Lettre de Jean-Léon Prevost – avec illustrations

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pour lui. Vous ne doutez pas de ma profonde affection, pas plus que je ne doute de la vô‐ tre. Mais nʹest‐ce pas accomplir mon devoir de Père que de vous montrer que je porte avec vous le poids de cette épreuve, que de vous dire que je comprends combien a dû être grande la peine de nos f. isolés à Tournai, privés du soutien de votre présence? Je mets donc en même temps aux pieds du divin Sauveur, et la mort de ce bien cher f. Jean‐Marie [Tourniquet], et toutes ses conséquences douloureuses pour vous. Offrons‐Lui‐le tout en‐ semble en disant: Que sa sainte et adorable volonté soit bénie! Il nous lʹavait donné, Il lʹavait orné des vertus si aimables que nous admirions en lui; Il nous lʹa enlevé. Il en était le maître. Il saura bien nous le rendre et le rendre aux pauvres. Prions pour lui, en lʹunissant dans nos souvenirs à notre f. Planchat avec lequel on a remarqué quʹil avait tant de traits de ressemblance. Espérons quʹil ne sera pas oublié non plus par tous les amis dont il sʹétait acquis, dans les œuvres, lʹaffection et la vénération. Toutes ces instances obtiendront des Cœurs de J. et de M., ayons‐en la consolante persua‐ sion, quʹil soit bientôt admis au nombre des habitants du Ciel. Adieu, bien cher ami et fils, croyez bien, ainsi que tous vos ff. de Tournai, à tous mes sentiments les plus affectueux. Votre ami et Père en N.S. Le Prevost P. S. Peut‐être trouverez‐vous le moment dʹécrire une petite notice sur M. Jean‐ Marie. Vous lʹavez suivi longtemps à S t ‐Charles. MM. Georges [de Lauriston], Emile [Beauvais] et Chaverot vous fourniraient des détails sur ses travaux à Rome; tous nos ff. le désirent vivement. Comment allez‐vous faire pour le remplacer? M. Marcaire, aidé par vous, peut‐il y subvenir, au moins provisoirement? Avez‐vous quelque bon portrait photographié dʹaprès lui quʹon pût reproduire? 1654 à M. Trousseau Pour lui annoncer la douloureuse nouvelle de la mort du frère Tourniquet. Chaville, 10 juillet 1871 Mon bien cher ami et fils en N.S., Un nouveau coup vient de nous frapper: notre f. Jean‐Marie [Tourniquet], atteint dʹune petite vérole rentrée, a succombé vendredi dernier à ce mal, à 4h. 1/2 de lʹaprès‐midi; il a reçu les derniers sacrements. M. Faÿ, qui revenait à Tournay ce même jour, nʹest arrivé que pour les funérailles. Priez pour lui, vous et vos ff.; offrez, vous et M. Pattinote, le St Sacrifice à cette in‐ tention. Votre tout dévoué ami et Père en N.S. Le Prevost P. S. Concertez‐vous avec M. Caille pour que la famille, dont jʹignore lʹadresse, soit informée de cette triste nouvelle. 1583
1655 à M. de Varax Embarras causé par la mort du frère Tourniquet. Projet dʹinstallation du père de Varax à Vaugirard. Etablisse‐ ment du petit et grand Noviciat. Lʹamour maternel. Chaville, 12 juillet 1871 Bien cher ami et fils en N.S., Jʹai bien reçu vos deux lettres des 6 et 10 juillet. Je pensais bien que, comme nous, vous éprouveriez une profonde affliction de la mort de notre bien‐aimé f. Jean‐Marie [Tourniquet], et que, comme nous aussi, vous seriez frappé de ses conséquences relative‐ ment aux plans dont le Conseil étudiait avec vous lʹexécution. En effet, M. Derny ne pourra guère aisément être retiré de Ste ‐Anne, Dieu venant de nous prendre celui que nous destinions pour la Direction de cette maison. Dʹautre part, M. Faÿ croit que M. Coquerel est absolument nécessaire à Tournay; M. Risse parle de même de M. Baumert pour Metz; il devient par là même nécessaire de rappeler M. Faÿ. Que veut nous indiquer la Providence en nous ôtant ainsi la libre disposition de nos instruments? Ayant dans votre solitude plus de calme pour prier, réfléchir et combiner, peut‐être trouverez‐vous une issue à cette impasse? Ne sera‐t‐il pas difficile, dans lʹétat actuel de nos affaires et avec lʹamoindrissement de notre personnel, dʹétablir deux Noviciats en deux lieux séparés? Ne vaudrait‐il pas mieux employer toutes nos ressources pécuniaires et concentrer tout notre personnel disponible dans un seul Noviciat, au moins pour cette an‐ née, soit à Vaugirard, soit à Chaville où lʹinstallation des logements serait fort simplifiée et qui, dans le cas contraire, demeurerait sans destination utile et avec des charges encore as‐ sez lourdes? Sans nette vue précise et à titre dʹétude seulement, je vous signale ces points qui méritent notre attention. Pour cet examen, la liste des membres de la Congrégation peut vous être utile; je vous lʹenvoie pour le cas où vous ne lʹauriez pas. Lʹayant sous les yeux, vous ferez mieux les diverses combinaisons possibles pour le classement des frères en chaque maison. La préparation des logements paraîtrait demander que lʹon sʹarrêtât sans trop tar‐ der à un parti quelconque. Dans le cas, en effet, où vous croiriez que Vaugirard dût être préféré comme Noviciat et Maison‐Mère, vous auriez à vous décider sur les conditions de votre installation, soit dans le logement que jʹoccupe présentement, augmenté de la pièce de lʹéconomat qui serait affectée à votre secrétaire, soit en tel autre endroit que vous juge‐ riez plus convenable. Dans le premier cas, M. Audrin établirait son bureau dans une partie du parloir (près du concierge), dont le reste garderait son usage actuel. Dʹaprès lʹavis de MM. Myionnet et Audrin, mon propre logement serait alors trans‐ féré dans la salle dʹétude, et la pièce de la menuiserie, en face de la bibliothèque, devien‐ drait salle dʹétude. Il semblerait désirable que la disposition, quelle quʹelle fût, qui serait adoptée fût réalisée au plus tôt; autrement, les travaux à faire seraient pour vous, à votre retour, un notable dérangement et ajourneraient fâcheusement lʹétablissement des services et lʹétat régulier qui a été déjà bien différé. Je le répète, mon bien cher ami, je ne précise rien, je soumets simplement ces ques‐ tions à votre examen; si vous pensez que mieux vaut ne rien arrêter présentement, nous attendrons votre retour, mais y penser à lʹavance ne serait pas au moins sans avantages. 1584
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Jean-Léon Le Prevost L E T T R E S
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UNE BONNE NOUVELLE R. S. V. ! 1935
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VIII
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T A B L E D E S I L L U S T R A T I
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L’Univers. L’Ami de la Religion
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1 à M. Gavard 1 Invitation à renc
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physique, quand elle arrive à une
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dormaient. Ce calme, ce repos allai
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comme nos pères, nous aurons des s
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Résidence des Hugo rue N.D. des Ch
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chez vous? Y avez‐vous lu le proc
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Interrompu ici, cʹest après deux
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pas lui donner le nom de père, tan
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Ce que cʹest que sʹaventurer à d
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sais que votre voix qui puisse enco
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quiet et tourmenté sur le reste. J
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vous donc à tout cela, mon ami, à
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parier contre un que vous aurez ple
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amène en ce monde et vous fasse cr
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puisse entrevoir la prochaine inter
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poir lui viennent dʹen haut, mais
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18 à M. Pavie Condoléances pour l
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er en moi, je tremble parfois pourt
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qui a si bien défiguré son sujet
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Si je parle ainsi, mon bien‐aimé
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eaucoup en peu de mots. Jʹessaiera
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lement avant, ô mon frère, répon
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vous m’avez accordés pour n’ê
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ma complète abnégation? Suffira
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25 à M. Levassor Accord de M me Le
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gnes, mon ami, cette œuvre sera no
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faudrait par masses, il en faudrait
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es lui étaient offertes encore, qu
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Je viens de chez M. Gardet, il est
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La première partie de votre lettre
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Ce que vous me dites de votre ami E
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seulement, mais devant à lʹun com
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Malgré la gravité des considérat
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Voilà tout ce que jʹai à vous di
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heures bien tristes près de ce lit
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avec celles que je nʹai pas besoin
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union des frères chez M. Bailly et
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Je vais mʹoccuper de remettre nos
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démentie; puisse ce parallélisme
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ser avec vous. Je viens dʹécrire
