Les clefs des Portes de demain - Le chasseur abstrait

moulure d'or, tout autour. Tu fondras sur elle quatre anneaux d'or et tu les placeras aux quatre pieds ;
deux anneaux sur son premier côté et deux anneaux sur son second côté. Tu feras des barres en bois
d'acacia et tu les couvriras d'or. Tu introduiras les barres dans les anneaux sur les cotés de l'arche. Les
barres resteront dans les anneaux de l'arche, elles n'en seront pas retirées.
Et Yahvé/Jéhovah Jéhovah poursuit :
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Tu placeras dans l'arche le témoignage que je te donnerai...
- Quel était la composition de ce témoignage qui complétait l'ensemble ? Ni Yahvé/Jéhovah Jéhovah ni
David ne le disent.
Quiconque y touchait risquait l'électrocution. Ce qui arriva d'ailleurs, par inattention (2s 6/6 et suivants) :
Uzza marchait à côté de l'arche de Dieu... Comme on atteignait l'aire de Nakôn, il étendit la main vers
l'arche de Dieu et la retint, parce que les boeufs avaient fait un écart. La colère de Yahvé/Jéhovah Jéhovah
s'enflamma contre Uzza, et là, Dieu le frappa par sa faute ; et là, il mourut près de l'arche de Dieu..
Cette "bavure", comme nous l'appellerions aujourd'hui, irrita David qui reprocha à Yahvé/Jéhovah Jéhovah
de ne l'avoir pas prévue. Il est écrit ensuite (2S 6/8) :
David fut fâché de ce que Yahvé/Jéhovah Jéhovah eût foncé sur Uzza et on donna à ce lieu le nom de
Pérèç-Uzza...
Lorsqu'il fallut traverser le Jourdain, Yahvé/Jéhovah Jéhovah spécifia bien (Jos 3/4) :
Toutefois, qu'il y ait, entre vous et l'arche, un espace d'environ deux mille coudées : n'en approchez pas
Comme le disait l'auteur, il semble inutile d'épiloguer, les termes parlant d'eux mêmes.
On a découvert, en 1936, près de Ctesiphon, ancienne ville parthes, au sud-est de Bagdad, des pots d'argile
ovoïdes de vingt centimètres de haut datant de trois cents ans environ avant notre ère. Bizarrement, ils sont
recouverts intérieurement de bitume naturel contenant un cylindre de cuivre entourant, sans le toucher, un
barreau de fer maintenu par un bouchon d'asphalte. Il est indéniable que remplis d'un électrolyte, ils se
transforment en piles électriques. Des expériences ont été réalisées avec du vinaigre et de l'eau de mer comme
électrolyte et elles ont fonctionné produisant un courant d'un demi volt, un résultat faible, bien entendu, mais
suffisant, par exemple, pour déposer de l'argent sur du cuivre.
Ces piles nous sont parvenues par hasard. Il devrait y en avoir bien d'autres.
Différents chroniqueurs du 12 ème siècle signalent que Jechiele, un rabbin français, savant particulièrement
estimé de st. Louis, possédait une lampe éblouissante qui s'allumait spontanément. Pour éloigner les curieux,
il avait aménagé l'huis de sa porte de telle façon que les importuns, lorsqu'ils le touchaient, s'enfuyaient
effrayés saisis qu'ils étaient de terribles picotements qui faisaient trembler tout leur corps...
Numa Pompilius, raconte Lucius Pison, avait été initié à l'art de former et de diriger la foudre. Ce secret
détenu alors par Tullius Hostilius disparut car ce dernier, ayant mal dirigé la décharge électrique, mourut
foudroyé.
Le plus surprenant c'est que Pline (liv. II, ch. 58) écrit, au premier siècle de notre ère, que Numa se servit
avec succès de sa batterie, foudroyant ainsi un monstre nommé Volta qui désolait les alentours de Rome...
N'est-ce pas le comte Alessendro "Volta", physicien italien, qui, en 1800, fut l'inventeur de la pile
électrique ?
Pourtant les traductions de Pline, en notre possession, ne sont pas des faux. Ni le comte Alessendro. A n'y
rien comprendre !
On ne peut nier, car c'est évident, que les anciens possédaient et utilisaient des connaissances que nous
jugeons, nous, inexistantes à leur époque. Et nous découvrons, de plus en plus régulièrement, les traces qu'ils
en ont laissées.
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Dans la cour d'une mosquée, à Delhi, en Inde, se dresse, depuis mille six cents ans, un pilier de soixante
dix mètres de haut, d'un beau noir bleuté, en métal, qui se trouve exposé aux mêmes conditions climatiques
que les autres colonnes métalliques de la région mais qui, depuis près de deux mille ans, conserve son aspect
naturel et ignore la rouille...