histoire

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officiers espagnolspréscntaicntpond'ôloflc pour
l'avancement. D'un autre côté, ceux qui avaient
donné à leurs en fans une éducation libérale,
répugnaient à les faire entrer dans une carrière
de dérèglemen t. L'église, 1 a j ustice ctles emplois
civils, absorbaient ceux qui avaient reçu de
l'éducation. Aucune étude, aucun enseigne­
ment préliminaire n'était exigé pour devenir
officier d'infanterie on de cavalerie. Des écoles
fondées autrefois à Puerto de Sanla-Maria, pour
la première de ces armes, et à Ocana pour la
seconde, avaient été supprimées depuis vingt
ans 1
" Depuis cette époque, on s'aperçut d'une
décadence parmi les officiers de l'armée. Ils
étaient en général d'une qualité inférieure à
leurs soldats, sous le rapport de l'éducation,
de l'instruction et de la capacité. Pendant
long temps les grands s'étaient tenus à l'é-
1
Les académies militaires de Zamora et de Barce­
lone , où des officiers de génie enseignaient les ma­
thématiques à quelques cadets et officiers tirés des
régimens , n'y suppléaient pas.