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52 à M. Maillard Visite à effectu
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59 à M. Maillard Venu saluer ses a
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la dépassait trop pour que ma pré
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de prendre pied; si cʹest en place
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mes vœux et désormais je serai sa
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egrette vivement, mais Dieu le saur
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Ces paroles rassurantes, ce nʹest
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Mardi, je termine une neuvaine comm
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que sa fin fût sanctifiée, et dep
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dre dʹheure en heure. Je nʹai don
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poitrine sʹest affectée de la man
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75 à M. Levassor A cause dʹun sur
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location dʹappartements bourgeois
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76 à M. Pavie Vivre et aimer, cʹe
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Jʹai fait recommander aux prières
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sant naturellement, vous lʹeussiez
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touchants; cela console et rend heu
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Adieu encore, cher ami, unissons no
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SEANCES ‐ Les séances de la sect
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Ma sœur bien‐aimée est enceinte
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85 bis à un Confrère de St‐Vt
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sa propre volonté, à cause du tra
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88‐2 96 à un Confrère de St‐V
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88‐5 à M. Bailly Présentation d
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Paris, 1er septembre 1842 Très che
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Si, comme on me le dit, St‐Médar
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94 à M. Maignen Pressante 103 invi
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Mon bien cher Victor, Jʹapprends p
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Monsieur lʹ abbé, M lle Mignon, q
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quez pas de mʹen dire quelques mot
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Cher frère et ami, Je commence auj
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Il lui céderait clientèle, mobili
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Je vous remercie de nouveau, en leu
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dernier sens plus spécialement que
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113 à M. Maignen Encouragements et
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Adieu, cher, aimez‐moi tant bien
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115 à M. Myionnet 120 Après leur
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moitié du chemin. Puisse le Seigne
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A vous bien affectueusement en N.S.
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120 à M. Myionnet 127 Appel à ven
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COMPTES de lʹannée 1844 ‐ du 1
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ciens amis, presque tous ceux qui s
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devrai parler me fut désigné à l
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122‐3 à M me Le Prevost (née de
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123‐1 à M gr Angebault Développ
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la veille de la fête de saint Vinc
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ni pour lʹautre, nous pourrions vi
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P.S. Je viens dʹapprendre que ma p
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existence, je voudrais avant mon d
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mʹappelle et réclame mes soins. C
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131 à M. Myionnet Comment la mère
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les quelques cuillerées de rafraî
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que triste événement; après ces
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136 à M. Maignen Remerciements pou
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craignons dʹailleurs dʹappeler tr
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pour soulager les pauvres dans la p
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plairait de me confier. Aujourdʹhu
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exigence même une preuve de sollic
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trop grossir les choses aussi que d
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Carmes, enfin les Jésuites qui peu
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seule vous réussira. Laissons, cro
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cessive, trop mêlée de tendresse,
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ez bien dʹaller prendre quelques j
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147‐1 à M. Bailly Recommandation
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149 à M. Maignen Ce que représent
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151 à M. H. Taillandier Conditions
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sacrifice? Intérieurement, je le c
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Adieu, très cher enfant, je prie t
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mʹempresse de vous la faire parven
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douzaine de statues; tâchez dʹen
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quʹil aurait encore plus de regret
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161 à M. Maignen MLP. accueille M.
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Je me réjouis bien, très cher ami
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Je suis bien affectueusement en J.
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hors de toute inspiration extérieu
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nous sommes, lʹami qui vous affect
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meurât inactif, sans rien faire po
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dionale, mais la divine charité du
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le faire savoir. Recevez, cher Conf
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M. Desains ayant bien voulu défini
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sante de Grenelle comptera 20 ou 22
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nous le désir pour que nous priion
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tes‐vous: sʹil a été tant acco
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portant pour nous est de persévér
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nislas du constant intérêt que vo
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Nous avions songé à le prendre av
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occasions continuelles de bonnes œ
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Je remercie tendrement le f. Paill
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187 à M. Levassor Décès de M. Ma
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Je désire, très chers amis, que v
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tranché tout ce qui concerne les p
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chevêque vient de nous accorder la
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192 à M. Levassor Retraite ecclés
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194 à M. Decaux La Sainte‐Famill
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êtes si sincèrement le frère; je
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euse et, pour comble de satisfactio
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Je nʹai pas la pensée, très cher
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vous prépareriez avec lui et quʹo
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203 à M. Levassor Des bienfaitrice
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207 à M. Planchat 173 208 à M. Le
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210 à M. Levassor MLP. ne pense pl
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212 à M. Planchat 174 L’entrée
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puis de cette pauvre petite associa
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que vous soyez radicalement guéri,
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venez‐vous aussi de nous qui vous
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223‐1 à un Vicaire Général Exp
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Un laïc, sans lʹhabit religieux s
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224 à M. Decaux La présence de M.
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munauté pour cela. Que cependant s
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prendre; les bains de mer sont bons
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flexion nʹa fait que me confirmer
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ien grand cœur; je lui en parlerai
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occupations dʹesprit sur ce sujet;
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occuper avec un zèle ardent et sin
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238 de M. Carment à M. Caille P.S.
