NumÃ©ro 60--- ÃTÃ 2007 - Vho

More documents

Recommendations

Info

GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES / 60 / ÉTÉ 2007 NN §§§§§ VIDÉOS Une vidéo de 7 min d'une conférence de Stephen Pelletiere ancien analyste de la CIA dans une salle de classe d'une université américaine. Il parle du rapport encore classifié de la DIA qui attribue à l'Iran la responsabilité du gazage à Halabja. http://video.google.com/videoplay?docid=-6632883213617278542 Le même vidéo sur YouTube http://youtube.com/watch?v=N3hRaDye4zA Videos sur la Palestine, accès direct http://www.akramawad.com/ Chomsky & Faurisson http://www.youtube.com/watch?v=zz6Vbl-TwgI §§§§§ Terroristes à la retraite Terroristes indemnisés - Le Parlement israélien a voté, à la demande du Likoud, une loi permettant aux anciens membres des organisations terroristes Hagana, Lehi et Irgoun - emprisonnés par les Anglais avant la création d’Israël - d’être indemnisés. 600 anciens terroristes sont concernés. (D’après Israelinfos.net, 16/11/06) AFI flash 66 §§§§§ Assassinats de coopérants Un site d'une richesse inouïe en matière d'affaires françaises louches en Afrique et ailleurs. http://assassinatsdecooperants.ouvaton.org/index1.php3 Pourquoi un site sur les assassinats de coopérants français en Afrique ? Parce que moi Mariama Keïta, la fille aînée d'un ancien coopérant français, unique rescapé d'un groupe de coopérants assassinés en Guinée Equatoriale, j'ai décidé de créer et d'alimenter un site consacré aux coopérants français assassinés en Afrique. Parce que de 1993 à 1994, en Guinée Equatoriale, au rythme d'un tous les six mois, quatre coopérants français MM. Mationni, Sotier, Branger et Desgranges ont été sauvagement assassinés… Et qu'en 1995, le juge Bernard Borrel a été assassiné à Djibouti…. J'ai voulu posséder un instrument suffisamment efficace sur un support universel et facile d'accès afin : D'informer le plus largement possible sur une sombre réalité françafricaine tous les meurtres de coopérants français depuis que la Coopération française en Afrique existe… De rendre hommage à tous les coopérants assassinés et perpétuer leur mémoire. — 96 —
GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES / 60 / ÉTÉ 2007 De démontrer les capacités de la Françafrique à s'affranchir des suites judiciaires de tous ces assassinats et ce même si les coopérants font partie de la haute magistrature, comme dans le cas du coopérant judiciaire, le juge Bernard Borrel. De présenter tous les arrières plans qui entourent ces assassinats, ceci explique la présence sur mon site des rubriques "pays" ou "les protagonistes" comme "la Françafrique". At last but not least, affirmer mon parti pris tout en exposant tous les résultats de mes investigations poursuivies depuis 1994 dans ces dossiers et, au passage régler, solder des comptes avec la Françafrique et certains membres de ma famille… (se reporter au mémorandum sur les frères Mamadi et Mori Diané ou la rubrique sur les contentieux juridiques de la famille Keïta). Voici énoncées toutes mes motivations à propos de mon site www.assassinatsdecooperants.info... Dernière précision : mon site possède un plan qui se révèlera au fur et à mesure de sa construction… Chapeau Mariama !! Et bonne route à toi ! §§§§§ Suède : Le meurtre du doux Olof La découverte d'une arme, qui pourrait être celle utilisée dans l'assassinat en 1986 du Premier ministre suédois Olof Palme, relance de faibles espoirs de voir aboutir une enquête qui piétine depuis plus de 20 ans. L'arme, un revolver Smith et Wesson 357 Magnum, a été repêchée lundi dans un lac de Mockfjärd, dans le centre de la Suède, par des plongeurs embauchés par le journal populaire Expressen, mis sur la piste par des appels anonymes. Elle a servi au braquage d'un bureau de poste en octobre 1983 à Mockfjärd, a expliqué mardi Stig Edqvist, qui dirige l'enquête, dans une conférence de