Procès-verbal de la réunion du Comité Hygiène et Sécurité ... - Inrap
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COMITE D’HYGIENE ET DE SECURITE CENTRALsérieusement <strong>du</strong> <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> protection <strong>du</strong>dit modèle. Il ne croit pas que ces « chaussures <strong>de</strong> sécurité »que l’Administration considère « montantes » soient « les plus adaptées pour assurer le maintien <strong>et</strong><strong>la</strong> protection [<strong>de</strong>s] chevilles », alors que le maintien <strong>de</strong> <strong>la</strong> malléole faisait partie <strong>du</strong> cahier <strong>de</strong>scharges.Monsieur BELBENOIT fait passer aux représentants <strong>de</strong> l’Administration, un exemp<strong>la</strong>ire <strong>du</strong>ditmodèle <strong>de</strong> chaussure <strong>de</strong> sécurité <strong>et</strong> leur montre l’excès <strong>de</strong> souplesse <strong>de</strong> <strong>la</strong> chaussure au niveau <strong>de</strong><strong>la</strong> cheville.Monsieur MAUCEC ne partage pas les doutes <strong>de</strong> Monsieur Belbenoit. D’après lui, les qualitésprotectrices <strong>de</strong> <strong>la</strong> chaussure sont avérées. Grâce à une semelle anti-perforation <strong>et</strong> <strong>de</strong>s coquesinnovantes, <strong>la</strong> voûte p<strong>la</strong>ntaire <strong>et</strong> les orteils sont notamment très bien protégés. Selon lui <strong>la</strong>protection <strong>de</strong> <strong>la</strong> malléole est assurée.Monsieur BELBENOIT (CGT-Culture) renouvelle ses craintes. Il m<strong>et</strong> en gar<strong>de</strong> l’Administrationsur les risques d’acci<strong>de</strong>nts aux chevilles qui ne seraient pas prévenus par le port <strong>de</strong> ces chaussures.De façon plus générale, Monsieur MAUCEC indique que le choix <strong>du</strong> <strong>de</strong>ssin <strong>et</strong> <strong>de</strong> l’argumentaireavait pour obj<strong>et</strong> <strong>de</strong> rappeler qu’une chaussure <strong>de</strong> sécurité ne saurait être apparentée à une simplechaussure <strong>de</strong> randonnée.Madame SIRVEN (CGT-Culture) commente par ailleurs en page 9 <strong>du</strong> livr<strong>et</strong> le passage sur <strong>la</strong>prévention <strong>de</strong> l’hygroma <strong>du</strong> genou le texte étant ambigu. Il est écrit que les genouillères intégréesdans le pantalon hygrov<strong>et</strong> « est homologué pour assurer <strong>la</strong> prévention <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te ma<strong>la</strong>die », or elleconsidère que les genouillères limitent les risques mais ne perm<strong>et</strong>tent pas <strong>de</strong> prévenir à 100% c<strong>et</strong>tepathologie.Monsieur MAUCEC reconnaît c<strong>et</strong>te formu<strong>la</strong>tion plus juste.Monsieur BELBENOIT (CGT-Culture) évoque en pages 10 <strong>et</strong> 11 <strong>du</strong> livr<strong>et</strong> les « gil<strong>et</strong>s <strong>de</strong>signalisation » <strong>et</strong> <strong>la</strong> « parka <strong>de</strong> sécurité » qu’il conviendrait plutôt <strong>de</strong> qualifier <strong>de</strong> haute visibilité. Ilsuggère à l’Administration <strong>de</strong> préciser que ces modèles sont <strong>de</strong> c<strong>la</strong>sse 2 <strong>et</strong> que l’usage <strong>de</strong> modèles<strong>de</strong> c<strong>la</strong>sse 1 n’est pas suffisant au regard <strong>de</strong> <strong>la</strong> réglementation.Monsieur MAUCEC est d’accord avec <strong>la</strong> proposition <strong>de</strong> modification mais ne croit pas qu’il soittrès utile <strong>de</strong> rappeler <strong>la</strong> c<strong>la</strong>sse <strong>de</strong>s modèles <strong>de</strong> gil<strong>et</strong>.Monsieur BELBENOIT (CGT-Culture) observe qu’il est fait état, à <strong>la</strong> page 11, « d’engins <strong>de</strong>terrassement ». Il suggère <strong>de</strong> parler plutôt « d’engins <strong>de</strong> chantier ». La première expression est sansdoute trop restrictive pour englober tous les types d’engins utilisés sur les chantiers.Monsieur MAUCEC en convient.Monsieur BELBENOIT propose d’attacher au <strong>de</strong>ssin <strong>de</strong> c<strong>et</strong>te même page une légen<strong>de</strong>. Celle-cicomporterait c<strong>la</strong>irement l’expression angle mort.Monsieur MAUCEC n’y voit pas d’inconvénient.Paris, le 29 mars 2006- 8 -