Observations - L'Université de la Relation

Réflexions :
Quand pensent les femmes ?
et tout particulièrement les femmes de langue française,
les femmes du pays des Droits de l’humain...
Vous avez entre vos mains l’enjeu de la LIBERTE
non seulement de l’Europe mais de la Planète entière...
et sachez qu’une majorité d’hommes vous aideront.
Aux élections dernière une femme a été évincée...
parce qu’elle a voulu jouer “comme un homme” à une politique
démagogique du système patriarcal obsolète...
Si son choix avait été basé catégoriquement sur cette
révolution féminine, elle serait au pouvoir...
Mais les femmes qui jouent à l’homme parce qu’elles ont été
conditionnées dans les centres d’Etat, façonnées dans les écoles
phallocratiques, de philosophie séparatiste et “compétitiste” (donc
d’agression), ne peuvent plus se rencontrer aux commandes
d’une Nation humaine et humaniste... Ce n’est pas en adhérant
aux manœuvres récupératoires dont elles font l’objet, qu’elles
échapperont au mirage du partage du pouvoir avec les hommes.
Mais vous les femmes-femmes qui ne vous cachez pas sous un costume
politico-hypocrite, vous avez la parole... répondez avec votre cœur aux
questions suivantes. Vos réponses peuvent influencer grandement les fleuves
de larmes et de sang qui coulent toujours et toujours dans les veines de cette
humanité sans consistance... Ouvrez la porte à la Paix...
Vous le savez, toutes ces réponses feront l’objet d’une autre publication. En plus de
ceci, dans certains cas, je répondrais personnellement...
Le changement de sensibilité... se fera par la femme et pour la femme, sa
servitude n’ayant plus de sens et n’engendrant qu’une morale dont nous
savons qu’elle défavorise la peuplade. Or, la peuplade est la calamité par
excellence et ce qui a parut autrefois dans l’Ordre, renverse l’Ordre
désormais. Nous ne pouvons perpétuer les valeurs qui nous tuent, et
menacés dans toutes nos démarches, il ne nous reste qu’à donner les mains à
ce que nous approuvons de mettre en branle. Il ne nous reste qu’à précipiter
l’inévitable avant que sur nous, fonde une fatalité que nous éluderons en
allant au-devant de ses ravages.
Albert Caraco
La femme... c’est moins la compagne de l’homme que son esclave ; moins un
être humain qu’une bête de somme. La plus belle moitié du genre humain,
celle que la Nature semble avoir pris plaisir à former pour le bonheur, y a
perdu jusqu’à l’espérance...
Fabre d’Olivet 64