FRANCK LOZAC'H MILLE POÈMES EN PROSE

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C'est un spleen C'est un spleen qui renferme toute la nostalgie d'une lueur sublime, une douloureuse faiblesse de coeur recueillie dans la solitude, morne solitude près du feu pétillant de la cheminée, où le seul ami est peut-être encore cette bouteille de vin rare et ce verre de cristal. Glacial amour, amour tendrement chéri, amour rêvé, amour volatilisé que la fantaisie de la femme reproduit inlassablement comme pour retenir son idéal, comme pour retenir le temps ! Et la dernière lueur du brasier s'est plu à mourir. Ce n'est plus qu'une lumière douceâtre qui baigne la chambre décorée de bibelots rares et de meubles fort anciens. Ce n'est plus qu'un désir impossible qui resplendit encore dans l'âme d'Agathe. Ce n'est plus qu'une douleur inconsolable qui vit dans le coeur d'Agathe. Enivrée par le nectar, elle s'endort entourée de somptueuses étoffes posées nonchalamment sur le divan superbe. 48
Parée de somptueux bijoux, l'oeil hagard et livide, soulevant d'une main nonchalante quantité de soierie déposée sur le divan, elle rêve des délicieuses soirées passées chez les De Busy. Et des images tenaces, toujours martelant son âme voyageuse s'amoncellent les unes contre les autres comme une pellicule de film inlassablement répétée. Et dans ses souvenirs voués déjà à l'ennui, elle multiplie les scènes, grossit les visages, et espère embrasser dans cet amoncellement de détails, l'instant unique et sublime que son esprit s'était juré de ne jamais oublier : le regard saisissant du jeune homme aux yeux foncés, tirant vers un marron extrême, - ce regard de feu exprimant toute la force et l'intrépidité de la jeunesse conquérante. Oui, malheureuse, presque envoûtée par ce sourire d'ange, par cette bouche suave, elle éternise son évasive rêverie sur le caporal blond. 49
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Et le suaire de la face dépeinte,
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Compagne. Des corps déchiquetés,
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Le beau langui Le beau langui sur d
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D'un hasard naît une chair D'un ha
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L'ondulation déterminée L'ondulat
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Ils justifient vos miracles Ils jus
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Tout t'est radieux Tout t'est radie
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Dans un calme plat Dans un calme pl
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J'ai grandi dans les murmures J'ai
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Quelle force encore me pousse à co
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Nul ne perdra les paroles Nul ne pe
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Un feu où se perdent les labyrinth
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Les bourrasques incendiaient Les bo
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Les grossesses disloquées Les gros
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Une morosité avare Une morosité a
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La bête invincible La bête invinc
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Qui use de son intelligence Qui use
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Décors Une hélice ancienne, sourc
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Je ne pouvais plus supporter Je ne
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Jeunesse De l'impossibilité ; le m
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Tu dois vivre, réponse inlassable
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Par-delà toutes ces marques Par-de
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Fraîcheurs spirituelles Fraîcheur
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Ta vorace solitude grossit dans les
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devenir heureux. Les formes et les
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s'enfuir dans son palais unique. Il
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explosent malgré eux sous les durc
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dilapidés dans les festins des bon
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Encore des haines mêlées Encore d
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Ainsi ai-je vu Ainsi ai-je vu de lo
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Tout t'est radieux Tout t'est radie
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l'automne. Je respecte le désespoi
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Tout t'est médiocre Tout t'est mé
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Carcérale tâche Carcérale tâche
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Le corps rectiligne Le corps rectil
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cauchemars. Tu devrais pleurer dava
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L'oracle flamboie L'oracle flamboie
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schisme sous les parois. Abdique à
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Le fruit qui a mûri savamment, pou
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C'était l'invention stérile C'ét
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attre en saccades rythmiques des fl
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serrée, soudain elles sont amortie
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Tu cherches à envahir Tu cherches
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Le chant médusé Le chant médusé
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Maintenant invitée pour les compla
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Les lignes médiévales Les lignes
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Dans le dégoût Dans le dégoût,
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L'idée fuyait L'idée fuyait sous
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Les cyclones se meurent Les cyclone
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Le mort séquestré Le mort séques
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Et mûrissent les stigmates, les la
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Opulence Opulence du gendre fier !
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Têtard à la bave vulgaire Têtard
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Écoute le coeur maudit Ecoute le c
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À l'aube des grands avenirs À l'a
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Théâtre d'enfance À l'endroit du
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Sans famille Sans famille, il est p
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À la limite À la limite, les faux
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Je n'en finirai pas Je n'en finirai
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Et pour te démontrer Et pour te d
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Ce n'est plus une idée simple Ce n
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l'écume par les naseaux, se cambre
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les pensées, les réactions se rej
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un mois, puis de chanter les rêves
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Dans les copies, je voulus du neuf.