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verts pour recevoir les conseils qu
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longtemps éloignés de votre souve
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quʹimparfaitement; cependant, à s
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Je partage entièrement votre avis
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249 à M. Caille Projets de déplac
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Votre ami et Père en N.S. Le Prevo
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Je vous remercie bien des fois, che
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Elle compte présentement 80 enfant
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Vaugirard, 28 mars 1854 Monsieur et
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Nos orphelins sont maintenant au no
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ment, leur aspect seul suffira pour
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Les pièces concernant le tirage de
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Les enfants au nombre de 100, sont
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voyiez difficilement une excuse à
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Lʹenseignement des enfants comport
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264 de M. Vasseur à M. Caille P.S.
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suite. Le bon Maître donne cette g
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faveur de la future Conférence de
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269 à M. Caille Voyage de MLP. à
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ieux, une chose intéressant la glo
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etc., ou bien pensez‐vous seuleme
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u venu dʹétablir près de lui une
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Adieu, mon bien bon abbé, vous sav
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279 à M. Caille Retraite d’octob
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Il dit que sa principale raison pou
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283 à M. Decaux Demande pour que s
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Vos enfants dʹAmiens vont bien et
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êtes venu nous voir, ne mʹayant p
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Offrez mon respect à M. lʹabbé C
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ministré hier et ce matin il a re
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Nous avons en outre nos constructio
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pure des vierges, de son humilité
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297 à M. Vince Règlement et lectu
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sont à peu près inévitables jusq
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Dites‐moi si vous les avez trouv
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Jʹapprends avec joie votre paix in
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A bientôt, très cher ami, je nʹo
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corde que le Cœur de Jésus nous a
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que vous me demandiez; vous ferez b
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encore moins dʹesprit, voilà tout
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315 à M. Caille Dispositions à pr
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nous éclairera sur les moyens qui
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Assurez de nos tendres affections l
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les caresses nous montrer. Le bon D
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gneur me conserve quelque vigueur,
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Je mʹoccupe dʹabord des affaires
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trou, un pauvre village avec des ha
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Pour la demande au Ministre de lʹI
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gueurs de lʹexil. Et pourtant, bie
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f. Paillé veut absolument que nous
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sera bien facile entre nous; nous n
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Très cher enfant en N.S., Je voula
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quʹil ne serait pas mal de conserv
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maison de la rue Stanislas tant qu
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comme personne ne les a, des parole
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Persévérez aussi dans vos efforts
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Je nʹai pas reçu jusquʹici les l
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plaisir. Continuez ainsi, en se sec
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345 à M. Maignen M. Maignen organi
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346 à M. Vince Exhortation à esp
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sʹoccupent de les soutenir. Je ne
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lʹespérer, et notre maison dʹAmi
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priez beaucoup pour lui, vos prièr
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lité pour préparer les esprits: l
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Hyères, 13 mars 1856 Très cher en
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fice complet de votre part et que,
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356 à M. Caille Impressions sur la
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même temps de tout près lʹœuvre
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car il est déjà bien tard; quʹon
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était désolé de voir quʹil ne p
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Je nʹai pas le temps dʹen écrire
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précis, vos explications ne mʹaya
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prudents à lʹégard de la Communa
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Jʹadmire les bontés adorables du
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que de mon retour; quand je saurai
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mables et les plus touchants. Je vo
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Vous entrerez, jʹen ai la confianc
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Il fixe mon retour au 15 mai; je se
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372 à M. Maignen Conduite à suivr
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par des stores le jour fatigant qui
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tiques et laïcs, nous avons unanim
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accueil que vous nous avez fait et
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377 à M. Caille Le voyage à Amien
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pondre de quelques moments de liber
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iens pour nos œuvres et pour nous
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Les offices du S t Sacrement ne vou
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Ne craignez pas de déranger nos en
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Je ne me contriste pas pour nous‐
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favorise si bien les mouvements int
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388 à M. Halluin Ce qui est vraime
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390 à M. Halluin Conditions financ
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désirons‐nous que parmi nous, le
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commencements surtout et jusquʹà
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volontiers à ses droits. Il me sem
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Vaugirard, 18 août 1856 Cher Monsi
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votre maison. Malheureusement, la m
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sirs, vos hautes espérances et ces
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tre avis sur ces points importants;
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Duclair, 9 septembre 1856 Bien cher
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les sèches me poussera aussi peut
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que M. Daviron pût venir, surtout
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les enfants vraiment chrétiens. La
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tre main paternelle ne serait perdu
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la Communauté, après la longanimi
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tre caractère, et bien dʹautres r
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cher Dieu! Ce nʹest que dʹaujourd
