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VOL. 67, NO. 3 - AAFI-AFICS, Geneva - UNOG

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Caisse des pensions - aussi bien à Genève qu’à New York - et les associations d’anciens fonctionnaires<br />

internationaux.<br />

4.13 M. Anders Tholle informe l’Assemblée qu’il a discuté avec le président d’une association de retraités<br />

en Inde qui signalait le cas de retraités voulant passer de la filière dollar à la filière locale. Il y avait des<br />

problèmes de communication avec la Caisse des pensions à New York. Les retraités recevaient un accusé<br />

de réception de leur communication et l’assurance qu’ils recevraient une réponse en temps voulu., cette<br />

dernière, toutefois pouvait prendre plusieurs mois. Il souligne que l’<strong>AAFI</strong>-<strong>AFICS</strong> n’avait rien contre leurs<br />

collègues de New York ou de Genève, mais voulait simplement attirer leur attention sur ce qui ne marchait<br />

pas, notamment des procédures de réponse ou d’action à prendre anormalement longues.<br />

4.14 M. Juan Amunategui suggère que la F<strong>AAFI</strong> renouvelle chaque année sa demande de pleine<br />

représentation au Comité mixte. M. Jamshid Anvar affirme qu’il n’est nul besoin d’être dans le sérail pour se<br />

rendre compte qu’il y a des problèmes avec les bureaux de la Caisse des pensions. S’excusant de sa<br />

franchise il déclare que, parlant en connaissance de cause, il est choqué qu’après trente années la question<br />

de la pleine participation des représentants des retraités n’ait pas encore été résolue, l’existence des<br />

retraités ayant été la raison essentielle de la création de la Caisse des pensions. Alors qu’ils étaient encore<br />

en activité, George Saddler et lui-même ont suivi de près cette affaire. Il ne peut comprendre pourquoi une<br />

pression suffisante n’ait put être mise sur les Secrétaires généraux successifs qui ont le pouvoir de résoudre<br />

le problème de la représentation des retraités, en dépit de la résistance des Etats membres : 55.000<br />

retraités et bénéficiaires constituent un lobby important. Il convient de reconnaître que les associations de<br />

retraités n’ont pas fourni un effort suffisant. Il estime qu’il est essentiel que les représentants des retraités<br />

soient de plein droit membres du Comité mixte et que les retraités militent en faveur de cette cause, d’une<br />

importance fondamentale pour eux.<br />

4.15 M. Claude Mercier se joint aux deux intervenants précédents pour que les retraités fassent pression<br />

afin d’obtenir le droit de vote au Comité mixte. Attendre que le nombre de retraités soit devenu égal à celui<br />

des participants signifierait que bien des retraités aient alors disparu. Si l’<strong>AAFI</strong>-<strong>AFICS</strong> pouvait retrancher un<br />

dollar symbolique de sa cotisation à la F<strong>AAFI</strong>, il soutiendrait cette proposition comme une façon de faire<br />

connaître à la F<strong>AAFI</strong>, le mécontentement de l’Association sur sa façon de gérer les questions de pensions. Il<br />

encourage les autres associations à écrire pour faire pression sur le Comité mixte. Il estime que seule une<br />

pression ferme et permanente peut avoir une efficacité et réclame qu’une action soit entreprise rapidement ;<br />

on a déjà laissé passer trop de temps.<br />

4.16 M. Jean-Michel Servais dit ne pas comprendre pourquoi la phrase critiquée du paragraphe 14 du<br />

rapport annuel pose problème. Des difficultés peuvent surgir et cela arrive. En fait, il existe des sociétés de<br />

service et des institutions qui conduisent spécialement des enquêtes sur la satisfaction de leur clientèle pour<br />

identifier les problèmes éventuels.<br />

4.17 M. Juan Mateu tient à souligner que la F<strong>AAFI</strong> combat depuis longtemps pour obtenir le statut<br />

délibératif au Comité mixte. Elle y dispose actuellement de 4 représentants titulaires et de 2 suppléants qui<br />

peuvent participer aux discussions au sein du Comité. En sa qualité de Trésorier de la F<strong>AAFI</strong>, il peut<br />

témoigner que les frais de participation aux sessions pèsent très lourd dans le budget de la Fédération et de<br />

ses membres ; aussi la décision récente du Comité mixte de financer les frais de mission de deux de ses<br />

représentants a-t-elle été la bienvenue. En ce qui concerne le coût d’élections éventuelles, il a noté que<br />

l’Administrateur de la Caisse des pensions avait estimé qu’il pourrait s’élever jusqu’à $ 150.000 par scrutin.<br />

4.18 Un participant dit qu’il a été choqué d’être qualifié de « client » par le Bureau de la Caisse des<br />

pensions à Genève. Il a trouvé cette appellation totalement inappropriée et le lui a fait savoir par écrit.. La<br />

réponse qu’il a reçue du chef de ce Bureau a confirmé cette terminologie. Il aimerait que l’Association suive<br />

cette question.<br />

4.19 Le Dr Samy Kossovsky constate que l’Assemblée générale est bien d’accord que la Caisse des<br />

pensions a été créée pour être au service des retraités. Un système tripartite est en vigueur au Comité mixte<br />

(11 sièges pour chaque groupe : gouvernements, administrations et participants). Il semble que les<br />

participants ne veulent pas perdre des sièges au bénéfice des retraités. Il observe que, dans un sens, les<br />

administrations sont une émanation des Etats membres et se demande s’il n’y a pas là une certaine<br />

confusion. Il ne comprend pas pourquoi les retraités devraient se voir refuser une pleine représentation au<br />

Comité mixte. Les retraités doivent insister pour obtenir les mêmes droits que tous les autres membres, y<br />

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