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Document de référence 2010 - Affine

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96 affine document <strong>de</strong> référence <strong>2010</strong>20 - Informations financières concernant le patrimoine, la situation financière et les résultats <strong>de</strong> l’émetteur20.3 - États financiers - Présentation bancaire20.3.1. Comptes consolidés - Présentation bancaireActifs classés comme détenus en vue <strong>de</strong> la venteLorsque la cession d’une branche d’activité complète estenvisagée, elle doit être isolée sur une ligne spécifique. Lesactivités et les flux <strong>de</strong> trésorerie doivent être clairement distingués.jusqu’à leur échéance finale. Aucun encours n’a été i<strong>de</strong>ntifiécomme relevant <strong>de</strong> cette catégorie.Dépréciation d’actifs2020.3.1.7.1.8.5. Stocks et contrats <strong>de</strong> constructionStocksLes immeubles acquis, quelle que soit leur situation locative initiale,exclusivement en vue <strong>de</strong> leur revente, après redéveloppement ourepositionnement physique et / ou commerciale, dans le coursnormal <strong>de</strong> l’activité <strong>de</strong> Banimmo sont comptabilisés en stockconformément aux dispositions <strong>de</strong> l’IAS2.Les stocks et travaux en cours sont comptabilisés pour leurcoût d’acquisition ou <strong>de</strong> production. A chaque clôture, ils sontvalorisés au plus bas <strong>de</strong> leur coût <strong>de</strong> revient et <strong>de</strong> la valeur nette<strong>de</strong> réalisation. La valeur nette <strong>de</strong> réalisation représente le prix<strong>de</strong> vente estimé dans le cours normal <strong>de</strong> l’activité, diminué <strong>de</strong>scoûts attendus pour leur achèvement ou la réalisation <strong>de</strong> la vente.En pratique, une dépréciation est constatée lorsque la valeur <strong>de</strong>réalisation se révèle inférieure au coût historique.Les stocks sont principalement composés <strong>de</strong> terrains, <strong>de</strong> réservesfoncières et <strong>de</strong> coûts engagés sur la promotion immobilière.Contrats <strong>de</strong> construction et <strong>de</strong> Ventes en l’État Futurd'Achèvement (VEFA)Pour les activités <strong>de</strong> promotion, la marge et le chiffre d’affaires <strong>de</strong>sopérations immobilières sont reconnus dans les comptes d’<strong>Affine</strong>selon la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’avancement.Les coûts <strong>de</strong>s contrats <strong>de</strong> construction et <strong>de</strong> VEFA sont lescoûts <strong>de</strong> revient directement affectables au contrat ; les frais <strong>de</strong>commercialisation n’entrent pas dans la composition <strong>de</strong>s stocks,les coûts d’emprunts sont intégrés dans les stocks. Les honoraires<strong>de</strong> commercialisation et les frais <strong>de</strong> gestion sont enregistrés encharges.Lorsqu’il est probable que le total <strong>de</strong>s coûts du contrat serasupérieur au total <strong>de</strong>s produits, le groupe comptabilise une perteà terminaison en charges <strong>de</strong> pério<strong>de</strong>.Le résultat à terminaison s’entend <strong>de</strong> la marge prévisionnelleprévue au budget <strong>de</strong> l’opération.Le pourcentage d’avancement est déterminé en utilisant lamétho<strong>de</strong> qui mesure <strong>de</strong> la façon la plus fiable possible selon leurnature, les travaux ou services exécutés et acceptés. Les métho<strong>de</strong>sutilisées sont, soit le rapport entre le coût <strong>de</strong>s travaux et servicesexécutés à la date <strong>de</strong> clôture et le total prévisionnel <strong>de</strong>s coûtsd’exécution du contrat, soit le certificat d’avancement délivré parun professionnel.20.3.1.7.1.8.6. Créances douteusesQuel que soit le secteur d’activité, dès lors qu’une créance estéchue <strong>de</strong>puis plus <strong>de</strong> 6 mois à la clôture <strong>de</strong> l’exercice, elle esttransférée au compte «créances douteuses». Il en est <strong>de</strong> mêmelorsque la situation d’une contrepartie permet <strong>de</strong> conclure àl’existence d’un risque avéré (redressement judiciaire, difficultésfinancières graves…).Les encours figurent en « encours