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mule et vous indiquerai dans ma pro
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Cannes, 8 novembre 1856 Cher enfant
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Ce pays est fort travaillé par le
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quʹaucune autre, ait des souvenirs
Page 547 and 548:
Adieu, bien cher Monsieur et frère
Page 549 and 550:
f. Ernest et moi, nous la ferons de
Page 551 and 552:
question plus sérieusement quand n
Page 553 and 554:
422 à M. Halluin Difficulté dʹac
Page 555 and 556:
Je recevrai avec plaisir lʹAmi de
Page 557 and 558:
découvririez sous ce que je viens
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Cannes, 29 novembre 1856 Cher Monsi
Page 561 and 562:
moyens que mes misères pourraient
Page 563 and 564:
mestre, je trouverai peut‐être e
Page 565 and 566:
Famille, beaucoup de pauvres y assi
Page 567 and 568:
ai été bien sensible et je vous e
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éception. Elle mʹest arrivée, je
Page 571 and 572:
Myionnet, je lui ai recommandé dʹ
Page 573 and 574:
fois plus pour elle que par toutes
Page 575 and 576:
tion; nous y aurons le double avant
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440 à M. Decaux Vœux de nouvel an
Page 579 and 580:
tion du nouveau local. Je vous invi
Page 581 and 582:
eau, vous vous sentirez calme, soum
Page 583 and 584:
notre retour; nous vivons aussi éc
Page 585 and 586:
lui a témoignée jusquʹici, elle
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lʹexemple de tout zèle et de tout
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tique et au dedans nous susciter de
Page 591 and 592:
un mot pour notre f. Loquet, pour l
Page 593 and 594:
crois quʹil aurait au fond du cœu
Page 595 and 596:
453 de M. Paillé à M. Maignen P.S
Page 597 and 598:
tions des protestants, et dʹune au
Page 599 and 600:
la préparation de votre nouvelle c
Page 601 and 602:
457 à M. Decaux Importance dʹune
Page 603 and 604:
Il est bien facile, cher enfant, de
Page 605 and 606:
460 à M. Guillot Combattre lʹhume
Page 607 and 608:
étiez si lourdement chargés; en s
Page 609 and 610:
Nous ne manquerons pas assurément,
Page 611 and 612:
nos ff. dʹArras que sʹil sʹagiss
Page 613 and 614:
Tous nos frères prient, durant la
Page 615 and 616:
lʹœuvre sʹamoindrira en nombre,
Page 617 and 618:
Nous faisons de notre mieux le mois
Page 619 and 620:
Respects à M. lʹabbé Mangot. Je
Page 621 and 622:
dans votre nouveau local, il me sem
Page 623 and 624:
Maignen, qui doit mʹaccompagner à
Page 625 and 626:
venir plus ferme, plus efficace pou
Page 627 and 628:
Vaugirard, 3 août 1857 Mon bien bo
Page 629 and 630:
encore à faire du côté des Conf
Page 631 and 632:
concilier. Jʹinclinerai dʹautant
Page 633 and 634:
Le contenu de votre lettre ne mʹé
Page 635 and 636:
Je pense que vous ne voyez pas de d
Page 637 and 638:
touchés nous‐mêmes de ses exhor
Page 639 and 640:
Ferdinand, dont je joins ici une pe
Page 641 and 642:
497 à M. Guillot Estime de la voca
Page 643 and 644:
en plus persuadé que notre démarc
Page 645 and 646:
présent, propre à la Maison‐Mè
Page 647 and 648:
Quelques modifications ont été fa
Page 649 and 650:
Cʹest aussi, bien cher enfant, une
Page 651 and 652:
tite famille et à ses œuvres. Gr
Page 653 and 654:
Carment était, comme je vous lʹai
Page 655 and 656:
Nous allons assez bien ici, sauf qu
Page 657 and 658:
Nous allons assez bien ici, sauf l
Page 659 and 660:
514 à M. Carment MLP. invite le fr
Page 661 and 662:
516 à M. Halluin Le frère Augusti
Page 663 and 664:
Nous répondons que nous ne sommes
Page 665 and 666:
Vaugirard, 8 février 1858 Bien che
Page 667 and 668:
vous quelles combinaisons seraient
Page 669 and 670:
Notre petit Conseil a exprimé quel
Page 671 and 672:
nait le mieux. Il craint seulement
Page 673 and 674:
quilles à votre sujet et sur tout
Page 675 and 676:
531 de M. Lantiez à M. Halluin P.S
Page 677 and 678:
Adieu, cher Monsieur lʹabbé, nos
Page 679 and 680:
gés probablement de le changer apr
Page 681 and 682:
Jules nʹest pas une bonne relation
Page 683 and 684:
cause de la première communion de
Page 685 and 686:
dans une position toute particuliè
Page 687 and 688:
Il regarde bien souvent sur la rout
Page 689 and 690:
dʹabnégation de lui même sans le
Page 691 and 692:
547 à M. Guillot Dévotion mariale
Page 693 and 694:
Je regrette bien que M. Tabarie sen
Page 695 and 696:
551 à M. Halluin Voyages de M. Lan
Page 697 and 698:
tard passer des temps un peu prolon
Page 699 and 700:
Adieu, cher Monsieur lʹabbé, tous
Page 701 and 702:
Vaugirard, 8 août 1858 Cher Monsie
Page 703 and 704:
passablement, en attendant que le b
Page 705 and 706:
éclairés, mais jʹaimerais que po
Page 707 and 708:
de soulagement, qui leur permettrai
Page 709 and 710:
Adieu, mon bien bon ami, nous rever
Page 711 and 712:
fondation et nous voyons avec joie
Page 713 and 714:
Si M lles Lesueur étaient hors Par
Page 715 and 716:
Il me semble quʹil ne faudrait pas
Page 717 and 718:
tion toute paternelle, à renoncer
Page 719 and 720:
toujours, à la longue, un peu dʹa
Page 721 and 722:
Je vous envoie mon titre de pension
Page 723 and 724:
Je pense comme vous, cher Monsieur
Page 725 and 726:
éciproques, vous en êtes bien per
Page 727 and 728:
589 aux Frères dʹArras Souhaits d
Page 729 and 730:
doivent être respectées et leurs
Page 731 and 732:
travail et la souffrance quʹIl nou
Page 733 and 734:
Je sens, cher Monsieur lʹabbé, to
Page 735 and 736:
pos de vos âmes. Je dis ces choses
Page 737 and 738:
599 à M. Vasseur Souvent la privat
Page 739 and 740:
approchée. Je crains seulement qu
Page 741 and 742:
Je suis heureux dʹapprendre que mo
Page 743 and 744:
nant la lassitude ferme mes yeux et
Page 745 and 746:
Je nʹai pas dʹavis bien précis
Page 747 and 748:
Adieu, mon bien bon ami, je recevra
Page 749 and 750:
été partout parfaites et pleines
Page 751 and 752:
sans doute la pensée. Lui‐même
Page 753 and 754:
Paris, 13 mai 1859 Monsieur lʹabb
Page 755 and 756:
lui. Nous nʹavons pas résisté, M
Page 757 and 758:
enfants est toute prochaine, et je
Page 759 and 760:
peut, la Sainte Communion à cette
Page 761 and 762:
vous aller voir prochainement. Si r
Page 763 and 764:
différée. Lʹextrême chaleur ser
Page 765 and 766:
P.S. M. Thuillier, dans sa lettre,
Page 767 and 768:
ment désirables? Si on en trouve u
Page 769 and 770:
635 à M. Vasseur Encouragements da
Page 771 and 772:
crements de lʹEglise quʹil a reç
Page 773 and 774:
seulement par lʹadmiration enthous
Page 775 and 776:
Pour ce qui regarde notre Constitut
Page 777 and 778:
Je vais remettre au f. Joseph pour
Page 779 and 780:
Jʹai à vous remercier aussi, Mons
Page 781 and 782:
Je nʹai point de mon côté encore
Page 783 and 784:
652 à M. Halluin Ce dont les frèr
Page 785 and 786:
enfants ont été rarement aussi he
Page 787 and 788:
nemi du salut. Il vous demeurera pr
Page 789 and 790:
vous, pour vos frères et pour nous
Page 791 and 792:
cette raison principalement que nou
Page 793 and 794:
marcher ensemble dans lʹépreuve,
Page 795 and 796:
gne prudente et charitable tout ens
Page 797 and 798:
quʹil est peu propre aux choses d
Page 799 and 800:
Adieu, cher Monsieur lʹabbé, ayon
Page 801 and 802:
Vaugirard, 8 février 1860 Mon bien
Page 803 and 804:
Je me recommande, en finissant, à
Page 805 and 806:
677 à M. Caille Le frère Myionnet
Page 807 and 808:
main du Seigneur fait descendre ent
Page 809 and 810:
faire ces temps derniers, nous devi
Page 811 and 812:
efforts aux nôtres dans les œuvre
Page 813 and 814:
ceux qui doivent sʹattacher au ser
Page 815 and 816:
693 à M. Halluin Impressions dʹor
Page 817 and 818:
gne, et dont nous sommes contents j
Page 819 and 820:
placer par M. lʹabbé Planchat ou
Page 821 and 822:
702 à M. Caille Nouvelles des frè
Page 823 and 824:
départ. Autrement, il se rendrait
Page 825 and 826:
tion si grande pour nous, enfants d
Page 827 and 828:
Adieu, bien cher enfant, je vous em
Page 829 and 830:
714 à M. Halluin Costume dʹemprun
Page 831 and 832:
Dans les conditions ordinaires, un
Page 833 and 834:
Nos ff. laïcs disent lʹOffice de
Page 835 and 836:
Jʹembrasse tout votre monde et vou
Page 837 and 838:
avantage et si, discrètement, on n
Page 839 and 840:
727 à M. Halluin Retraite prépara
Page 841 and 842:
nous la ferons donc cette année to
Page 843 and 844:
gager le sujet que nous vous destin
Page 845 and 846:
Je vous embrasse avec une tendre af
Page 847 and 848:
tout heureux de trouver dans le S t
Page 849 and 850:
740 à M. Halluin Départ de M. Myi
Page 851 and 852:
Pour ce qui regarde, dʹune autre p
Page 853 and 854:
semble quʹil serait bien quʹen ac
Page 855 and 856:
entre nous posée une solution sati
Page 857 and 858:
admirable de notre frère. Il a pou
Page 859 and 860:
suis, ainsi que jʹai eu lʹhonneur
Page 861 and 862:
19 mars [1861] ‐ St Joseph Bien c
Page 863 and 864:
755 à M. Caille Que M. Caille inte
Page 865 and 866:
Je pense, cher Monsieur lʹabbé, q
Page 867 and 868:
quʹil passera ici, ce qui sera le
Page 869 and 870:
Quant à M. Clément, il nous para
Page 871 and 872:
Il me semble que, pour faire agrée
Page 873 and 874:
Je pense que lʹabbé Planchat vous
Page 875 and 876:
en pourrait tirer un grand parti; i
Page 877 and 878:
775 à M. Decaux Souhaits de fête.
