où il appliquait déjà ces mesures.Selon<br />

une note interne d'un commissariat madrilène, citée par l'agence<br />

Europa Press, les quotas de sans­papiers à arrêter sont fixés en fonction du<br />

nombre d'habitants des quartiers couverts par chaque commissariat. Il est par<br />

ailleurs recommandé aux agents d'arrêter en priorité des sans­papiers marocains,<br />

les démarches pour leur rapatriement étant plus faciles <strong>et</strong> moins coûteuses<br />

que pour des immigrés d'Amérique du sud, selon c<strong>et</strong>te note.<br />

Le Nouvel Obs.com du 15 février 2009<br />

LE BOURREAU KHMER ENFIN JUGE<br />

Trente ans après <strong>la</strong> chute du régime khmer rouge, se tiendra à Phnom Penh<br />

l'audience initiale du premier procès organisé par le tribunal mixte qui doit juger<br />

les responsables d'un génocide ­ entre 1,7 million <strong>et</strong> 2 millions de Cambodgiens<br />

y ont trouvé <strong>la</strong> mort, de 1975 à 1979. Destinée à régler des points de procédure,<br />

elle prépare l'ouverture des débats sur le fond. Mis en accusation pour<br />

crimes contre l'humanité, vio<strong>la</strong>tions des conventions de Genève <strong>et</strong> du Code<br />

pénal cambodgien, Kaing Kek Iev, alias Duch, 66 ans, est sous les verrous<br />

depuis 1999. Il doit répondre de "meurtres, extermination, réduction en esc<strong>la</strong>vage,<br />

torture, viol, persécution politique, <strong>et</strong> autres actes inhumains". Prof de<br />

maths dans les années 1960, c<strong>et</strong> homme chétif, de faible stature, était chef du<br />

Santebal, "branche spéciale" de l'appareil d'épuration du régime. A ce titre, il a<br />

dirigé le centre de détention S­21, installé en 1976 dans l'ancien lycée Tuol<br />

Sleng, au coeur de Phnom Penh. Où l'on a supplicié de 17 000 à 20 000 prisonniers,<br />

dont nombre de cadres khmers rouges, afin de leur "extraire" les<br />

aveux d'une présumée "trahison". Sans nier son rôle à S­21, Duch cherche à<br />

se présenter comme un simple exécutant aux ordres. Lors de <strong>la</strong> chute du<br />

régime, ce bureaucrate obsessionnel a abandonné sur p<strong>la</strong>ce plus de 100 000<br />

pages témoignant de ses agissements. Interrogé par lui lors de sa capture par<br />

des maquisards khmers rouges en 1971, l'<strong>et</strong>hnologue François Bizot avait<br />

entrevu sa cruauté (Le Portail, Folio). En 1995, Duch s'est converti au christianisme.<br />

Lors des reconstitutions judiciaires, on l'a vu prier <strong>et</strong> verser des <strong>la</strong>rmes.<br />

Secoué par des allégations de corruption qui ont poussé l'Allemagne à geler sa<br />

dotation, le tribunal ne pourra guère entreprendre avant 2010 le procès des<br />

quatre autres prévenus ­ âgés de 77 à 82 ans <strong>et</strong> de santé précaire. Au risque<br />

qu'ils passent de vie à trépas avant le terme du processus ­ calcul prêté au<br />

Premier ministre, Hun Sen.<br />

L’Express.fr du 16 février 2009<br />

<strong>MIL</strong>­<strong>VIGILANCE</strong> N° 9/2009<br />

Mouvement Initiative <strong>et</strong> Liberté, 75 rue L. Rouquier 92300 Levallois<br />

Imprimerie spéciale<br />

«JE SUIS FIER D’ETRE GAULLISTE»,<br />

a déc<strong>la</strong>ré Raoul Béteille, ancien député RPR, président du Comité d’honneur du <strong>MIL</strong>.<br />

ET VOUS ? SI VOUS AUSSI VOUS ETES FIER D’ETRE GAULLISTE, RENVOYEZ­NOUS CETTE DECLARATION<br />

Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .<br />

. .<br />

Adresse : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Numéro d’adhérent. . . . . . . . . .<br />

.<br />

Code postal : . . . . . . . . . . . . Ville : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Courriel : . . . . . . . . . . . . . . . . . . .@ . . . . . . . . .<br />

.<br />

OUI, MOI AUSSI, JE SUIS FIER D’ETRE GAULLISTE !<br />

Je commande l’insigne du <strong>MIL</strong> (format 1 cm) (5 € pour les adhérents à jour de cotisation, 15€ pour les autres)<br />

Je souhaite recevoir le diplôme (format 29.7x21 cm) <strong>et</strong> l’attestation (format 8x5 cm) du <strong>MIL</strong> (20 €)<br />

Je souhaite recevoir le porte­clé du <strong>MIL</strong> (5 € pour les adhérents à jour de cotisation, 15€ pour les autres)<br />

Date : Signature :<br />

A renvoyer au M.I.L, BP 84, 92303 Levallois­Perr<strong>et</strong> Cedex – Site Intern<strong>et</strong> http://www.lemil.org<br />

Conformément à l’article 27 de <strong>la</strong> Loi n°78­17 du 6/1/78 re<strong>la</strong>tive à l’informatique, aux fichiers <strong>et</strong> aux libertés, les réponses aux différentes rubriques de ce bull<strong>et</strong>in sont facultatives. Les informations qu’elles contiennent sont à usage strictement interne <strong>et</strong> ne<br />

peuvent être communiquées qu’à des responsables désignés par le Bureau National. Vous disposez d’un droit d’accès <strong>et</strong> de rectification sur justification de votre identité.

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