Les opérationsStreetworks est un programme en collaboration régi conjointement par un conseild’organismes, dont HIV Edmonton (VIH Edmonton), le centre de santé BoyleMcCauley, Boyle Street Community Services (les services communautaires BoyleStreet), la Capital Health Regional Public Health (santé publique de la région de lacapitale), Alberta Alcohol and Drug Commission (AADAC) (la commission de l’alcoolet des drogues de l’Alberta), Catholic Social Services (services sociaux catholiques),la clinique du VIH du nord de l’Université d'Alberta, la Prostitution Action andAwareness Foundation (la fondation de la sensibilisation et de l’action sur laprostitution), le Centre for Health Promotion Studies (le centre des études de lapromotion de la santé), et les services de police d’Edmonton. Le conseil sert aussi deconseil d’administration, dont le président est actuellement HIV Edmonton. BoyleStreet Community Services est l’organisme trésorier.Streetworks est financé par l’Alberta Community Council on HIV (le conseilcommunautaire sur le VIH de l’Alberta), et reçoit des fonds additionnels de CapitalHealth. Ce financement est renouvelable aux trois ans. Streetworks reçoit aussi desfonds alloués au projet et à la recherche, des dons et autres subventions. Leprogramme n’est pas incorporé.Streetworks loge au même endroit que Boyle Street Community Services, et a un autrelocal au centre de santé Boyle McCauley. Des sites satellites d’échange de seringues setrouvent à la clinique des maladies transmises sexuellement, à HIV Edmonton, aucentre George Spady et au centre de santé publique Eastwood.Streetworks offre des services complets d’échange de seringues, d’aiguillage, dereprésentation et d’éducation; héberge une clinique de rue au site de Boyle Street;mène recherche et évaluations; a un programme actif et innovateur « d’aidantsnaturels » (pairs); et beaucoup plus. Un véhicule de service d’approche est encirculation cinq soirs par semaine, et les employés fournissent un service d’approcheà pied le jour.Streetworks dote en personnel ses deux sites principaux et le véhicule d’approche.Les autres sites fournissent leur propre personnel, mais observent la philosophie deStreetworks dans leur travail.Le programme compte cinq postes : une directrice de programme, 2,4 infirmièresautorisées et trois travailleurs de service d’approche. Il y a aussi du « personnel associé »,qui inclut les assistants de recherche du Centre for Health Promotion Studies del’Université d’Alberta, et un médecin qui tient une clinique médicale une demijournéepar semaine. Le programme participe aussi à la formation des étudiants desfacultés de sciences infirmières, de médecine, de droit, de travail social et depharmacie. Il échange entre 600 000 et 800 000 seringues par année.100<strong>Partager</strong> <strong>nos</strong> <strong>connaissances</strong> : améliorer les programmes et pratiques de la réduction des méfaits au Canada
Les composantes du programmeLes gens croient souvent que Streetworks ne s’occupe que des seringues. Toutefois, àmaints égards, les seringues et les condoms sont un moyen de relier les gens auprogramme complet. Le personnel peut ensuite les aider à prendre mieux soin d’euxmêmes,à découvrir de nouvelles options et occasions, et à faire des changements pourle mieux.Afin de réaliser ses objectifs, Streetworks est composé d’éléments variés et estcomplet. Voici un synopsis de ses services :Services infirmiers : Les infirmières de l’équipe offrent des évaluations de l’état desanté, y compris le dépistage du VIH, de l’hépatite et de la tuberculose; l’immunisationcontre l’hépatite B, la pneumonie (pneumovax) et la grippe; l’instruction et les conseilsen matière de santé; des traitements mineurs et des soins d’urgence. Elles assurent lesuivi des femmes pendant leur grossesse ainsi que celui des malades chroniques. Bonnombre de ceux qui viennent au programme ne sont ni des utilisateurs de droguesinjectables