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Dominer tous les membres, les glous
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Lèvres sonores Lèvres sonores ind
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Un champ visuel Un champ visuel lim
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Abominablement, des tombeaux, des c
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Monsieur Breste Les mutilations de
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Les lignes de pus Les lignes de pus
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Les touches exigeantes Les touches
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La transformation La transformation
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Les extravagances de l'esprit Les e
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À l'origine, un simple canevas À
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Repose-toi Repose-toi de tes effort
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On dit que les forces supérieures
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Les mœurs de l'esprit Les mœurs d
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La musique et les heures La musique
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Chaude tension Chaude tension. Rude
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L'homme a gardé ses secrets L'homm
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Sous les contours gracieux, les rac
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Les lettres mortes Les lettres mort
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Cependant que l'oubli Cependant que
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Un phallus de cristal Un phallus de
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Les fêtes multicolores Les fêtes
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Des lits de roses Des lits de roses
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Un été charmant Un été charmant
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Voici l'hiver venu Voici l'hiver ve
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Il y a les grandes villes Il y a le
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On embrasse le jeu avec des ballons
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Des enfants Des enfants écartelés
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Il y a Il y a la femme qui danse, q
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J'ai fauté avec la belle J'ai faut
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La chute La chute. Vers la source d
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Mais tous ces déchets sont des sym
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J'étais à la sortie de l'école J
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Tète ce sein Tète ce sein, fœtus
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Ô nuit stérile Ô nuit stérile,
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Halte-là ! Halte là ! Et tous der
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Quelle solennité enchanteresse Que
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Au loin des précipices Au loin des
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Voici ces quelques choses Voici ces
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La mort La mort aimant à me martyr
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voudrais m'approcher et la prier ce
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Moi, j'ignore toutes les ignominies
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Nuits grasses de sperme Nuits grass
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Nue. Elle était nue. Nue. Elle ét
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Toutes les erreurs et tous les nauf
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Vampe cette femme à la pensée rig
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La vague langueur La vague langueur
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Toujours la lune vespérale Toujour
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Il va s'éteindre Il va s'éteindre
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Pense à la beauté enchanteresse P
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Toutes les soifs Toutes les soifs.
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Non, ce paragraphe certes médiocre
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dans l'ombre jusqu'au jour où je s
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Les neiges et les chaînes des mont
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Je me suis révolté près d'une ba
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Les formes rondes sous la lumière
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J'ai regardé l'eau s'étirer comme
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Une beauté au comportement bizarre
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L'aube attaquait le soleil pâle L'
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À la dérobée À la dérobée, on
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Indubitablement Indubitablement, j'
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Étonné par mes tribulations Etonn
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J'ai besoin de ta poitrine J'ai bes
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Ce n'est pas de passion Ce n'est pa
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Ma jeunesse Ma jeunesse atteignit l
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Tu trembles Tu trembles sur tes pat
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La page indécente La page indécen
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Ventre à terre Ventre à terre, le
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Le silence Le silence se fit dans l
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J'ai bu toutes les bières, toutes
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Loin des derniers péchés Loin des
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Connais-tu la souffrance Connais-tu
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Longue la courroucée Longue la cou
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Paysan Paysan, arrache les orties,
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J'habite J'habite dans un très vie
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Le pont de Londres À Londres, alor
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Le Manuscrit inachevé Quel équili
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Je m'évangélise cyniquement Je m'
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J'ai dénoué les cheveux d'or J'ai
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Je me couche néanmoins Je me couch
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Des beautés ? Des beautés ? Rien
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je vais. Patience. J'Illumine les i
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Quelle cuisine insolite, pas même
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L'infusion dans les veines L'infusi
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La destruction des mondes La destru
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Cette feuille à noircir Cette feui
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La parole lisse La parole lisse, ef
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Le livre stupide. Le livre décrit
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Rêves, absurdités, mensonges ! in
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La montre plate La montre plate à
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J'ai voulu toucher son corps J'ai v
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Je suis la Félicité (I) Je suis l
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Je suis la Félicité (II) Je suis
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La fausse connaissance divine et un
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Nuremberg C'est dans la cité chois
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À présent À présent toutes tes
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Tous ces détritus Tous ces détrit
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Il disait Il disait : "Jamais tu n'
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Des traces indélébiles tacheront
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Abolie la peine Abolie la peine pou
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Illumine les impuretés Illumine le
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Je rêve Je rêve. Mais le rêveur
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Il aura fallu ce dimanche étrangem
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C'est avec netteté que je voyais C
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À ses pieds ! À ses pieds ! Et de
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Malgré l'épineuse chorégraphie M
