histoire

VIII A V A N T - P R O P O S .
» ris!.... et l'Espagne, Wellington, le gé-
» ne'ral odieux des e'trangers, dans les murs
» de notre ville sacrée !.... ))
Enfin, aux sentimens qu'il avait le désir
d'épancher, au besoin de remplir ses loi­
sirs se joignait encore l'espérance qu'il
eut toujours d'illustrer son nom. La guerre
lui était fermée; Je peuple ne l'avait pas
encore choisi pour son représentant et son
orateur. Ainsi il recherchait la gloire d'é­
crivain qu'il ne dédaignait pas; car il y
pouvaitatteindre.Etcependant cette gloire,
il voulait encore la reporter sur la France,
qui était le fond de ses pensées et de ses
attachemens :
a Heureux l'écrivain qui élève un mo-
» miment à son pays !... Je n'aurai pas cet
» avenir... »
Une fois que son projet fut arrêté, le
général Foy travailla à l'exécution avec
cette incroyable ardeur qu'il mettait à
toutes choses. Les notes qu'il avait prises
jour à jour sur les lieux même et au milieu