ni des travailleurs du sexe, mais des gens qui veulent simplement consulterune infirmière.Programme avec les entreprises : Le personnel du programme tente de collaboreravec les entreprises locales comme les stations-services, les boutiques d’érotisme, lespharmacies, les hôtels, les dépanneurs, etc., pour que leurs établissements soient plussûrs et plus sains.Co-patrouilles : Une fois par mois, en vue de se faire connaître et d’inspirer confiance,les médecins, infirmières, travailleurs sociaux, travailleurs de service d’approche et autresd’organismes choisis montent à bord du véhicule de service d’approche pour offrir leursservices directement aux gens qui autrement ont difficilement accès aux services.Apprendre à connaître un travailleur d’un organisme par l’intermédiaire du véhiculefacilite aux clients de se rendre à ces organismes pour des services.Aiguillage : Le personnel de Streetworks adresse un grand nombre de clients à desmédecins, des centres de traitement, de désintoxication, des services juridiques, desservices sociaux, des cliniques de méthadone, des cliniques de MTS, des maisonsd’hébergement, des services de santé mentale, des services de logement, et autres, afind’aider les gens à apporter des changements positifs dans leur vie. Le personnelaccompagne souvent les clients aux endroits où il les adresse.« Nous fournissons lesseringues à Eastwood,ce qui peut paraîtrebizarre pour un centrede santé publique.Mais cela nousprocure un bien plusgrand contrôle sur lafaçon d’exécuter letout… Cela joue doncen notre faveur. »– Marliss Taylor,directrice de programme,StreetworksFournitures : Streetworks offre aux personnes qui utilisent des drogues ou sontdans l’industrie du sexe les outils dont elles peuvent avoir besoin pour demeurer ensécurité et en santé. Cela comprend seringues, tampons d’alcool, élastiques, condoms,lubrifiants, garrots, vitamines, tests de grossesse, coupons « Santé pour deux »,produits d’hygiène féminine, fournitures de premiers soins et de santé générale, eau,nourriture et vêtements, listes de mauvais clients, et autres articles disponibles.Streetworks fournit également à certains organismes et entreprises des contenantspour objets pointus et tranchants, et a récemment ajouté des trousses d’inhalationsécuritaire aux articles qu’il distribue.101<strong>Partager</strong> <strong>nos</strong> <strong>connaissances</strong> : améliorer les programmes et pratiques de la réduction des méfaits au Canada
- Page 2 and 3:
À la mémoire de Steve décédé l
- Page 4:
2. Victoria, Colombie-Britannique .
- Page 7 and 8:
Les participants aux groupes de dis
- Page 9:
Les membres de la collectivité qui
- Page 12 and 13:
« Les héros sont lesgens qui sava
- Page 14 and 15:
« J’ai juste commencéà croire
- Page 16 and 17:
• promouvoir la notoriété et l
- Page 18 and 19:
Le Comité consultatif nationalUn C
- Page 20 and 21:
• Qui sont les « héros » ou le
- Page 23 and 24:
RÉSUMÉ DES GROUPES DE DISCUSSION
- Page 25 and 26:
a toujours pas de remède et vivre
- Page 27 and 28:
Les groupes d’entraide comme Narc
- Page 29 and 30:
OPTIONS DE TRAITEMENT LIMITÉES POU
- Page 31 and 32:
« Je suis déjà allé en thérapi
- Page 33 and 34:
DIFFÉRENTS PROGRAMMES POUR RÉPOND
- Page 35 and 36:
croyant qu’elle ne fait que rempl
- Page 37 and 38:
L’effet des programmes de maintie
- Page 39 and 40:
L’ALTRUISMEUn thème qui est ress
- Page 41 and 42:
D’AUTRES MODES DE PARTICIPATIONPo
- Page 43 and 44:
LA PARTICIPATION ENTRAÎNE L’ESTI
- Page 45 and 46:
jugés. Bien que certaines pharmaci
- Page 47 and 48:
un moment donné. La bonne femme…
- Page 49 and 50:
LES DÉFIS DE L’ÉLIMINATION SÉC
- Page 51 and 52:
Les besoins en matière de distribu
- Page 53 and 54:
LE DÉSIR DE TROUSSES D’UTILISATI
- Page 55 and 56:
L’EXPOSITION DES PROFESSIONNELS A
- Page 57 and 58:
UNE FAMILLE DE SUBSTITUTIONTrouver
- Page 59 and 60: Ce qui ne fonctionne pas pour les p
- Page 61 and 62: LES CLIENTS DÉVELOPPENT UN SENS DE