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Les pas vers les accords autres Les
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La raison se forme La raison se for
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l'œil transparent inondent de cara
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Je ne lis plus Je ne lis plus. Depu
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Moi-même : je voudrais te faire av
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Purifier la langue Purifier la lang
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Sans force Sans force, un style bâ
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Les grincements de cette plume Les
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Cette feuille à noircir, c'est pou
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Du moins, ma pensée est claire Du
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Les morts Les morts s'expriment cla
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Nous maudissons à quatre Nous maud
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Je circulais Je circulais avec mes
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Toujours à détruire Toujours à d
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La crétine comédie La crétine co
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J'accomplis le dernier aveu J'accom
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La durée La durée, temple de la v
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Abolie la peine à les regarder. Ab
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L'inquiétante femme L'inquiétante
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Pourrais-je intervenir Pourrais-je
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Tout est question de partage, de co
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Le message Le message dans les gran
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Ô messager Ô messager, passe-moi
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Quand bien même, on me reconnaîtr
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L'acte de penser L'acte de penser d
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Entends les débris Entends les dé
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Des gueulards, des incapables, des
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Je ne vis que dans l'espoir Je ne v
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Nie le passé. Quel sera l'avenir,
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Il goûte à ces plaisirs grotesque
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On se dit écrivains ou docteurs. O
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La nuit en juillet La nuit en juill
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En fait, d'autres gens mouraient, i
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Hurlements, forces tumultueuses, ag
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Assez de l'analogie Assez de l'anal
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La réalité La réalité est-elle
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Mon esprit grandissait. Je me croya
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Un coup du sort Un coup du sort nou
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Est-ce mémorablement Est-ce mémor
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Engagement, découvertes Engagement
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À quoi bon les soupirs À quoi bon
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Un prêtre m'a écouté. Du fond de
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On fit des lois, ils furent empriso
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Ces humains ont-ils une âme ? Ces
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L'art d'aimer L'art d'aimer en des
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Les horreurs de mes yeux Les horreu
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La route La route poursuivait au-de
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Le Croît et la Portée Ô l'esprit
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Les mouvements imperturbables de la
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Un autre moi-même Un autre moi-mê
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Les baisers Les baisers dans un lie
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A peine éclos, la coque se brise A
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Les dimensions Les dimensions ont t
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J'allais dans la honte J'allais dan
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Rêve de paysan À présent je suis
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- Paysan, travaille, ne pense qu'à
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II Ma barbe a poussé toute cette n
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Additionnel d'incohérences Tout le
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C'est la bagarre des rues C'est la
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Il y eut une course avec des cavali
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Les lentes processions Les lentes p
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Une lumière torve Une lumière tor
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Aujourd'hui le voilà armé, et ces
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embrasse délicatement les souffran
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Le philosophe Après tant de triste
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Malgré l'heure tardive Malgré l'h
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Ô vaisseaux, Ô sirènes, Quelle
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poètes. Souffrez peut-être, maudi
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J'ai vu l'enfant honteux se reflét
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Quand ton ventre aguerri Quand ton
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Délices Peut-être que ce vase ser
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Narcisse Narcisse, vois mourir ce p
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Et il tente mon espérance avec des
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Printemps et légèretés Printemps
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Comment contenir ces haines Comment
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À mot couvert L'horloge intraitabl
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Impuissance Ce qu'on appelle fantai
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Métapoétique Quiconque place l'in
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Étaient-ce des fantasmes Etaient-c
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Parfois des rires pétillent Parfoi
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Je donne mes rossignols Je donne me
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Passez-moi la flamme ! Méthode d'i
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coulent des larmes. L'enfant est as
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L'incendie L'incendie secoua la vil
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L'orage L'orage n'admet pas les lé
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délivrance, les yeux rouges de san
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Aile de cuivre Aile de cuivre et mi
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Ma mémoire Ma mémoire m'a joué d
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Je me défends Je me défends de po
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Fantaisie L'ombre bénévole traça
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Est-ce ce ventre Est-ce ce ventre q
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La femme est le fruit de ma jouissa
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Ce sexe blond m'appartient déjà.
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C'est la grande joie pour les espri
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L'ingénue Au secours ! Au secours
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L'homme riait, satisfait de lui-mê
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Mon visage est-il gracieux ? Mon co
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Il y avait un Jean Baptiste peiné.
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J'avais gagné la première manche.
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Collages Jadis le bruissement des s
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Des vagins de reines Des vagins de
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Les nuées Les nuées d'invraisembl
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Ma main lassée Ma main lassée des
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Des mouchoirs agités Des mouchoirs
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Que les pépites d'argile brillent
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Un désir de changer coup. Un dési