Page 879 and 880:
econnaissez simplement vos fautes e
Page 881 and 882:
Vaugirard, 15 juillet 1861 Cher Mon
Page 883 and 884:
Je mʹétonne de la résistance de
Page 885 and 886:
786 à M. Halluin Nouvelles injonct
Page 887 and 888:
Je crois quʹà Arras il peut être
Page 889 and 890:
792 à M. Vasseur Lʹobéissance, r
Page 891 and 892:
éponse définitive quʹaprès lʹa
Page 893 and 894:
Vaugirard, 10 octobre 1861 Cher Mon
Page 895 and 896:
Vaugirard, 8 novembre 1861 Octave d
Page 897 and 898:
Votre petite lettre à M. Brice lui
Page 899 and 900:
mʹétonne point que vous rencontri
Page 901 and 902:
806 à M. Caille Le jeune Trousseau
Page 903 and 904:
tâche un peu lourde pour lui quʹi
Page 905 and 906:
Adieu, cher Monsieur lʹabbé, dite
Page 907 and 908:
M. Risse est retourné à Metz, emm
Page 909 and 910:
Adieu, cher Monsieur lʹabbé, croy
Page 911 and 912:
chard pour se rendre près de vous.
Page 913 and 914:
soin que dʹêtre un peu suivi des
Page 915 and 916:
que jʹavais commencé dʹapprendre
Page 917 and 918:
constamment. Les autres vont bien a
Page 919 and 920:
830 à M. Planchat Utilité de suiv
Page 921 and 922:
834 à M. Planchat Laisser partir u
Page 923 and 924:
837 à M. Risse Avantages dʹun éq
Page 925 and 926:
840 à M. Maignen Mariage dʹun jeu
Page 927 and 928:
P. S. Ceux des ff. de notre maison
Page 929 and 930:
Curé qui vient de lancer un manife
Page 931 and 932:
847 de M. Gauffriau à M. Caille P.
Page 933 and 934:
850 à M. Guillot Autorisation dʹu
Page 935 and 936:
Un père a droit dʹembrasser son f
Page 937 and 938:
point où vous la pouvez souhaiter.
Page 939 and 940:
857 à M. Caille MLP. sʹinforme su
Page 941 and 942:
Vaugirard, 15 septembre 1862 M., Ve
Page 943 and 944:
862 à M. Halluin Réunions à pré
Page 945 and 946:
Jʹai jugé un peu vite M. Pierre [
Page 947 and 948:
Je tâcherai que M. Marie [de Pierr
Page 949 and 950:
M. Hello vous a dit, je pense, que
Page 951 and 952:
Vaugirard, 22 décembre 1862 Mon bi
Page 953 and 954:
878 à M. Caille Se défier des can
Page 955 and 956:
881 à M. Planchat Ouvrages religie
Page 957 and 958:
885 à M. de Varax M. de Varax sʹa
Page 959 and 960:
888 à M. Halluin Mouvement de pers
Page 961 and 962:
Chaville, 14 mars 1863 Bien cher en
Page 963 and 964:
Monsieur le Supérieur vous prie d
Page 965 and 966:
897 à M. Vasseur Nouvelle obédien
Page 967 and 968:
903 à M. Maignen Le frère Tourniq
Page 969 and 970:
Le petit établissement de Chaville
Page 971 and 972:
909 à M. Halluin Des remarques de
Page 973 and 974:
temps avait un peu remonté notre b
Page 975 and 976:
…Tout marche dans la famille à l
Page 977 and 978:
ouvertures sur votre avenir, ni à
Page 979 and 980:
921 de M. Planchat à M. Caille P.
