i n c o n t r a n d oplupart de ces intérieur. La saison des pluies dure d’avril à novembreet abbastnzehaute température et une humidité élevée. Au contraire, Nov mars , il a une saisonsèche, préjudiciable au développement de la végétation. Malgré cela, il pleut enmoyenne 11 environ 12 mois. à l’extrême nord-est de la saison sèche a un supérieurde durée : les régions du Nord, proche de la bande du Sahel, sont menacées par lasécheresse. Mais au-delà de cela, il y a plusieurs problèmes environnementaux : principalementà proximité du Sahel, région favorise la désertificationet la déforestationse trouve aussi sur le territoire. Enfin, le sol est endommagé par l’érosion et la pollution.Des ressources considérables du sous-sol : première bauxite, mais aussi le fer etles diamants.LangueLa langue officielle est le français, mais sont largement déployé dans les langueslocales appartenant à différents groupes ethniques qui habitent le territoire:Maninka, Susu, Peuls et Wolof sont parmi les langues locales. Modest répandre de lalangue arabe, bien que la forte après que l’Islam en Guinée. Le Susu, parlé à Conakryet dans les zones côtières, n’est pas une lingua franca, mais sa propagation estnotable parmi la population.ReligionLa compositionreligieuse de la populationguinéenne est lasuivante :- Musulman 85 %.- Christian 8 %.- Les croyancestraditionnelles ouautres dénominations8%En seuito la colonisationet la propagationl’Islam, précolonialescultes africainsont été l’échelle trèsdécidées, mais sonttoujours pratiquées parun assez grand pourcentagedes habitants. Lecomposant chrétiennel’ A f r i c aDonnées de population sont tiréesde la CIA World Factbook 2007 [13]est divisé entre les différentes confessions, mais la majorité est catholiques romains.Plus pratique est de loin la religion musulmane, qui permet de différencier davantage34
les langues locales et des traditions; pourrait être un facteur d’unité entre les différentsgroupes ethniques.ÉconomieCes dernières années, l’économie guinéenne a été caractérisée par des taux decroissance faible: en 2005 et en 2006 lePIB a augmenté respectivement de la 1 % et2 %, mais les prévisions pour 2007 sont de 3,7%, marquant une légère augmentation.La dette extérieure est assez cher, mais depuis 2006 a commencé une restructurationle plan qui a entraîné la même année à la baisse. Plusieurs mesures pour accroîtreles investissements étrangers, a attiré principalement à la partie de la minièredel’économie. Cependant, ces efforts sont parfois faites vains par la corruption etl’inefficacité, né d’une situation sociale encourageante peu : le système de santé del’éducation qui font souvent défaut. Et c’est un signe que la maturité économiquen’est jamais arrivé dans le secteur des services.L’agriculture emploie plus de 70 % de la population active et contribue à la formationd’un quart du produit intérieur brut. La superficie est très limitée, corresponduniquement à 3% du total. Les cultures plus importantes sont la nourriture:riz, mais,de sorgho]], manioc, pommes de terre et plus encore, est que la production de riz.Autres cultures d’exportation sont confidentiels, comme le café, ananas, agrumes,arachides et palmiers à huile. Mais le principal aussi construit sur lareproduction, pratiquéprincipalement en Guinée centrale, une région pastorale. Bétail se composeprincipalement de moutons, de chèvres et de volaille. Pêche, évidemment vise àvivacizzazione commerce, élabore, même si le chemin à parcourir pour mgloramentisensible est encore long. Jouissant d’une grande forêt, il y a des ressources considérablesde bois, utilisé principalementcomme combustible.Le le secteur secondaire de rayonnage jusqu’à quelques initiés, mais contribueà 38,2% à la formation du PIB. Croissance de la production industrielle est lente. Ledéveloppement de ce secteur est très médiocre, parce qu’il souffre de l’absence dutravail adéquatement qualifié, de nombreuses entreprises sont dirigées par des capitauxétrangers. Établissements du pays sont engagés dans la transformation de produitsagricoles et de bois de œuvre. Le sous-sol donne bonnes ressources, surtoutbauxite, fer, diamants, l’uranium; l’extraction del’or est de facto a disparu, lepétrole et le charbon sont totalement absentes. La Guinée est le deuxième producteurde bauxite, aprèsl’Australie: les gisements les plus importants sont situés à Bokéet Kindia. mais aussi l’extraction de fer est bien développé, dans la région de Bokéde Kaloum, il y a un dépôt qui est parmi les plus importants au monde. Malgré ceséventuels retard économique, empêche cet exploit; après l’agriculture, l’industrie,plus particulièrement l’exploitation minière, a fait l’objet d’efforts importants pourle développement. Étant donné les nombreuses rivières, la Guinée tire parti de sonpotentiel hydroélectrique en ce qui concerne laénergie.Le tertiaire n’est pas pertinent pour le nombre d’employés et d’individus d’importanceéconomique, mais en réalité en forme de plus de 36 % de la richesse nationale; dans le secteur tertiaire, comme il arrive souvent dans les pays en développe-35