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Un jour, je fus assis Un jour, je f
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A l'instant de ma puissance A l'ins
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non. Entre les cuisses, la fureur d
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Je rêve de l'amour tranquille que
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Dis mon coeur Dis mon coeur, mon pa
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Je n'avais pas vingt ans Je n'avais
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Les voleurs de feu Les voleurs de f
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Je vais secouer toutes ces vieiller
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Je retourne à la faute. Les rieuse
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déchirer un chef-d'œuvre. On me t
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Dans le coin gauche, le spectre de
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Le contrat sonne creux dans mon ven
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Hoquets, agonies, toux, râles, Et
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A en croire ton esprit, ta sève co
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Je me suis perdu dans mes naufrages
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Que cette âme est mal faite ! Que
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Sublimons Sublimons des substances
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Tu en es encore à résister Tu en
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J'engouffre des scènes lubriques J
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Ma faiblesse d'apercevoir... Si rid
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Fini, la princesse Fini, la princes
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L'aurore disparaît L'aurore dispar
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Sois câline, toute câline Sois c
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Je sens la mort Je sens la mort mys
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Relaxe-toi tout doucement. Relaxe-t
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Des nymphes glissent Des nymphes gl
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750
Page 752 and 753:
Analogies Des hérons au long cou,
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Les sirènes Les sirènes dans la b
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Les fossiles Les fossiles roulent d
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Les Hommes de Science Les Hommes de
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Les Pygmées, les esclaves, les bas
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La visqueuse anémone La visqueuse
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Une grande capacité Une grande cap
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Qu'elle sorte ! Qu'elle se place da
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La morale La morale est atteinte à
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tes supplications ! Cesse d'implore
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La nuit est dans mon âme La nuit e
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Ce n'est plus qu'une phrase Ce n'es
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J'ai rendu toutes les affres J'ai r
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ma direction. Les mains s'accrochen
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Je tue la bête. Elle flambe dans m
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La mer étagée en cascades gigante
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Des larmes de sang Des larmes de sa
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J'échappe à l'invisible une fract
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Je calculerai le sort, la raison du
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Tandis que j'avais les mains liées
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Après avoir passé dix bonnes minu
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Je veux tout te donner Je veux tout
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Couchée, évasive et nue Couchée,
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Le vampire Ses dents arrachent mon
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Par la fenêtre échappée Par la f
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Qui peut me dire ? Qui peut me dire
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J'ai connu, c'était hier J'ai conn
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L'enfant s'est couché nu sur les b
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Hypnoses Hypnoses de tout mon être
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Je m'occupe à divaguer dans mes fo
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Je raconterai Je raconterai mes exp
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Assis sur la Grande Ourse Assis sur
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Je dois avoir l'air d'un fou. Sans
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leurs bouches se taisent. Et chacun
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peut se nourrir de vérités. Je pr
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Confession II "Escalade des nervure
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Faut-il noter ces textes affreux Fa
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Cette poésie qui court Cette poés
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Mon âme encombrée de vapeurs Mon
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Écœurante nuit Écœurante nuit d
Page 832 and 833:
Constituant néanmoins Constituant
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On m'engage à me taire On m'engage
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A la dernière décharge A la derni
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Le coeur sanglant Chaque fois que m
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Les boissons Les boissons. Que d'iv
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Le lac transparent Sur un lac trans
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Quelle manne de volupté ! Quelle m
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Je flatte Je flatte de ma main ton
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L'union sacrée Un dommage rempli d
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Je serrerai la terre Je serrerai la
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A mille églises ternies A mille é
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Le monde bouge Le monde bouge - je
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Enfin je m'étire, et je retrouve e
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Les dieux de l'Irréel Les dieux de
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Une sorte de barbare Une sorte de b
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Je m'endormis Je m'endormis peu apr
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La cathédrale La cathédrale plant
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A la fenêtre J'élargis la fenêtr
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L'Empire L'Empire naît d'une multi
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De ma fausse mort plus terrible. De
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Des rires incertains Des rires ince
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Mort de quatorze La guerre des nerf
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Raisonnements dans sa course ! Onde
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Fi de ton espace Fi de ton espace,
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Mélodie (Incohérences de l'âme)
Page 882 and 883:
A moi l'ordre A moi l'ordre et le c
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C'est la fatigue des grands appuis
Page 886 and 887:
Va femme, va esprit sordide t'accou
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je te crains ! Comme je te crains F
Page 890 and 891:
O le sauveur qui s'est battu contre
Page 892 and 893:
Au-dessus des mornes étés Au-dess
Page 894 and 895:
Dieu Dieu qui a fait toutes choses
Page 896 and 897:
A moi les écrits divins A moi les
Page 898 and 899:
Passe-moi le flambeau Passe-moi le
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Hommes de peu d'intelligence Hommes
Page 902 and 903:
Cette vie tranquille Cette vie tran
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Les méandres, les vicissitudes d'u
Page 906 and 907:
L'incertitude L'incertitude grandit
Page 908 and 909:
Comme il sera doux Comme il sera do
Page 910 and 911:
Messie Son âme ne sera pas faite d
Page 912 and 913:
Silence ! Silence ! Silence ! Silen
Page 914 and 915:
Mémoires des pénombres Mémoires
Page 916 and 917:
Baladin Baladin agrippé à ta rout
Page 918 and 919:
L'homme de ton ombre L'homme de ton
Page 920 and 921:
de ces cœurs faibles sans espoir ?