presse. Si l'arme s'avère être celle ayant servi au meurtre d'Olof Palme, crime qui a profondément et durablement choqué les Suédois, il s'agira d'un grand bond dans l'enquête, la police ayant examiné, en vain, de très nombreuses pistes au fil des années. Des tests effectués sur les balles montrent que celles retrouvées sur le lieu de l'assassinat du Premier ministre avaient été faites dans le même moule que celles tirées pendant le braquage, a indiqué M. Edqvist. Cette arme, confiée au laboratoire spécialisé SKL, constitue un élément-clé, d'une "très grande priorité", a souligné l'enquêteur. La police a toutefois jeté une zone d'ombre en affirmant que l'arme avait été jetée dans le lac en 1983 sans préciser comment celle-ci aurait pu être utilisée trois ans plus tard pour le meurtre de Olaf Palme. Des experts se montraient en outre sceptiques quant à la possibilité de trouver des éléments probants à partir d'une arme immergée aussi longtemps. "Théoriquement, il peut y avoir des empreintes digitales mais dans la pratique c'est beaucoup plus difficile", a déclaré à l'agence TT Roger Carlsson, directeur de l'unité technique et chimique de SKL, soulignant que l'ADN devait être détruite par l'eau. Le procureur chargé du dossier, Agneta Blidberg, a elle-aussi reconnu que la probabilité d'avoir trouvé l'arme du crime "n'était pas très grande". La police avait été vivement critiquée pour son manque de sérieux et les pistes hasardeuses qu'elle avait empruntées au détriment d'un travail plus professionnel entrepris seulement quelques années après le meurtre. Charismatique chef de gouvernement, Olof Palme avait été abattu à 59 ans d'une balle de 357 magnum dans le dos par un tireur isolé à Stockholm, le 28 février 1986. Bien qu'admiré, il s'était fait beaucoup d'ennemis en Suède comme à l'étranger. Adversaire déclaré de la guerre au Vietnam, il avait beaucoup irrité Washington et l'Otan par sa politique tiers-mondiste et neutraliste. Il avait ainsi soutenu les régimes castriste de Cuba et sandiniste au Nicaragua, pourfendu l'apartheid, prôné la redistribution des richesses. Les enquêteurs ont soupçonné aussi bien des cercles de l'armée et de la police suédoise que le groupe séparatiste kurde PKK ou encore les services secrets sud-africains. Mais d'autres pistes ont été écartées comme l'affaire de pots-de-vin, mettant en cause la société suédoise d'armement Bofors pour une vente d'obusiers à l'armée indienne. Palme aurait accepté une réunion en relation avec Bofors, une thèse qui s'appuie sur des témoignages selon lesquels il aurait parlé avec son assassin avant que les coups de feu ne soient tirés. Mais l'épouse du Premier ministre a démenti qu'une telle réunion ait été prévue et a désigné formellement Christer Pettersson, délinquant et toxicomane, comme l'homme qui avait tiré sur son mari. M. Pettersson a été condamné en juillet 1989 à la réclusion à perpétuité mais libéré quelques mois plus tard par la Cour Suprême pour insuffisance de preuves. Il s'est vanté par la suite du meurtre, puis s'est rétracté. A l'automne 2004, il a emporté son secret dans la tombe. — 97 —
Page 1 and 2:
GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES N
Page 3 and 4:
GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES /
Page 5 and 6:
Page 7 and 8:
Page 9 and 10:
Page 11 and 12:
Page 13 and 14:
Page 15 and 16:
Page 17 and 18:
Page 19 and 20:
Page 21 and 22:
Page 23 and 24:
Page 25 and 26:
Page 27 and 28:
Page 29 and 30:
Page 31 and 32:
Page 33 and 34:
Page 35 and 36:
Page 37 and 38:
Page 39 and 40:
Page 41 and 42:
Page 43 and 44:
Page 45 and 46: GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES /
Page 95: GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES /
Page 103: GAZETTE DU GOLFE ET DES BANLIEUES /
show all

NumÃ©ro 60--- ÃTÃ 2007 - Vho

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?

NumÃ©ro 60--- ÃTÃ 2007 - Vho