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Graphique 1 - Toubkal

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En 1985, Ogra et Faden (3) définissent cinq catégories d’infections urinaires :• La bactériurie symptomatique ou infection urinaire aiguë noncompliquée correspondant cliniquement à une cystite ;• La bactériurie asymptomatique ;• L’infection urinaire haute ou infection aiguë des voies urinairescompliquée et correspondant à un abcès rénal, à une pyélonéphriteaigue ou à une infection survenant sur une anomalie des voies urinaires,un calcul ou une maladie générale ;• L’infection urinaire récidivante ;• L’infection urinaire persistante.En 1987, Burns et Coll. (6), au moment de la décision thérapeutique,introduisent les termes de compliquée et de non compliquée. Ils traitent enambulatoire les infections simples et hospitalisent les infections à risque, c'est-àdireles nourrissons de moins de 3 mois et la plupart des enfants ayant unesymptomatologie de pyélonéphrite ainsi que tous ceux qui ont un obstacle connu,fonctionnel ou mécanique sur les voies urinaires.En 1987, pour Stork (7), l’infection urinaire non compliquée ou simple estconfinée au bas appareil, c'est-à-dire à la vessie et à l’urètre. Puis il individualise lesinfections urinaires hautes ou pyélonéphrites, et les infections urinaires à risque surcalcul ou anomalie urologique. Mais dans l’arbre décisionnel thérapeutique, il negarde que les patients ayant une symptomatologie de cystite et traités parantibiotique orale et les malades ayant des signes de pyélonéphrite et traités parvoie parentérale.En 1989, dans les recommandations thérapeutiques de MC Craken, les termesd’infection urinaire simple ou à risque sont utilisés uniquement au moment de ladiscussion de la durée du traitement (6,7).56

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