Bulletin num. 33 du 25-03-2011 - Institut des Amériques
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Transaméricaines41 sur 111 <strong>25</strong>/<strong>03</strong>/<strong>2011</strong> 10:44Qu’est le quilombo aujourd’hui devenu ? De la catégorie coloniale au conceptanthropologiqueNotes de recherche-- Chloé AndrieuFlexibilité de l’organisation <strong>des</strong> espaces funéraires dans un village maya <strong>du</strong> Chiapas auxxviiie et xixe siècles-- Paul LiffmanLos tepehuanes y sus predecesores: un ensayo bibliográficoNécrologies-- Dominique MicheletGuy Stresser-Péan (1913-2009)-- Bárbara ArroyoJuan Pedro Laporte (1945-2010)-- Fernando Torres CruzMargarita Gaxiola González (1950-2010)[sommaire en ligne]. [consulté le <strong>25</strong>0/02/<strong>2011</strong>].http://jsa.revues.org/index11231.html Mots-clés : Pérou ; Amazonie ; Brésil ; Mexique ;Choqek’iraw ; Ch’ullpa ; Maya ; Kayapo ; mosaïques ; archéoastronomie ; religion maya; transmission <strong>des</strong> savoirs ; mythologie ; mo<strong>num</strong>ent funéraire ; genre ; représentation<strong>du</strong> corps ; rite ; marchandise ; monnaie ; anthropologie ; quilombohttp://jsa.revues.org/Article - Fournier, Jean-Marc. Existe-t-il une nouvelle géographie socialiste au Venezuela? Justice spatiale et justice sociale dans la révolution bolivarienne de Hugo Chavez.Cybergeo : European Journal of Geography : article 518, mis en ligne le <strong>25</strong> février <strong>2011</strong>,modifié le <strong>25</strong> février <strong>2011</strong>. [en ligne]. [consulté le <strong>25</strong>/02/<strong>2011</strong>].France -Résumé d'auteur :Cet article cherche à évaluer l’impact géographique de la révolution bolivarienne auVenezuela. Il confronte la rhétorique révolutionnaire à la réalité empirique en analysantles déséquilibres régionaux et <strong>des</strong> programmes socialistes mis en place dans l’état <strong>du</strong>Zulia tant dans <strong>des</strong> espaces ruraux qu'urbains. Sont utilisés les concepts de justicespatiale et de justice sociale pour essayer de comprendre dans quelle mesure cettenouvelle géographie socialiste contribue au développement <strong>du</strong> pays. En dépit <strong>des</strong>avancées de la révolution, le capitalisme de rente pétrolière hérité <strong>du</strong> 20ème siècleper<strong>du</strong>re. Si l'on observe une meilleure intégration territoriale et sociale <strong>des</strong> habitantspauvres et <strong>des</strong> exclus, parfois plus symbolique que réelle, cela n’a pas vraiment in<strong>du</strong>itpo! ur autant une plus grande justice spatiale et sociale à leur égard. Ce constat estvalable dans les limites de la définition de la justice retenue, pour le moment, et dans lecadre <strong>des</strong> espaces géographiques analysés. Mots-clés : Venezuela ; Zulia ; géographiesocialiste ; justice spatiale ; justice sociale ; aménagement <strong>du</strong> territoire ; développementlocal ; pétrolehttp://cybergeo.revues.org/23477En ligne - Rebotier, Julien. Risques et territoires : pour une géographie critique etréflexive. Considérations épistémologiques à partir <strong>du</strong> cas de villes d'Amérique latine. In :Le risque en question : fenêtre d’opportunité ou renouvellement de l’action publique ?.Toulouse, <strong>2011</strong>, 16 + 13 p. (Colloque Risque et action publique, 3-4 février <strong>2011</strong>). [enligne]. [consulté le 24/02/<strong>2011</strong>].France -Résumé d'auteur :Les «risques» s'imposent aujourd'hui sur l'agenda <strong>des</strong> politiques publiques comme surcelui <strong>des</strong> sciences sociales. Preuves pour certains de la montée <strong>des</strong> certitu<strong>des</strong>, d'unecrise <strong>des</strong> grands récits (progrès, développement, Rist 2002) voire de la modernité(Giddens 1994; Beck 20<strong>03</strong>), les risques font pourtant l'objet d'approches scientifiquesfort diversifiées alors que certains collègues géographes brésiliens seraient bien à mald'identifier le risque comme un objet d'étude ou comme un champ de la géographie («Orisco è todo!») et que, au Nord, ce qui est identifié comme « risque » pour certains est