Page 922 and 923:
La belle amante Elle a un sexe blon
Page 924 and 925:
Interprétation Toit grêle, moi-m
Page 926 and 927:
Comme ses petits orteils que l'on c
Page 928 and 929:
Le fantôme Le fantôme par sa subs
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Destinée Avoué que je n'ai pas é
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Rêve Ici je me trouve néanmoins d
Page 934 and 935:
Activité sexuelle Je t'offre le sa
Page 936 and 937:
La belle chandelle La belle chandel
Page 938 and 939:
Conseils J'aime les pinceaux dans c
Page 940 and 941:
Vomissements Dégueulons sur nos r
Page 942 and 943:
Automne Je revois les étés alangu
Page 944 and 945:
C'était un Verlaine plein de rêve
Page 946 and 947:
Sépulture Respect silencieux, humi
Page 948 and 949:
La crise de rire La crise de rire a
Page 950 and 951:
Ondes florentines Ondes florentines
Page 952 and 953:
Regagner la ville Ha ! Que tous les
Page 954 and 955:
Cosmopolite La matière cosmopolite
Page 956 and 957:
Le barbare Les Interdits I Une sort
Page 958 and 959:
III La gargouille, le palais largem
Page 960 and 961:
La sorcière Je réveille le sang c
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Interrogation poétique Le risque d
Page 964 and 965:
Conte barbare Le pouvoir était de
Page 966 and 967:
visage. Il était disposé nu au fo
Page 968 and 969:
Impuissance Pour les dernières con
Page 970 and 971:
Mes femmes. Leurs vastes fesses con
Page 972 and 973:
Éloigné de la famille, de la femm
Page 974 and 975:
Hymne O la très tendre, la très b
Page 976 and 977:
Le comte de Gonzac Historiette - Ma
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eurent désiré sucer. Cette chair
Page 980 and 981:
moitié cachée. Nu je me couche su
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Poïétique Quant au Livre... Objet
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arbares. Certains crissements enten
Page 986 and 987:
L'écrivain, refuse L'écrivain, re
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Autrement que par Autrement que par
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Appelons Triomphe refusé. Appelons
Page 992 and 993:
De la façon délicate dont l'amate
Page 994 and 995:
L'Analogie L'Analogie est l'épouse
Page 996 and 997:
Le prince et le millionnaire. Qui h
Page 998 and 999:
Si, l'éveil des trompettes Si, l'
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La mémoire réalise La mémoire r
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l'âme épuisée. Frissons des hive
Page 1004 and 1005:
Certes, je donnerais déjà le mot
Page 1006 and 1007:
Solitaire - éternellement. La femm
Page 1008 and 1009:
A côté de son ombre A côté de s
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Un sentiment de comédie. Au jeu mo
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*** L'authenticité du silence. Pui
Page 1014 and 1015:
Ici, c'est de moi qu'il faut parler
Page 1016 and 1017:
Ombres bleues Prélude Jouissant de
Page 1018 and 1019:
Les sublimations oniriques Les subl
Page 1020 and 1021:
Son génie étant inaccessible Son
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Je t'apprendrai Je t'apprendrai l'e
Page 1024 and 1025:
que m'importe ! Il n'y a plus de Ra
Page 1026 and 1027:
Pluies monstrueuses Pluies monstrue
Page 1028 and 1029:
Tant qu'il y aura des étoiles Tant
Page 1030 and 1031:
L'ombre poussait L'ombre poussait c
Page 1032 and 1033:
J'ai vécu J'ai vécu, réveillant
Page 1034 and 1035:
Les archaïques mystères Les archa
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Ils ont ri Ils ont ri de ma souffra
Page 1038 and 1039:
Ho ! Les toisons jaunes ou noires d
Page 1040 and 1041:
Cervelle étrangement maligne qui c
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* L'heure était fatiguée, bailla
Page 1044 and 1045:
Je courais à toute escapade, à to
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la porte étroite, à rentrer par-d
Page 1048 and 1049:
Ils sont torturés Ils sont tortur
Page 1050 and 1051:
La folie est saine La folie est sai
Page 1052 and 1053:
Appelle la mort Appelle la mort, to
Page 1054 and 1055:
À noircir le poème À noircir le
Page 1056 and 1057:
Tu es femme Tu es femme avec tes pl
Page 1058 and 1059:
Qu'ils sachent Qu'ils sachent mes h
Page 1060 and 1061:
Une nuit, j'ai parlé au Mal Une nu
Page 1062 and 1063:
Il te faut hurler Il te faut hurler
Page 1064 and 1065:
Il y a la torture Il y a la torture
Page 1066 and 1067:
Suffis-toi de toi-même Suffis-toi
Page 1068 and 1069:
Il pleure ses larmes de sang savant
Page 1070 and 1071:
Poussière de sel Poussière de sel
Page 1072 and 1073:
- Aurore ! Aurore ! Répétait-il ?
