Les clefs des Portes de demain - Le chasseur abstrait
Les clefs des Portes de demain - Le chasseur abstrait
Les clefs des Portes de demain - Le chasseur abstrait
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
44<br />
l'exploreront ? Car, il y a cinq mille ans, environ, elle ne se trouvait pas dans votre système planétaire.<br />
De source certaine, notre système solaire comprend, actuellement, la terre et cinq planètes : Saturne, Mars,<br />
Jupiter, Mercure et Vénus.<br />
Tout le mon<strong>de</strong> sait également que les hindous étaient <strong><strong>de</strong>s</strong> astronomes exceptionnels. Or, au 18 ème siècle, on<br />
eut connaissance <strong>de</strong> documents appelés 'Tables <strong>de</strong> Tirvalour" dans lesquels ils expliquaient qu'à l'âge <strong>de</strong><br />
Caliogam, il y eut une conjonction <strong>de</strong> toutes les planètes. <strong>Le</strong>urs indications étaient si précises que la date<br />
exacte en a été calculée : le 16 février 3.102 avant Jésus Christ, à 2 h. 27' 30" du matin, soit il y a un peu plus<br />
<strong>de</strong> cinq mille ans.<br />
Ils y précisent qu'ils ont vu toutes les planètes se dégager successivement <strong><strong>de</strong>s</strong> rayons du soleil ; d'abord<br />
Saturne, ensuite Mars puis Jupiter et Mercure. Ils ne parlent pas <strong>de</strong> Vénus. Ils ont pourtant bien spécifié :<br />
toutes les planètes. Comment auraient-ils pu oublier Vénus alors qu'elle est la plus brillante ?<br />
<strong><strong>Le</strong>s</strong> Babyloniens étaient aussi <strong><strong>de</strong>s</strong> astronomes éminents mais leurs archives connues, à cette même époque,<br />
parlent également <strong>de</strong> quatre planètes et non <strong>de</strong> cinq. <strong>Le</strong>urs prières, d'ailleurs, à Babylone, imploraient Saturne,<br />
Jupiter, Mars et Mercure mais pas Vénus. Et, dans les textes anciens, ils la désignent comme "la gran<strong>de</strong><br />
étoile qui se joignit aux gran<strong><strong>de</strong>s</strong> étoiles".<br />
Au Mexique, les traditions content que "le grand serpent <strong>de</strong> feu <strong>de</strong> Quezalcoatl attaqua le soleil et<br />
l'obscurité se fit pendant quatre jours. Ensuite le grand serpent se métamorphosa et <strong>de</strong>vint une radieuse<br />
étoile, Vénus". En Amérique du sud, d'après les Incas, Oréjona, une femme à la tête en forme <strong>de</strong> cône,<br />
possédant <strong>de</strong> longues oreilles et <strong><strong>de</strong>s</strong> mains palmées à quatre doigts, serait apparue sur l'île du Soleil du lac<br />
Titicaca, venant <strong>de</strong> Vénus sur un astronef plus brillant que le soleil.<br />
Même aux îles Samoa, les indigènes racontent que Vénus a eu "une course sauvage" et que <strong><strong>de</strong>s</strong> cornes lui<br />
poussaient sur la tête.<br />
Trop <strong>de</strong> concordances se succè<strong>de</strong>nt pour que ces faits ne représentent pas une réalité qui nous échappe.<br />
Il y a donc cinq mille ans environ, la planète Vénus s'est jointe à votre système solaire. D'où venait-elle et,<br />
surtout, comment cette intrusion se passa-t-elle car les perturbations ainsi occasionnées eurent <strong><strong>de</strong>s</strong> effets<br />
terriblement dévastateurs sur la planète.<br />
A quels récits bibliques et mythologiques cela correspond-il ?<br />
*****<br />
La terre, paraît-il, subit un tel bouleversement qu'elle pivota sur elle-même. Car, un jour, le Nord fut au<br />
Sud et le Sud au Nord. Rien que ça !<br />
<strong>Le</strong> papyrus égyptien "Harris" explique qu'à la suite d'un cataclysme par l'eau et le feu, le Sud <strong>de</strong>vint le<br />
Nord et la terre se retourna.<br />
Dans un autre papyrus "Ypuwer", on peut lire :<br />
<strong>Le</strong> mon<strong>de</strong> est tourné à l'envers comme une roue <strong>de</strong> potier et la terre se retourne.<br />
De même dans le papyrus "Ermitage" qui se trouve au musée <strong>de</strong> <strong>Le</strong>ningrad, il est écrit : "le mon<strong>de</strong> s'est<br />
retourné".<br />
Hérodote et Platon en parlent ainsi que divers textes chinois et hindous.<br />
Quand, comment et pourquoi ?<br />
*****<br />
Aussi surprenant que cela paraisse, ce n'est que du passé, mais certaines que je me sens obligé <strong>de</strong> noter,<br />
celle du sarcophage d'Arles, dans les Pyrénées Orientales et celle du Triangle <strong><strong>de</strong>s</strong> Bermu<strong><strong>de</strong>s</strong> - entre la Flori<strong>de</strong>,<br />
les Bermu<strong><strong>de</strong>s</strong> et Porto Rico, elles, sont bien actuelles et n'ont toujours pas été élucidées. On en parle peu.<br />
Pour le commun <strong><strong>de</strong>s</strong> mortels, c'est un peu comme une légen<strong>de</strong>, au même titre que celle du monstre du Loch<br />
Ness qui réapparaît, chaque été, lorsque les journalistes sont en mal <strong>de</strong> copie. Ce ne sont malheureusement<br />
pas <strong><strong>de</strong>s</strong> légen<strong><strong>de</strong>s</strong>, avec leurs conséquences tragiques qu'on essaie d'oublier.<br />
Bien que le sarcophage, situé à Arles, dans la cour <strong>de</strong> l'abbaye, soit en marbre <strong>de</strong> dix centimètres<br />
d'épaisseur environ, que le couvercle fût scellé par <strong><strong>de</strong>s</strong> crampons <strong>de</strong> fer, qu'il soit isolé du sol par <strong>de</strong>ux blocs<br />
<strong>de</strong> pierre, une eau d'une parfaite pureté s'en écoule régulièrement. Sa capacité ne dépasse pas <strong>de</strong>ux cent trente