Observations - L'Université de la Relation
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Réflexions :<br />
Maintenant que cette réalité est exposée je vais tenter <strong>de</strong> réfléchir par “<strong>la</strong><br />
logique du bon sens”, au cheminement <strong>de</strong> ce que l’on nomme <strong>la</strong><br />
démocratie, soit : nation où le peuple gouverne...<br />
Le premier aspect <strong>de</strong> <strong>la</strong> démocratie oblige à regar<strong>de</strong>r <strong>de</strong> plus près <strong>la</strong><br />
position <strong>de</strong>s “représentants du peuple”, autrement dit les hommes dits<br />
politiques...<br />
Ce terme <strong>de</strong> “politique” souligne que l’on oriente ses pensées, ses<br />
paroles et ses actes sur <strong>de</strong>s expressions D’UN SEUL POLE. Ce qui a<br />
permis d’étendre l’idée aux différents secteurs d’une couche électorale<br />
en par<strong>la</strong>nt <strong>de</strong> Droite ou <strong>de</strong> Gauche : les pôles d’une nation<br />
“politiquement admissible” en terme <strong>de</strong> démocratie.<br />
D’un autre côté, les citoyens parlent <strong>de</strong>s partis <strong>de</strong> gauche et <strong>de</strong> droite<br />
sans conscientiser qu’UN PARTI EST UNE PARTIE DE LA NATION...<br />
or une partie n’est pas l’ensemble. Comment concevoir alors que cette<br />
partie dirige, gouverne pour l’ensemble ?.. C’est ce qui a amené à créer<br />
les chambres <strong>de</strong>s représentants du peuple... et comment peut-on parler<br />
<strong>de</strong> représentants DU peuple, alors que ce sont <strong>de</strong>s lignes d’une<br />
“orientation donnée pour un parti” : le programme...?<br />
Or, ce programme ne vient pas DU peuple mais bien <strong>de</strong>s personnes <strong>de</strong><br />
pouvoir qui “arrangent” une recette <strong>de</strong> mise en p<strong>la</strong>ce d’une “politique<br />
admissible” par le peuple...<br />
Quand j’analyse le jeu manipu<strong>la</strong>toire <strong>de</strong>s personnages <strong>de</strong> <strong>la</strong> scène<br />
politique, je ne peux qu’être étonné <strong>de</strong> leur inconscience et <strong>de</strong> leur<br />
manque <strong>de</strong> créativité. Un petit exemple qui me ferait sourire s’il n’était<br />
pas dramatique : après le NON français, le nouveau premier ministre <strong>de</strong><br />
ce pays a annoncé sans vergogne “qu’il al<strong>la</strong>it mettre (enfin) <strong>la</strong> priorité sur<br />
l’emploi car le gouvernement chiraquien n’avait pas abattu toutes ses cartes...<br />
<strong>de</strong>puis 7 ans <strong>de</strong> pouvoir...” De qui se moque-t-on ? Ce personnage a sans<br />
doute peur pour son propre emploi...<br />
"Le grand combat du gouvernement, c'est l'emploi avec le souci<br />
constant du pragmatisme et du dialogue social", a répété mercredi<br />
le Premier ministre Dominique <strong>de</strong> Villepin <strong>de</strong>vant ses ministres réunis<br />
en conseil à l'Elysée.<br />
"Chacun mesure l'immensité <strong>de</strong> <strong>la</strong> tâche qui nous incombe, chacun mesure<br />
les impatiences et les attentes <strong>de</strong>s Français, a-t-il souligné. Y répondre exige<br />
<strong>la</strong> mobilisation et l'action constante <strong>de</strong> chacun d'entre nous".