Page 981 and 982:
Les almanachs ont été expédiés
Page 983 and 984:
M me Sadron sʹafflige de nʹavoir
Page 985 and 986:
930 à M. Halluin MLP. déconseille
Page 987 and 988:
932 à M. Halluin Sollicitude pour
Page 989 and 990:
934 à M. Caille Recommandations co
Page 991 and 992:
938 à M. Guillot MLP. veille, avec
Page 993 and 994:
Jʹai beaucoup regretté de ne pouv
Page 995 and 996:
prime et écrit avec une certaine f
Page 997 and 998:
27 mai 1864 Je ne veux point, mon b
Page 999 and 1000:
Vaugirard, 28 juillet 1864 Mon bien
Page 1001 and 1002:
tipliés, parce que vous garderez l
Page 1003 and 1004:
dépendamment de ces moyens bien se
Page 1005 and 1006:
M me His vous prie de faire un paqu
Page 1007 and 1008:
958 à M. Caille MLP. est en rappor
Page 1009 and 1010:
Vaugirard, 16 septembre 1864 Bien c
Page 1011 and 1012:
963 à M. Guillot Difficultés quʹ
Page 1013 and 1014:
17 octobre [1864] Bien cher enfant
Page 1015 and 1016:
tous, surtout à lʹégard de ceux
Page 1017 and 1018:
970 à M. Guillot Difficultés de l
Page 1019 and 1020:
dʹautant que le Président de chaq
Page 1021 and 1022:
5h. dîner (avancé dʹune heure po
Page 1023 and 1024:
fête. Jʹétais bien assuré que t
Page 1025 and 1026:
979 à M. Risse M. Gauffriau, jeune
Page 1027 and 1028:
ment avec ceux dont on partage les
Page 1029 and 1030:
984 à M. Chaverot Issue heureuse p
Page 1031 and 1032:
986‐1 à M gr Angebault Précisio
Page 1033 and 1034:
sans notre assentiment, et nous nou
Page 1035 and 1036:
Mille tendresses à vous et à tous
Page 1037 and 1038:
on père et dʹen conférer avec lu
Page 1039 and 1040:
compagnement de ceux quʹon emploie
Page 1041 and 1042:
996 à M. Chaverot Confection dʹun
Page 1043 and 1044:
Notre Conseil vous recommande avec
Page 1045 and 1046:
Adieu, bien cher ami et fils, croye
Page 1047 and 1048:
Tout va bien aussi à Angers, nos f
Page 1049 and 1050:
ternelle pour nous, quels pieux et
Page 1051 and 1052:
9h. Grandʹmesse, ensuite petite pr
Page 1053 and 1054:
à lʹhôtel du Dauphiné où nous
Page 1055 and 1056:
vous êtes exacts aux exercices de
Page 1057 and 1058:
6h.1/2, souper; 8h., chapelet, pri
Page 1059 and 1060:
Je ne vois guère, pour subvenir à
Page 1061 and 1062:
direz les pieux incidents de votre
Page 1063 and 1064:
grâces dont nous avons, comme vous
Page 1065 and 1066:
jusquʹici; on cite en particulier
Page 1067 and 1068:
Je vous écris en plein air peu com
Page 1069 and 1070:
minaire, se reposer en suivant comm
Page 1071 and 1072:
1023 à M. Maignen Critères de dis
Page 1073 and 1074:
M gr a eu, comme vous le pensiez, l
Page 1075 and 1076:
points de la règle que vous pouvez
Page 1077 and 1078:
Eglise de CAUDEBEC - en - CAUX Tout
Page 1079 and 1080:
vite, toutes ces obscurités vont s
Page 1081 and 1082:
Je vous quitte pour prévenir M gr
Page 1083 and 1084:
lʹétablir sont moindres que vous
Page 1085 and 1086:
Lʹautre écrit est bien; il me sem
Page 1087 and 1088:
patience à les porter que nous obt
Page 1089 and 1090:
1044 à M. dʹArbois Ne pas trop se
Page 1091 and 1092:
sacerdoce ne semblerait pas être l
Page 1093 and 1094:
1050 à M. Trousseau Ne pas sʹing
Page 1095 and 1096:
tre qui, jusquʹici, a béni vos tr
Page 1097 and 1098:
Bien cher ami et fils en N.S., Vous
Page 1099 and 1100:
cher Monsieur de Varax, M. Thenon f
Page 1101 and 1102:
nauté et de ses œuvres. Concevez
Page 1103 and 1104:
excellent prêtre; vous jugerez si
Page 1105 and 1106:
Vaugirard, 14 mars 1866 Bien cher a
Page 1107 and 1108:
1068 à M. dʹArbois MLP. réitère
Page 1109 and 1110:
lui, du jeune abbé Allard de Montd
Page 1111 and 1112:
1075 à M. Caille MLP. rappelle un
Page 1113 and 1114:
ais bien aise de le savoir; priez M
Page 1115 and 1116:
Pour M. Allard, nous arriverons, je
Page 1117 and 1118:
Je mʹabstiens de donner un avis, p
Page 1119 and 1120:
Toute notre petite famille accueill
Page 1121 and 1122:
quʹavec un peu de patience, cette
Page 1123 and 1124:
fort contraire à leurs vues pour l
Page 1125 and 1126:
Mille affections pour vous et pour
Page 1127 and 1128:
jusquʹici; jʹespère quʹil daign
Page 1129 and 1130:
etard à votre lettre. Je vous écr
Page 1131 and 1132:
1102 à M. Caille Le choléra à Am
Page 1133 and 1134:
son frère. Il a lʹesprit très fr
Page 1135 and 1136:
par la main et nous le ramènera; v
Page 1137 and 1138:
louables à ses yeux et méritantes
Page 1139 and 1140:
lʹéloignement de M. Jean‐Marie.
Page 1141 and 1142:
il de la partie, peut‐être dîne
Page 1143 and 1144:
pour la tutelle des orphelins que v
Page 1145 and 1146:
de repos et quʹon ne changeât pas
Page 1147 and 1148:
Ayez bonne confiance pour vous, che
Page 1149 and 1150:
Je ne crois pas quʹil y ait raison
Page 1151 and 1152:
A mon avis, M. Charrin ne remplacer
Page 1153 and 1154:
Je suis heureux de ce que vous me d
Page 1155 and 1156:
1130 à M. Caille Convocation à un
Page 1157 and 1158:
Mille affections en N.S. pour vous
Page 1159 and 1160:
P.S. M. Chaverot viendra ici vendre
Page 1161 and 1162:
On a fait plusieurs copies du proc
Page 1163 and 1164:
tainement à Arras, soit au Sémina
Page 1165 and 1166:
Adieu, mon bien cher ami, embrassez
Page 1167 and 1168:
Je vous enverrai au plus tôt les 1
Page 1169 and 1170:
1151 à M. de Varax Envoi dʹun pro
Page 1171 and 1172:
Je ne crois pas quʹil y ait inconv
Page 1173 and 1174:
Généraux; réparez cela en leur d
Page 1175 and 1176:
des excursions pénibles; une bronc
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Je vous prie dʹavoir la bonté dʹ
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de charité que le Seigneur envoie
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vite que je lʹaurais voulu. Jʹai
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Adieu, bien cher ami, mille affecti
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cles qui sʹopposaient à son dépa
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petit Conseil de semaine me semble
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Il nʹest guère étonnant quʹen s
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marche quʹappuyé sur un bâton; j
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Notre frère Lemaire, qui nous donn
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cela, la victoire est certaine et,
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pendant que nous disions les prièr
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le fauteuil où on lʹavait assis.