- Page 63 and 64: LA DIFFUSION DE L’INFORMATION PAR
- Page 65 and 66: PLUS D’ÉDUCATION ET D’INFORMAT
- Page 67 and 68: D’AUTRES BESOINS LIÉS À L’ÉD
- Page 69 and 70: Ce qui ne fonctionne pas pour les s
- Page 71 and 72: PLUS D’EMPLOYÉS, PLUS DE VÉHICU
- Page 73 and 74: Des questions sur la nécessité de
- Page 75: consommer de manière qui réduit l
- Page 79 and 80: 1. WHITEHORSE, TERRITOIRE DU YUKONL
- Page 81 and 82: LE VÉHICULE DE SERVICE D’APPROCH
- Page 83 and 84: coalition à quatre principaux part
- Page 85 and 86: Une campagne médiatique proactiveL
- Page 87: LE CENTRE BLOOD TIES FOUR DIRECTION
- Page 90 and 91: Défis et obstaclesÀ titre de grou
- Page 92 and 93: Le programme ElementsLe programme E
- Page 94 and 95: VANCOUVER ISLAND COMPASSION SOCIETY
- Page 96 and 97: La relation avec la collectivitéLa
- Page 99 and 100: 3. EDMONTON, ALBERTAL’ITINÉRANCE
- Page 101 and 102: SCÈNE DE RUE À EDMONTONÀ Edmonto
- Page 103 and 104: L’INITIATIVE ALBERTAINE D’UTILI
- Page 105 and 106: BOYLE STREET COMMUNITY SERVICES - U
- Page 107 and 108: qui occupaient maintenant ce beau s
- Page 109: STREETWORKS - UNE MAIN TENDUE AVEC
- Page 113 and 114: Outre le matériel d’injection et
- Page 115 and 116: « Quand nous avons rédigé le liv
- Page 117 and 118: Les Alcooliques Anonymes ou d’aut
- Page 119 and 120: activités sociales. Il invite les
- Page 121 and 122: 4. WINNIPEG, MANITOBASAGE HOUSE - U
- Page 123 and 124: La réduction des méfaits à Sage
- Page 125 and 126: La réduction des méfaits pour les
- Page 127 and 128: KALI SHIVA AIDS SERVICES - SUNSHINE
- Page 129 and 130: faire brûler du tabac. Nine Circle
- Page 131 and 132: RESSOURCE UTILE• Manitoba Harm Re
- Page 133 and 134: 5. ROUYN-NORANDA, QUÉBECLA RÉDUCT
- Page 135 and 136: Le leadership en ces matières est
- Page 137 and 138: Le Projet préventionLe Projet pré
- Page 139 and 140: La clinique a deux principaux manda
- Page 141 and 142: ARRIMAGE JEUNESSE - L’APPROCHE DE
- Page 143 and 144: Partager nos connaissances : améli
- Page 145 and 146: 6. OTTAWA, ONTARIOOASIS - UNE PERSP
- Page 147 and 148: Le programme de service d’approch
- Page 149 and 150: INITIATIVE D’UTILISATION SÉCURIT
- Page 151 and 152: Le Comité consultatif a examiné t
- Page 153 and 154: • quelque 84 % des utilisateurs s
- Page 155 and 156: Un aspect innovateur du programme e
- Page 157: Le Dr Kolbe aimerait voir une infor
- Page 160 and 161:
La missionPoint de repères est un
- Page 162 and 163:
« Les guides de rue,c’est une af
- Page 164 and 165:
PROJET INTERVENTION PROSTITUTION QU
- Page 166 and 167:
La relation avec la collectivité v
- Page 169 and 170:
8. HALIFAX, NOUVELLE-ÉCOSSEL’ÉC
- Page 171 and 172:
Mainline offre maintenant un servic
- Page 173 and 174:
Grâce à l’appui financier du PA
- Page 175 and 176:
Outre la méthadone, la clinique di
- Page 177 and 178:
CENTRE DE JEUNESSE PHOENIX - UN REF
- Page 179 and 180:
« Je ne sais pas pour les autres,
- Page 181 and 182:
9. ST. JOHN’S, TERRE-NEUVECENTRE
- Page 183 and 184:
Au début, les employés du centre
- Page 185 and 186:
SAFE WORKS ACCESS PROGRAM - UNE DIS
- Page 187 and 188:
Il y a eu des difficultés à trouv
- Page 189 and 190:
STREET REACH - APPROCHE DES JEUNES
- Page 191:
Les réussitesIl a fallu du temps a
- Page 194 and 195:
SUPERIOR POINTS DE THUNDER BAY - DI
- Page 196 and 197:
Les réussitesLeurs services, basé
- Page 198 and 199:
L’itinérance est un problème en
- Page 200 and 201:
Partager nos connaissances : améli
- Page 202 and 203:
CONCLUSIONS ET RECOMMANDATIONS DESG
- Page 204 and 205:
LA DISTRIBUTION DE SERINGUES ET DE
- Page 206 and 207:
LES PROFESSIONNELS DE LA SANTÉ ET
- Page 208 and 209:
LEÇONS ET DÉFIS ISSUS DES VISITES
- Page 210 and 211:
• Essayez d’établir de bonnes
- Page 212 and 213:
• Ils vous aideront à puiser dan
- Page 214 and 215:
Conseils de financement• La colle
- Page 216 and 217:
personnes qui utilisent des drogues
- Page 218 and 219:
REMERCIEMENTSConseillers du projet