douteux compromis » lorsqu’ilssont <strong>de</strong>meurés classés en douteux un an au moins, ou en cas <strong>de</strong>déchéance du terme ou <strong>de</strong> résiliation d’un contrat <strong>de</strong> locationfinancement.Les encours restructurés à <strong>de</strong>s conditions hors marché sonti<strong>de</strong>ntifiés dans l’encours sain dans une sous-catégorie spécifiqueDépréciation <strong>de</strong>s actifs corporels et incorporels• Immeubles d’exploitation :Après la comptabilisation d’une perte <strong>de</strong> valeur d’un actifamortissable, la dotation aux amortissements doit être ajustéepour les exercices futurs, afin que la valeur comptable révisée <strong>de</strong>l’actif, moins sa valeur résiduelle, puisse être répartie sur sa duréed’utilité restant à courir. La valeur comptable d’un actif augmentéeà la suite <strong>de</strong> la reprise d’une perte <strong>de</strong> valeur ne doit pas êtresupérieure à la valeur comptable qui aurait été déterminée(nette <strong>de</strong>s amortissements) si aucune perte <strong>de</strong> valeur n’avait étécomptabilisée pour cet actif au cours d’exercices antérieurs.• Autres actifs corporels et incorporels :A chaque date <strong>de</strong> clôture, l’entreprise doit apprécier l’existencequelconque d’un indice montrant qu’un actif a pu perdre <strong>de</strong>la valeur. S’il existe un tel indice, il convient d’estimer la valeurrecouvrable <strong>de</strong> l’actif (test <strong>de</strong> dépréciation). Une perte <strong>de</strong> valeurest le montant <strong>de</strong> l’excé<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la valeur comptable d’un actif sursa valeur recouvrable. Celle-ci est égale à la valeur la plus élevéeentre la juste valeur nette <strong>de</strong>s coûts <strong>de</strong> sortie, et la valeur d’utilité.Toutes les pertes <strong>de</strong> valeur sont constatées en résultat ainsi queles reprises.Dépréciation <strong>de</strong>s contrats <strong>de</strong> location financementLes dépréciations <strong>de</strong> créances issues <strong>de</strong>s contrats <strong>de</strong> locationfinancement sont inscrites dans la rubrique « prêts et créances surla clientèle » (Cf. Note 3 du Bilan consolidé).Les contrats <strong>de</strong> location financement sont évalués en fonction <strong>de</strong>leur valeur <strong>de</strong> recouvrement. Lorsqu’un crédit preneur est jugéfragile (situation financière gravement compromise, apparitiond’impayés, redressement judiciaire), une perte <strong>de</strong> valeur estconstatée si la différence entre la valeur comptable <strong>de</strong> la créanceet la valeur actuelle <strong>de</strong>s flux <strong>de</strong> trésorerie futurs estimés actualisésau TIE d’origine <strong>de</strong> la créance est négative. Aucun contrat n’estconcerné à ce jour.Dépréciation <strong>de</strong>s stocksÀ la clôture <strong>de</strong> chaque exercice, le prix <strong>de</strong> revient prévuest comparé au prix <strong>de</strong> vente attendu, net <strong>de</strong> frais <strong>de</strong>commercialisation. Toute insuffisance <strong>de</strong> ce prix <strong>de</strong> vente parrapport au prix <strong>de</strong> revient fait l’objet d’une dépréciation pour lapartie correspondant aux travaux en cours (la perte correspondantaux travaux à venir est comptabilisée en provision pour charges).Dépréciation <strong>de</strong>s goodwillLes goodwill sont maintenus au bilan à leur coût. Une fois par an,ils font l’objet d’une revue régulière et <strong>de</strong> tests <strong>de</strong> dépréciation.À la date d’acquisition, chaque écart est affecté à une ou plusieursentités génératrices <strong>de</strong> trésorerie <strong>de</strong>vant retirer <strong>de</strong>s avantages <strong>de</strong>l’acquisition ; par conséquent, l’entité juridique équivaut à uneunité génératrice <strong>de</strong> trésorerie. Les dépréciations éventuelles <strong>de</strong>ces écarts sont déterminées par référence à la valeur recouvrable<strong>de</strong>s unités génératrices <strong>de</strong> trésoreries auxquels ils sont rattachés.La valeur recouvrable d’une unité génératrice <strong>de</strong> trésorerie estcalculée selon la métho<strong>de</strong> la plus appropriée.

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