Page 1074 and 1075:
Tout se mêle dans mon crâne. Des
Page 1076 and 1077:
haussé la voix, juré du contraire
Page 1078 and 1079:
L’araignée royale L’araignée
Page 1080 and 1081:
Partir vers des futurs Partir vers
Page 1082 and 1083:
La sublime puissance La sublime pui
Page 1084 and 1085:
Dans les temps meilleurs Mais dans
Page 1086 and 1087:
Et toutes ces salopes scabreuses -
Page 1088 and 1089:
Le bien, le mal Des saints, des fou
Page 1090 and 1091:
Valeur du poème Ce que vaut le po
Page 1092 and 1093:
Donné aux esprits de l’air, soum
Page 1094 and 1095:
Délaissés par la folie perverse D
Page 1096 and 1097:
Je constate avec résignation Je co
Page 1098 and 1099:
J’aime voyager J’aime voyager e
Page 1100 and 1101:
Ciel au soir poussif Ciel au soir p
Page 1102 and 1103:
Maintenant que la mort Maintenant q
Page 1104 and 1105:
mais tout cela est inutile - je che
Page 1106 and 1107:
De quoi te plains-tu ? Dans ta soli
Page 1108 and 1109:
Dans les ténèbres de mon Verbe Da
Page 1110 and 1111:
L’idéal, le convoite blondissant
Page 1112 and 1113:
L’été de notre vie L’été de
Page 1114 and 1115:
Fille frêle Fille frêle, je t’e
Page 1116 and 1117:
afouant tout diktat, se plaisant de
Page 1118 and 1119:
Eaux d’émeraude verte qui s’ex
Page 1120 and 1121:
Vapeur d’incertitude, multiple et
Page 1122 and 1123:
Je fais souffrir Je fais souffrir l
Page 1124 and 1125:
Conscience du critique Ce qui est
Page 1126 and 1127:
défi de la décadence poétique da
Page 1128 and 1129:
Apprends à tenir Apprends à tenir
Page 1130 and 1131:
Je suis le chemin étranger Je suis
Page 1132 and 1133:
Éloge Si René Char m’aidait. Me
Page 1134 and 1135:
Les poètes Nous ne serons que ces
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Les caresses de mes mains pour les
Page 1138 and 1139:
Fallait-il s’en référer à vos
Page 1140 and 1141:
Le mécanisme de la combinaison me
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O les nouveaux exploits de celui qu
Page 1144 and 1145:
lyre pour produire des coups, des c
Page 1146 and 1147:
Chacune des lettres qui compose ton
Page 1148 and 1149:
La cervelle, lourde de pensées par
Page 1150 and 1151:
O toi qui plonges I O toi qui plong
Page 1152 and 1153:
gémissement de ta faiblesse ? M’
Page 1154 and 1155:
Toute perception plus douce à cont
Page 1156 and 1157:
C’est elle qui sommeille sous la
Page 1158 and 1159:
Repose enfin, mon coeur agressé. T
Page 1160 and 1161:
Qui donc en Toi toujours s’éclai
Page 1162 and 1163:
Toi, mon Dieu cruel, veuille par ta
Page 1164 and 1165:
Maintenant, c’est à vous grands
Page 1166 and 1167:
Voici. Elle se déplace. Est-il mot
Page 1168 and 1169:
O mes sublimes donateurs, je vous r
Page 1170 and 1171:
Se lève la violence avec picotemen
Page 1172 and 1173:
pensées ? Que me faut-il extraire
Page 1174 and 1175:
Je prétends le Verbe Je prétends
Page 1176 and 1177:
Ce n’est pas d’une mémoire don
Page 1178 and 1179:
Ha ! Souffle pour un nouveau langag
Page 1180 and 1181:
Oui, pur moment pour toi, Fils resp
Page 1182 and 1183:
Ridicule étoile, chemine, indique-
Page 1184 and 1185:
Parlons de Parque, ou de l’épous
Page 1186 and 1187:
Oui, ce Dieu. VII C’est demain. P
Page 1188 and 1189:
de nos passions ! Flammes immortell
Page 1190 and 1191:
Que n’ai-je subi de profondes tur
Page 1192 and 1193:
Est-il songe où resplendit la foli
Page 1194 and 1195:
venez plus près de moi, grands die
Page 1196 and 1197:
Si tel est soupir d’espérer form
Page 1198 and 1199:
A l’horizon poétique A l’horiz
Page 1200 and 1201:
Sublimation nocturne Sublimation no
Page 1202 and 1203:
L’outrage Comment ne pas se souve
Page 1204 and 1205:
Mes yeux chancelaient, le désordre
Page 1206 and 1207:
Que dis-tu ? Cela est peu me conna
Page 1208 and 1209:
Mais est-ce là l’honneur que j
Page 1210 and 1211:
Je ne fais que répéter Je ne fais
Page 1212 and 1213:
1212
Page 1214 and 1215:
qui perpétue les faiblesses d’hi
Page 1216 and 1217:
La femme à la faux Au plus profond
Page 1218 and 1219:
Honte de nature d’homme Honte de
Page 1220 and 1221:
Combien d’intelligences Combien d
Page 1222 and 1223:
La beauté déteste La beauté dét
Page 1224 and 1225:
La jeune pensée Ô fille légère
Page 1226 and 1227:
La nymphe Là-bas dans la touffe de
Page 1228 and 1229:
Purs effets On peut voir des sites
Page 1230 and 1231:
Au réveil, je spécule Je m’éve
Page 1232 and 1233:
Le sommeil Au plus profond de Moi e
Page 1234 and 1235:
nous éloigne tandis que je suis in
Page 1236 and 1237:
auteurs nouveaux, des Gallimard et
Page 1238 and 1239:
Souffles nouveaux II Divinités pro
Page 1240 and 1241:
Ce n’est point la foudre, l’ill
Page 1242 and 1243:
Forces qui inspirent Et que sont-ce
Page 1244 and 1245:
Le Poète et le Prophète - Ton ave
Page 1246 and 1247:
mécanique inutile du relationnel,
Page 1248 and 1249:
Conseil Ne te satisfais jamais de c
Page 1250 and 1251:
À qui va ressembler le témoin nob
Page 1252 and 1253:
Soi et autrui Inventifs, en disgrâ
Page 1254 and 1255:
Soleil de moi-même Soleil de moi-m
Page 1256 and 1257:
souvenir et jeunesse oubliée, alor
Page 1258 and 1259:
songe que j’arrache avec mes dent
Page 1260 and 1261:
Quand nous sommes jeunes Quand nous
Page 1262 and 1263:
Hymne à la mort Oui, vivre là-bas
Page 1264 and 1265:
Demande et conscience - Je n’ai p
Page 1266 and 1267:
Aphrodite Cependant la beauté depu
Page 1268 and 1269:
Elle parla ainsi, et soumise à des
Page 1270 and 1271:
infiniment bon, le jour est enfin v
Page 1272 and 1273:
Une immense tempête se déchaîne.
