Système de règles - Cycle d'Alamänder
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Plan <strong>de</strong> réalisation d’un sortilège (détail)<br />
Les sorciers écrivent leurs sorts dans <strong>de</strong>s livres <strong>de</strong><br />
sorts ou tout support qu’ils se sont choisis. Un tel<br />
support contient un ou plusieurs sorts. Certains<br />
forment <strong>de</strong>s collections hétéroclites sans thème<br />
particulier, d’autres regroupent <strong>de</strong>s sorts d’une certaine<br />
nature, reliés ensemble par une logique ou un<br />
but particulier.<br />
Les supports peuvent prendre <strong>de</strong>s formes inhabituelles,<br />
bien qu’ils prennent souvent la forme <strong>de</strong><br />
rouleaux <strong>de</strong> parchemins ou <strong>de</strong> tomes. Ces formats<br />
étant périssables, certaines sociétés gravent leurs<br />
grimoires sur <strong>de</strong>s plaques en métal, sur <strong>de</strong>s murs <strong>de</strong><br />
pierre ou même <strong>de</strong>s formations cristallines.<br />
En général, les sorciers ne transportent pas leurs<br />
supports partout où ils vont. Pour cette raison, ils<br />
sont contraints <strong>de</strong> mémoriser leurs sorts. Les<br />
incantations et les gestes magiques <strong>de</strong>man<strong>de</strong>nt un<br />
grand effort mental. De ce fait, aucun sorcier ne<br />
peut mémoriser plus <strong>de</strong> sorts, issus d’un ou <strong>de</strong> plusieurs<br />
types <strong>de</strong> magie, qu’il n’a d’Int, un sort occupant<br />
autant <strong>de</strong> points que son niveau <strong>de</strong><br />
Complexité. Un sorcier avec une Int <strong>de</strong> 16 peut<br />
donc mémoriser jusqu’à 16 sorts issus d’un ou plusieurs<br />
types <strong>de</strong> magie.<br />
La Magie utilise <strong>de</strong>s incantations dans le but d’altèrer<br />
la réalité afin <strong>de</strong> servir les intérêts du jeteur <strong>de</strong><br />
sort. En d’autres termes, c’est une tentative pour<br />
plier à sa volonté la manière dont l’univers fonctionne.<br />
Toutes les créatures vivantes ont une affinité naturelle<br />
avec la magie, qu’elles reçoivent ou non un<br />
enseignement. Avec le temps, les jeteurs <strong>de</strong> sorts<br />
apprennent à contrôler et à prendre soin <strong>de</strong> ce<br />
pouvoir magique brut.<br />
Il existe dans l’univers d’Alamän<strong>de</strong>r différents<br />
types <strong>de</strong> magie :<br />
š Organique : la magie <strong>de</strong>s Mehnzotains, qui<br />
produit les sorts en tissant <strong>de</strong>s fils d’aura.<br />
š Analytique : la magie YArkhanie, qui co<strong>de</strong><br />
les sorts à la manière <strong>de</strong>s programmes informatiques.<br />
š Photomagie : La magie Xéole, qui emploie<br />
<strong>de</strong>s plantes comme vecteur <strong>de</strong> développement<br />
<strong>de</strong>s sortilèges.<br />
La compétence Magie (Type <strong>de</strong> Magie) reflète la<br />
connaissance <strong>de</strong> tous les sorts appris dans un type<br />
<strong>de</strong> magie particulière. Le sorcier utilise cette compétence<br />
quand il veut savoir s’il a réussi à lancer un<br />
sort. Un sorcier est capable d’étudier plus d’un<br />
type <strong>de</strong> Magie et possé<strong>de</strong>r ainsi plusieurs compétences,<br />
une pour chaque type <strong>de</strong> magie.<br />
Le pouvoir magique d’un aventurier est mesuré en<br />
Points <strong>de</strong> Magie. Le nombre <strong>de</strong> Points <strong>de</strong> Magie<br />
disponible peut être affecté par plusieurs facteurs ;<br />
certains sorts ou objets magiques peuvent élever ou<br />
diminuer sa limite, par exemple.