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vous pourrez. Tous doivent prépare
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Adieu, mon bien cher ami, je mets i
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Vous règlerez aussi pour le plus g
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et comment pourrait‐elle se const
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puisse plus aisément sʹéloigner
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il y a grande chance quʹelle reço
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soins et en toute occasion pressant
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nʹait apparu au fond de votre cœu
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Plus tard, un des membres du Consei
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1219 à M. Maignen Plan dʹun dialo
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1222 à M. de Varax Démarches pour
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1224 à M. Risse Fragment de lettre
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Vaugirard, 11 août 1867 Bien cher
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1230 à M. de Varax Envoi inconditi
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Nous nʹavons rien de nouveau ici q
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ment de santé, avec les charges qu
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quart], nous vous donnerions M. Boi
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1241 à M. Caille Difficultés dans
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1243 à M. dʹArbois Propositions p
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pour le changement proposé, cʹest
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tre main. Essayez: cet enfant a bes
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Pour M. Kopp, il serait préférabl
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Je mets fin à ces détails, vous l
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Je crois que vos honoraires de mess
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Affections à tous; MM. Gauffriau,
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temps derniers, un peu souffrant et
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Vous avez reçu sans doute lʹavis
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La bénédiction de lʹœuvre devan
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ons services; mais ces MM. du Conse
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çonnât rien de ces quelques déli
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Il existe un excellent ouvrage du p
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Vaugirard, 3 mars 1868 Bien cher am
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sonnellement; non par insensibilit
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On a un peu réparé la chapelle de
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des agents dignes et dévoués à c
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dernière lettre de M. Maignen. Il
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tement de lʹArchevêché, etc. Il
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sence de M. Maignen qui arrivera de
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complissement dʹune œuvre qui peu
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M. Vrignault vous portera ces ligne
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6°‐ Maintenez lʹesprit de famil
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1302 à M. de Varax Démarche aupr
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1305 à M. Tourniquet Etablir la vi
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1307 à M. Girard Inconvénients de
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Veuillez agréer, Monseigneur, le p
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corder à notre jeune f. M. Boiry,
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Jʹespère que nous vous verrons qu
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Je nʹai pas, dʹailleurs, beaucoup
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1316 à M. Decaux Invitation à la
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ami et collaborateur de S t ‐Jean
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1321 à M. de Varax Pèlerinage à
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Le r.p. de Boylesve mʹa remis quel
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vous lʹavais pas demandé, dans la
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mʹaidera à pénétrer nettement q
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M. Paillé vous écrira; il a été
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ce que vous avez apporté de soins
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1333 à M. Maignen Au sujet dʹune
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Adieu, mon bien bon ami, je recomma
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Pour que lʹéloignement de M. Hube
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Adieu, mon cher enfant, ne néglige
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Jʹécris un mot à M. Bérard pour
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1348 à M. de Varax MLP. ne peut lu
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1351 à M. de Varax Mort du frère
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nos ff. ecclésiastiques ont dit pl
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ques manuels du soldat et vous les
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Je, ...... , renouvelle en présenc
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ard, après avoir assuré au malade
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nous lʹavons déjà, mais elle nʹ
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Les excursions vers les détachemen
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cile sous sa main, mon bien cher en
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pourrait demander à lʹun dʹeux l
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Nazareth, 5 janvier 1869 Bien chers
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Mitouard, homme de conscience, pieu
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Rome, car nous irons vers vous sans
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1373 à M. Maignen Que le frère Ma
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soutenez, elles tomberaient si elle
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1378 à M me la Marquise de Houdeto
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Ce prélat les accueillit avec bont
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Il me semblait nʹavoir remis à MM
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angements; mais ces jours‐ci, il
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Nous pensons à une combinaison de
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vous. Il nʹest pas bien fort physi
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soir ici, à Pise, et demain, avec
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Sacrée Congrégation; beaucoup de
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parfaitement entendu, sa voix est p
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choses les plus essentielles et avo
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vous et nos chers ff. dʹAngers ouv
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(Antoinette) elle néglige depuis p
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vre française serait le mieux, mai
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vres de charité, a eu beaucoup de
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Apôtres, le bonheur de voir, dʹen
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1409 à M. Maignen Léger désaccor
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nous au plus tôt de ses nouvelles.
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Nous allons ici comme de coutume; M
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M. Marcaire vient de mʹécrire une
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Tout à vous donc et à tous nos ff
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Caille et, en général, faites tou
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Je nʹajoute rien de précis sur le
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Remerciez M gr Bastide de lʹavis p
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Quantum autem, Reverendissime Domin
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Son arrivée a un peu devancé le m
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On me parlait dernièrement dʹun p
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Chaville, 26 juillet 1869 Mon bien
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fois, dans les vues et dans la posi
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Si, contre mon attente, vos bons co
Page 1411 and 1412:
Rien de nouveau ici; je nʹavance p
Page 1413 and 1414:
veux, je suppose que, vers la mi‐
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Je ne sais non plus comment ira M.
Page 1417 and 1418:
1450 à M. de Varax Une promenade
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1452 à M. Chaverot Comment remplac
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Demeurez donc ferme dans votre voca
Page 1423 and 1424:
Nos MM. qui vous connaissent vous o
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la Correspondance de Rome, nous tâ
Page 1427 and 1428:
Pour le remplacer chez vous, jʹai
Page 1429 and 1430:
1463 à M. de Varax Sur la retraite
Page 1431 and 1432:
1467 à M. Tourniquet Difficultés
Page 1433 and 1434:
1470 à M. dʹArbois Nécessité de
Page 1435 and 1436:
dʹécrire aujourdʹhui à M. Lanti
Page 1437 and 1438:
nous regarde et ne veut pas se mêl
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fraient? Sous ce dernier rapport, n
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1483 à M. dʹArbois Communion fré
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Votre appréciation sur le personne
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veau patronage des manufactures va
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dʹobéissance ôtera toute difficu
Page 1449 and 1450:
Je sais dʹavance quʹil trouvera e
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1492 à M. de Varax Vie des Œuvres
Page 1453 and 1454:
1494 à M. de Varax Difficultés de
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Manque va très bien; sa famille fa
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vous assistera dans vos travaux et
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nous la donne? pourrait‐elle êtr
Page 1461 and 1462:
Si vous nʹavez pas contremandé en
Page 1463 and 1464:
Vaugirard, 19 février 1870 Mon bie
Page 1465 and 1466:
Je rends grâces à Dieu du bon suc
Page 1467 and 1468:
convenaient bien mieux, quʹil sera
Page 1469 and 1470:
Je presse de mon mieux M. Charrin p
Page 1471 and 1472:
ʺQuand même, ô mon Dieu, vous me
Page 1473 and 1474:
Amitiés à nos ff. Je voulais écr
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faire plus posément; bornez‐vous
Page 1477 and 1478:
prévenus à temps et a demandé à
Page 1479 and 1480:
tit répit pour le départ de M. Co
Page 1481 and 1482:
Page 1483 and 1484:
nʹen reviendra point. Il a eu, ave
Page 1485 and 1486:
Jʹai demandé expressément à M.
Page 1487 and 1488:
Je déclare ici de la manière la p
Page 1489 and 1490:
Nous ne voyons pas bien quelle œuv
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surveillance durant votre absence.