Page 1274 and 1275:
Des jets sporadiques de laves sembl
Page 1276 and 1277:
produits illisibles demandant effor
Page 1278 and 1279:
Conscience, encore Au-delà de la f
Page 1280 and 1281:
Analyse L’on doit s’accepter av
Page 1282 and 1283:
Où se meurt la lessive ? Où se me
Page 1284 and 1285:
Mon or se meurt Mon or se meurt dan
Page 1286 and 1287:
Les statues Les statues en extase i
Page 1288 and 1289:
Rien Rien que la petitesse de ma ra
Page 1290 and 1291:
Et cette merveille architecture int
Page 1292 and 1293:
Veux-tu écrire ? Veux-tu écrire ?
Page 1294 and 1295:
Parvenait-il réellement à tirer d
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Vous semblez jouer du tambour ou de
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C'est l'angoisse du poème C'est l'
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Voici voltiger l'oiseau Voici volti
Page 1302 and 1303:
Labyrinthe J'étais dans une de ces
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Quand tu m'imposes à chanter Quand
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Je m'endormis Je m'endormis et dél
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Ils ignoraient le chemin Ils ignora
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Tu m'as placé Tu m'as placé dans
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Que je devienne une conscience, o l
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Ordonne Ordonne, et je produirai to
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Que puis-je espérer Que puis-je es
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En moi En moi cette capacité qui n
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Liberté Elle n'est pas venue. Elle
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Es-tu ma chair ? Es-tu ma chair ? M
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Ta production Ta production n'a pas
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Rempli d'espoir et d'anxiété, je
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Elle m'enchaîne à la mort Elle m'
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La nuit s'écoulait La nuit s'écou
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Il n'y a pas d'attente Il n'y a pas
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Écrasé sur mon lit Ecrasé sur mo
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En toi est la clarté En toi est la
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La pensée intérieure La pensée i
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Je crois entendre des cris là-bas
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Parfois je ressens Parfois je resse
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Je vis la Mort Je vis la Mort vicie
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Expliquez-moi ces sinistres visions
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Dans ton lieu interdit, tu décides
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produit les premiers mots, on pours
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Que me faut-il donc écrire Que me
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Seule, la science peut instruire l'
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Ô la verte pensée Ô la verte pen
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Tourbillons Dans l'aurore constell
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Ta lèvre se tord, supplie. Tu couv
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J'offre une bouche ovale pour en ex
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Elle circule à présent dans les m
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Puis sonal, sonnerie en quelque lie
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Démonia I Elle plisse les yeux. El
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Douleurs Je ne le pourrai pas ! Que
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Mots extraits Mots extraits, tirés
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de faire autre chose, de cesser de
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Beauté, je te propose le poème Be
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Parler avec soi-même Par la fente
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L'homme supplie L'homme supplie ine
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Grands esprits I Et vous, grands es
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"Triste amertume ! Triste amertume
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Oui, moi, soumise à ta puissance d
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Paroles certifiées Paroles certifi
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Les poétesses sont venues Les poé
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Le veilleur Je suis seul et n'ai nu
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Les femmes aussi sont venues I Les
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Pour quel maître de pensée, pour
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Veux-tu te taire ! Tu t'en retourne
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Les messages sont des lettres. Elle
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Oui, encore me voilà nue, offrant
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La Cité intérieure Environné d'e
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Chaque lettre s'associe, se confond
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Inspiration A peine éveillé, enco
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Sphère de mots Tu évolues dans un
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Quelle suffisance ? Qu'est-ce qui m
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Confessions Si tu implores, l'au-de
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Liberté de douleurs Clé de chambr
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Encore La puanteur décide, la puan
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Méfie-toi Méfie-toi. Ta suffisanc
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La violence C'était hier. La viole
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Grande pensée Grande pensée, me v
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Couloirs, couloirs Couloirs, couloi
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Qui croirait ? Qui accepterait de c
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Alerte Toute lumière avec toute ce
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Le marcheur solitaire Je n'étais c
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Enfuis-toi Enfuis-toi au plus loin,
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Acte d'écriture Je prends ici la p
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Les images Elles bondissent, Masse
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La pensée hallucinée I Le poète
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Grande pensée Grande pensée, nous
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Messages III Grand esprit, me voici
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L’insomnie L’insomnie de la nui
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Elle pense, elle espère Elle pense
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La pensée explose. Le souffle d’
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l’intelligence et se met au servi
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Alors je me suis vu grandir, bondir
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Constat Restons encore ici, enferm
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Le jour se pense Le jour se pense d
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Je m’étais purifié Je m’étai
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L’Oubliée Vous qui m’avez conn
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Elle et moi Elle et moi pensons là
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Le poète I Le poète échoue pour
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L’été de notre vie L’été de
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Analyse L’inspiration a certainem
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La mort te cloue La mort te cloue a
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Messages IV Le peintre Le soleil do
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J’écris J’écris sur un bureau
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L’oiseau transparent Pensée sere
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II Le langage et le silence sont fr
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D’autres éléments défilent. Je
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Le doute Je saute d’une pensée
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Éblouissements de nuit Éblouissem
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leur catafalque de gloire. Ma riche
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Je produis pour moi, pour le Ciel.
