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Les Ukrainiens se<br />
montrent performants<br />
dans le sumo moderne.<br />
Ici, les compatriotes<br />
Demid Karachenko et le<br />
futur vainqueur Sviatoslav<br />
Semykras s’affrontent<br />
lors de la finale hommes<br />
en poids légers.<br />
musculaire. Il a donc suivi un régime à base de sushis, de rāmen<br />
et du plat de base des lutteurs de sumo, le chankonabe, un<br />
ragoût assez sain et bourré de protéines (poulet, tofu, boulettes<br />
de viande ou poisson), ainsi que du riz gluant ou des nouilles, et<br />
des légumes (bok choy, champignons, daikon ou radis blanc et<br />
carottes), pour se forger un corps d’athlète. Officiant à présent<br />
dans la catégorie poids moyens, il a ajouté la course à pied à son<br />
hygiène de vie.<br />
Hier soir, les trois lutteurs de sumo ont profité d’un barbecue<br />
à l’hôtel. « Nous avons mangé entre 5 et 6 kg de viande », s’amuse<br />
Byambajav Ulambayar. Pour se bâtir le corps d’un lutteur de haut<br />
niveau, les homologues de Byambajav Ulambayar doivent<br />
enfourner des quantités astronomiques de ce ragoût chaque jour.<br />
Le dîner est plus léger et peut se composer de maquereau frit, de<br />
« Il est autorisé de gifler<br />
ou faire des balayettes.<br />
Pas de donner des coups<br />
ni de tirer les cheveux. »<br />
THE RED BULLETIN 75