i n c o n t r a n d ol’ A f r i c aCAMPO CALABROil est un commune italien de 4.407 habitants de province de Reggio Calabre,dans Calabre.Son nom dérive du latin « campus », c’est-à-dire je vis, avec signifié même decampagne. Elle est une commune autonome à partir de 1950, puisque, auparavant, ila été sous l’autorité de la commune de Villa San Giovanni. Le sien tu causes sont trèsanciens, même si il n’y a pas des témoignages certains sur sa fondation. Dans son territoireelle est levée de quelques ans une zone industrielle qui résulte en expansion.Le commun est en forte interaction economique-sociale avec la ville de Reggio Calabre,dont il est distant seulement peu de kilométres.Position de la commune de CAMPO Calabro dans la province de Reggio CalabreL’histoire et les origines de CAMPO CalabroElles sont étroitementliées à ces du territoireauquel la citadineappartient, de cette partiec’est-à-dire de la côtedu Détroit de Messinequ’incunea jusqu’auxpentes des Aspromonte.Dans les siècles en effetle pays fut tenimento dela Terre de Fiumara deMure et il en suivit lesévénements feudali quila firent appartenir auSanseverino de <strong>Terra</strong>nova, à la Carafa de Roccella et enfin, jusqu’aux eversione de lafeudalità (1806), au Ruffo de Scille et de Bagnara. Sa conformation orographique quiil y à être un haut plateau dominant la côte et la vallée du torrent Catona est auxorigine de sa dénomiantion: il est naturellement le «CAMPO» de Fiumara, la puissanteville qui parmi ‘400 e ’600 contrôle l’accès Nord de Reggio et le port pour la Sicilequ’à l’époque on trouvait à Catona. Avant tout le lieu est «vis» militaire, puisqu’ilne vous est pas l’autre situé plus apte dans pressés du port pour la Sicile, et ainsi ildevait lui penser Carlo d’Angiò en pleine Guerre du Vespro (1284) lorsque, dans latentative de se reprendre l’Île soustraite lui de Pietro d’Aragona, se campa sur lehaut plateau, correspondant à l’actuel CAMPO, S. Martino et Concessa, avec 100.000hommes en attente de passer. L’opération échoua et la Sicile divenne définitivementaragonese après la paix de Caltabellotta (1302), mais probablement, de celle longueet terrible guerre, combattue presque pour entier en Calabre, ce lieu il nous gagnale nom: CAMPO, pour la note. Mais surtout et pour beaucoup de siècles jusqu’à nosjours, cette place est «CAMPO» du point de vue agricole; nous en trouvons une46
description dans apprécies des seicenteschi faits pour les principes de Scille (1605 ;1643), véritables «tu peins à fresque» de la situation economique, civile et administrativede tout le feudo, qui décrivent au territoire correspondant à celui de l’actuelleCommune comme adonné à la cultue des vies et du gelso: le grand vignoble dela baronnie. Il est pour cette vocation agricole que Je vis naît et il se développe, lesmaisons des paysans qui cultivent ces terres forment un village et plus il croît lasuperficie cultivée plus croît le bourg qui enfin devient un village dénommé CAMPOde la Maddalena à cause d’une église à elle dédiée, dont on a des nouvelles depuisle 1630, mais que déjà certainement il existait dans le 1692, lorsque en lui visitantMons. Ibanez de Villanueva commanda à l’Arciprete de Fiumara de vous maintenir unchapelain; l’Église de CAMPO fut ensuite elevée à Paroisse en 1701.La Paroisse comprenait tout l’actuel territoire des communes de CAMPO Calabroet de Villa San Giovanni, de Tour Cheval à Acciarello sur la côte, et jusqu’à Matinitiet à Musalà dans l’entroterra ; chez ils elle dépendaient les Églises succursales de S.Marie de Port Sauf en Cannitello, de l’Immaculée en Fossa S. Giovanni, de de Jésuset Maria en Piale et de SS. Cosma et Damiano en Acciarello : toutes devenues desautonomes paroisses successivement. Un territoire très vaste mais insuffisantementpeuplé, comme evince du recensement fait le 18 Mars 1760 du Curé de CAMPO DonDomenico Musco, qui énumère peu plus que 3000 âmes où aujourd’hui on en compte17.000 ca. De ce qu’erano les dépendances de la Maddalena de CAMPO nous en avonsune rappresentazione graphique, seppur grossière, dans une carte de 1760 faite duChancelier de la Curia Archiépiscopale de Reggio Calabre, Melacrino: un documentd’exceptionnelle importance rédigé en occasion de la cause que les cannitellesiintentarono au Curé de CAMPO, pour l’élévation à Paroisse de leur église de S. Mariede Port Sauf.La cause fut vaincue des cannitellesi et, avec l’élévation à paroisse de Cannitellole 31 Octobre 1761, commenca la hémorragie qui a mené à la situation actuelle.Mais celle-là carte, dans notre histoire, se révèle au fondamental acte de naissancedes rione plus de popoloso de l’actuelle Commune, Vis Piale: Melacrino pour tracerla frontière parmi les paroisses de Cannitello et le CAMPO choisit en effet le TorrentClochette, alors dit Vallone des Piale, en séparant de fait le village de Piale, un finalors unique bourg sur deux costoni, en deux pays: Piale de Cannitello et de Piale deCAMPO, ensuite dit justement CAMPO Piale. Le 2 Maggio 1775, à oeuvre du SindacoLorenzo Pensabene, fut construit la Fontaine Vieille et portée l’eau en pays, alors lescampesi devaient puiser à la fontaine de Piale qui existait de 1741, comme evince dela correspondance de la sopraccitata se cause de la paroisse : «le Curé de CAMPOpaye 12 ducati l’an pour transport d’eau de la fontaine de Piale».Dans l’an 1783 et précisément le 5 Février, la tres violente ébranlée de tremblementde terre détruisit la Calabre inférieure tirrenica en faisant environ 30.000 mortset en semant destruction. Dans cette occasion la partie méridionale du Règne deNaples bondit aux honneurs de la chronique européenne après des siècles de silence,fut construite une nouvelle route, l’actuel fonctionnaire 18, pour porter les aides aux47