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Les Associations Pinto à travers le monde et Rabbi ... - Hevrat Pinto

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12<br />

Si vous demandez aux habitants de la<br />

vil<strong>le</strong> <strong>à</strong> qui appartient c<strong>et</strong>te tombe ?<br />

Une pierre du mur criera : « Oya !<br />

Au rav <strong>Rabbi</strong> Yochiyahou <strong>Pinto</strong>. »<br />

Sa Torah nous protège.<br />

Combien d’ouvrages saints <strong>et</strong> importants <strong>le</strong> Rif – <strong>Rabbi</strong><br />

Yochiyahou – écrivit-il ! Parmi eux : Kessef Niv’har, qui<br />

parut en 5376 (1616 de l’ère commune) dans l’imprimerie<br />

Pierre tomba<strong>le</strong> de <strong>Rabbi</strong> ‘Haïm Vital, que son<br />

mérite nous protège.AMEN.<br />

d’Avraham Achkénazi <strong>à</strong> Damas. C<strong>et</strong> ouvrage contient<br />

des commentaires sur la Torah. L’impression n’ayant pas<br />

réussi, <strong>le</strong> Rif réimprima l’ouvrage en 5381 (1621 de l’ère<br />

commune) <strong>à</strong> Venise.<br />

Kessef Mézoukak est éga<strong>le</strong>ment un ouvrage sur <strong>le</strong>s<br />

différentes sections de la Torah d’après <strong>le</strong> drach (l’exégèse).<br />

Il fut publié en 5388 (1628 de l’ère commune) <strong>à</strong> Veni<br />

Il écrivit éga<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s ouvrages Kessef Tsarouf, un<br />

commentaire sur Michlé, qui fut publié <strong>à</strong> Amsterdam<br />

en 5389 (1629 de l’ère commune), Kessef Nim-asse, un<br />

commentaire sur Ei’ha, qui n’a pas encore été publié<br />

<strong>à</strong> ce jour, <strong>et</strong> Niv’har Mékessef, ouvrage de questions<br />

réponses sur <strong>le</strong>s Arba’a Tourim. C<strong>et</strong> ouvrage fut écrit<br />

il y a environ quatre cent ans <strong>et</strong> resta <strong>à</strong> l’état manuscrit<br />

pendant de nombreuses années, comme en témoigne notre<br />

maître <strong>le</strong> ‘Hida dans son ouvrage au chapitre 10. Il vit <strong>le</strong><br />

jour seu<strong>le</strong>ment en 5629 (1869 de l’ère commune) <strong>à</strong> A<strong>le</strong>p<br />

en Syrie grâce <strong>à</strong> l’imprimeur <strong>Rabbi</strong> Eliyahou ‘Haï ben<br />

Avraham Sassone.<br />

La raison de l’emploi récurrent du mot « kessef » dans<br />

<strong>le</strong>s noms de ses ouvrages est car a une raison particulière.<br />

Ce mot est de la même racine que <strong>le</strong> mot « ni’hssaf »<br />

(désirer ardemment). De même qu’une personne ordinaire<br />

désire ardemment l’argent, ainsi <strong>le</strong> rav, auteur de ces<br />

ouvrages, désirait ardemment l’étude de la sainte Torah<br />

<strong>et</strong> l’accomplissement des mitsvot, ainsi que dit <strong>le</strong> vers<strong>et</strong> :<br />

« Plus précieux est pour moi l’enseignement de ta bouche<br />

que des monceaux de pièces d’or <strong>et</strong> d’argent. »<br />

Comme notre rav <strong>et</strong> maître chelita l’a si bien<br />

expliqué :<br />

« Car comment la personne peut-el<strong>le</strong> savoir si el<strong>le</strong> aime<br />

Dieu en toute sincérité ? Après cent vingt ans, la personne<br />

risque de découvrir qu’el<strong>le</strong> n’a pas du tout servi Dieu<br />

de manière authentique. On lui montrera Dieu préserve<br />

<strong>le</strong> contraire, que tout était purement verbal <strong>et</strong> qu’el<strong>le</strong> a<br />

fait preuve d’abnégation pour <strong>le</strong>s vanités de ce <strong>monde</strong> !<br />

Une personne qui doit par exemp<strong>le</strong> prendre un avion se<br />

lèvera tôt <strong>le</strong> matin pour ne pas rater son vol ; fera-t-el<strong>le</strong> <strong>le</strong>s<br />

mêmes efforts pour se <strong>le</strong>ver chaque jour afin d’arriver <strong>à</strong><br />

temps <strong>à</strong> la prière ? Ses affaires personnel<strong>le</strong>s passent-el<strong>le</strong>s<br />

avant tandis que ce qui concerne <strong>le</strong> service divin occupe<br />

une place secondaire ?<br />

Chaque personne doit <strong>à</strong> chaque instant désirer servir<br />

Dieu <strong>et</strong> accomplir Sa volonté.<br />

La louange de l’ouvrage Kessef<br />

Tsarouf<br />

Il convient de citer ici quelques lignes de l’avant-propos<br />

rédigé par <strong>Rabbi</strong> Yochiyahou <strong>Pinto</strong>, que son mérite nous<br />

protège, <strong>à</strong> son livre Kessef Tsarouf, un commentaire sur<br />

Michlé, ainsi que quelques lignes des <strong>le</strong>ttres d’approbation<br />

<strong>à</strong> c<strong>et</strong> ouvrage écrites par <strong>le</strong>s maîtres de la communauté<br />

d’Amsterdam.<br />

Voici un bref extrait de l’avant-propos rédigé par <strong>Rabbi</strong><br />

Yochiyahou <strong>Pinto</strong>, que son mérite nous protège :<br />

« Le jeune Yochiyahou, fils du maître grand <strong>et</strong><br />

puissant <strong>Rabbi</strong> Yossef <strong>Pinto</strong>, récite une prière : ‘Que<br />

Page de titre de l’ouvrage Kessef<br />

Niv’har commentaires sur la Torah.

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