(1992) n°3 - Royal Academy for Overseas Sciences
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[ô " à Forêt équatoriale (d’après le B.E.A.U.)<br />
_ Routes de liaisons habituelles<br />
— 452 —<br />
Fig. 3. — Villes et centres du Zaïre en <strong>1992</strong>.<br />
L. de SAINT MOULIN<br />
la croissance urbaine. Pour Tshikapa, Uvira et Ngandajika, ces taux ont<br />
cependant semblé trop élevés et on leur a préféré celui de 1970 à 1975. Pour<br />
les centres plus petits, l’in<strong>for</strong>mation rétrospective fait souvent défaut et on<br />
a dû se contenter d’estimations globales reprenant le taux de croissance<br />
naturelle du pays (3,1%) ou de la région dans laquelle ils se trouvent [7].<br />
Les divers taux utilisés sont indiqués dans le tableau 2.<br />
Les taux retenus pour estimer l’évolution de 1984 à <strong>1992</strong> sembleront faibles<br />
en de nombreux cas. Nous estimons effectivement qu’une série de centres<br />
ne réussissent pas à garder leur accroissement naturel et que l’exode qui<br />
alimente encore la croissance de certaines agglomérations provient de ces<br />
centres moins favorisés plutôt que des milieux ruraux. Par ailleurs, seules
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