Page 1493 and 1494:
Je nʹai rien de précis encore pou
Page 1495 and 1496:
P.S. Je crois quʹà Rome, un eccl
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Je pense, comme vous, quʹil est pr
Page 1499 and 1500:
Nos ff. vont bien en ensemble, sauf
Page 1501 and 1502:
où un supérieur est bien nécessa
Page 1503 and 1504:
1558 à M. Trousseau Congrès de Ve
Page 1505 and 1506:
Pour ce qui regarde la première, j
Page 1507 and 1508:
mette M. Faÿ à Amiens, M. de Vara
Page 1509 and 1510:
surtout, la connaissance du monde e
Page 1511 and 1512:
Le peuple de Rome à Saint-Pierre,
Page 1513 and 1514:
Dans la marge, réponse du Secréta
Page 1515 and 1516:
Adieu, cher et bon frère. Un Souve
Page 1517 and 1518:
le, à des expériences de mitraill
Page 1519 and 1520:
tiez. Quelques ff. du Saint‐Espri
Page 1521 and 1522:
1573‐1 à M gr Darboy Permission
Page 1523 and 1524:
dont le départ était exigé par l
Page 1525 and 1526:
cher la balance selon quʹIl lʹaur
Page 1527 and 1528:
Je ne goûte guère la pensée dʹe
Page 1529 and 1530:
1584 à M. Caille Après la capitul
Page 1531 and 1532:
avoir ravagé les environs de Paris
Page 1533 and 1534:
Je vous ai écrit relativement à l
Page 1535 and 1536:
Vaugirard, 23 septembre 1870 Mon bi
Page 1537 and 1538:
M. de Varax, poussé par un zèle l
Page 1539 and 1540:
eçue, vous pouvez compter que cet
Page 1541 and 1542:
1599 à M. Maignen M. Maignen avait
Page 1543 and 1544:
Votre dévoué ami et Père Le Prev
Page 1545 and 1546:
frez mes respects à M me de Villon
Page 1547 and 1548: nous concerne, malgré le déluge d
Page 1549 and 1550: 1606 à M. Trousseau Grand désir d
Page 1551 and 1552: tenues, avec des phases plus ou moi
Page 1553 and 1554: Répondez, sʹil vous plaît. Aujou
Page 1555 and 1556: Je pense, comme vous, quʹil serait
Page 1557 and 1558: M. Frézet pourra sans doute quitte
Page 1559 and 1560: ance de beaucoup de détails et cou
Page 1561 and 1562: 1616‐1 de M. de Varax à M. J. Fa
Page 1563 and 1564: Pour M. Vernay, sa santé souffre s
Page 1565 and 1566: Je termine ici, ayant tout dévelop
Page 1567 and 1568: M. Hubert peut arriver, on lʹatten
Page 1569 and 1570: 1623 à M. Chaverot M. Chaverot ne
Page 1571 and 1572: Je pense quʹon peut, en esprit de
Page 1573 and 1574: Le Noviciat est plus désiré que c
Page 1575 and 1576: Nous sommes, en ce moment, si dispe
Page 1577 and 1578: Germain à pied. Je suppose quʹil
Page 1579 and 1580: positive pour pouvoir fixer la plac
Page 1581 and 1582: Les journaux vous apprennent toutes
Page 1583 and 1584: penserez, sans doute, quʹil serait
Page 1585 and 1586: Chaville se restaure quelque peu; n
Page 1587 and 1588: jʹavais vu à Londres une position
Page 1589 and 1590: 7 juin 1871 Très Saint Père, Jean
Page 1591 and 1592: Répétez‐lui bien quʹil ne faut
Page 1593 and 1594: mon côté des recherches pour déc
Page 1595 and 1596: a, etc...ʺ expriment un sentiment
Page 1597: les dernières consolations de la r
Page 1601 and 1602: Je pense que vous ferez bien en pas
Page 1603 and 1604: maison, et spécialement sur le lie
Page 1605 and 1606: M. Chaverot recherchera de nouveau
Page 1607 and 1608: Comme vous le verrez par les lettre
Page 1609 and 1610: 1667 à M. de Varax Ultimes disposi
Page 1611 and 1612: secours et son appui pour notre pet
Page 1613 and 1614: 1673 à M. dʹArbois Des documents
Page 1615 and 1616: Je crois quʹil nʹest à propos d
Page 1617 and 1618: y trouve un grand repos dʹesprit e
Page 1619 and 1620: quelque importance et commode, sur
Page 1621 and 1622: 1680 à M. Paillé Dernière maladi
Page 1623 and 1624: en examen et paraissait lʹobjet d
Page 1625 and 1626: 1685 à M me la Marquise de Houdeto
Page 1627 and 1628: îtra indispensable. Le r.p. Pittar
Page 1629 and 1630: la joie de votre chère famille. L
Page 1631 and 1632: leur état de fortune leur permetta
Page 1633 and 1634: Ce nous sera une consolation de vou
Page 1635 and 1636: sollicitude pour tout ce qui vous t
Page 1637 and 1638: ner, tant bien que mal, près de M.
Page 1639 and 1640: tin, bienfaiteur généreux du pauv
Page 1641 and 1642: grande tâche et, à certains égar
Page 1643 and 1644: Qui nous donnera cette science des
Page 1645 and 1646: Lʹhomme, ancien f. de la Misérico
Page 1647 and 1648: part, et je venais hier dʹécrire
Page 1649 and 1650:
chère petite fille a fait à nos
Page 1651 and 1652:
site et le consulter sur la possibi
Page 1653 and 1654:
Je ne suis pas bien sûr quʹil y a
Page 1655 and 1656:
Vincent de Paul. Les années ont pa
Page 1657 and 1658:
[1872] Monsieur, Vous mʹavez fait
Page 1659 and 1660:
P. S. Pardon pour ces minimes déta
Page 1661 and 1662:
Veuillez agréer, Madame la Marquis
Page 1663 and 1664:
Vous verrez si vous nʹauriez pas d
Page 1665 and 1666:
ministration de la maison de Chavil
Page 1667 and 1668:
peuvent produire de bons fruits; no
Page 1669 and 1670:
Ce qui me donne à ce sujet quelque
Page 1671 and 1672:
1753 à M me et M lle Salva Toujour
Page 1673 and 1674:
quʹavant; espérons que quelques j
Page 1675 and 1676:
par le Prélat de France qui sʹest
Page 1677 and 1678:
promettre une guérison véritable;
Page 1679 and 1680:
Je crois quʹil vaut mieux quʹil p
Page 1681 and 1682:
nous marchons tous; bienheureux ceu
Page 1683 and 1684:
votre belle‐sœur, délivrée de
Page 1685 and 1686:
1767‐1 à M. Pavie Condoléances
Page 1687 and 1688:
Page 1689 and 1690:
dʹautres: H. Conscience, Bourdon.
Page 1691 and 1692:
Jʹai commencé cette lettre le 2 j
Page 1693 and 1694:
1776 de M. le Comte de Caulaincourt
Page 1695 and 1696:
Jʹirai demain pour 10h. 1/4 à Naz
Page 1697 and 1698:
lʹœuvre commencée par nous depui
Page 1699 and 1700:
dʹautres courses, ne puisse être
Page 1701 and 1702:
Si elle voulait oublier tout à fai
Page 1703 and 1704:
tion de célébrer jusquʹà prése
Page 1705 and 1706:
dame, que je prie avec vous, afin q
Page 1707 and 1708:
1798 à M me et M lle Salva Son ét
Page 1709 and 1710:
1802 à M me et M elle Salva Bullet
Page 1711 and 1712:
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Lettre de Jean-Léon Prevost – avec illustrations

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