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Il n’y a pas d’issue Je suis ac
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Ici se meurt Ici se meurt un monde
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Fragment de ciel I Ce fragment de c
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IV Une nouvelle vague auréolée de
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Messages V La femme insecte Je sort
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Cette délicate caresse dura pendan
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Je devrais être Moi, une Parole pa
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abondante. Il n’y a nulle résist
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I C’était une faible possibilit
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I Chercher à communiquer avec sa p
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superbes littéraires. Je voulais t
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On raye donc la notion de “ meill
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Nul ne fut plus hanté Nul ne fut p
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Au poète Il y a donc de longs jour
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J’ai espéré J’ai espéré, co
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Lui s’éloigne Lui s’éloigne d
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III Grand esprit, vous regrettez...
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Nous invoquons dans nos prières. N
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Le temps est sur sa droite, il va
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1530
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Le Vouloir était fort et fécond p
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Le poison Je sais bien que tout cel
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Après une longue errance Après un
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Ici, là I Ici là quelque chose do
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Mes mains purifiées bénir ? Mes m
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I Ainsi dans ce sublime minuit, él
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Des variables de sonorités semblai
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Ainsi exclu dans ma chair, voici le
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Tu y trouveras peut-être d’éton
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Je n’attends pas, j’exécute av
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Quelle aube ? Quelle connaissance ?
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Les lames, les pieux, les aiguilles
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Je rampe sur ta tige, t’idéalise
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Cette richesse inconnue d’autrui,
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3 Je veux donner aux structures que
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Il espère être Il espère être.
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Poèmes répudiés Ô poèmes répu
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ayonnements, éclats, poèmes etc..
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3 Ta verticale est lumineuse, je pa
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Les nuits propices Les nuits étaie
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Comment obtenir ? La fuite dans le
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Litanie Résonances III Ô purifié
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En feu ! En feu ! Elle doit être e
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Les amants Maintenant il me faut ex
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Je suis comme un soleil qui te supp
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Te lire dans la glace Contre la pui
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Volonté du progrès Rien, seulemen
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Suite La douleur me pénètre, je p
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D’après J.P. Sartre Une idée fo
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Le but Et quelle potentialité dans
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Sentiment de nullité Plus faible e
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Résonances IV 1 Au-delà de cette
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1 Un axe plus loin désemparé ains
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Qu’importe : je le sais, moi ! Pi
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Moi ? Vais-je tolérer ce mélange
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La route est certainement mensongè
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C’est une sorte de fait mental -
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3 Ainsi croyais percevoir des véri
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Chaude rousseur Ô chaude rousseur
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H Pour Hélène ...... sur des lacs
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Mégalomane Saint en prière, géni
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Pitoyable génie ! I Pitoyable gén
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Il ne se haïssait pas mais espéra
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Que faisait le Ciel ? Pourquoi lais
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Par aimantation Tu travailles donc
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Analyse Je n’ai guère le souci o
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Le néant du solitaire Ô les énor
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La finalité C’est encore ta méd
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La condamnation Qui se prétend sup
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Je veux accumuler, produire, tirer
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* C’est le luxe, la quiétude, le
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épètent constamment les éditeurs
Page 1636 and 1637:
- c’est ça : imagine hors du tra
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VI Pur désir impossible azur sexue
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À moi Traumatisé dans ton estime.
Page 1642 and 1643:
II La parole écrite prouve la dist
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VI Être c’est prétendre vivre
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En vérité, je lis Lois créatrice
Page 1648 and 1649:
I Production et inspiration, c’es
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Je cherche le mieux, le autrement,
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Suites / Relances II I Le mot inlas
Page 1654 and 1655:
Paysage d'en face L'air arrache de
Page 1656 and 1657:
I Au zénith, la nuit obscure dans
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Moi, je gratte près de mes démons
Page 1660 and 1661:
Suites / Relances III Piqué-avanç
Page 1662 and 1663:
toujours plus changeante Toi, toi c
Page 1664 and 1665:
Suites / Relances IV Tu changes Par
Page 1666 and 1667:
Saint Octobre Saint Octobre dépla
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Suites / Relances V Reviens dans l'
Page 1670 and 1671:
Pensées sculptées/ Surgissements
Page 1672 and 1673:
ombreuse et vide. Qui sait ? Déchi
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Dans la variabilité de la nuit le
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espérait encore. Malgré les preuv
Page 1678 and 1679:
Pour quelle possibilité en soi, ho
Page 1680 and 1681:
Souffles nouveaux I et II Messages
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FRANCK LOZAC'H MILLE POÈMES EN PROSE

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