13.07.2015 Views

Manuscrit_these_Mathieu _Cladiere_VF - LEESU

Manuscrit_these_Mathieu _Cladiere_VF - LEESU

Manuscrit_these_Mathieu _Cladiere_VF - LEESU

SHOW MORE
SHOW LESS
  • No tags were found...

Create successful ePaper yourself

Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.

Sources, transfert et devenir des alkylphénols et du bisphénol A dans le bassin amont de la Seine (Île-de-France)fortes). Cette forte divergence des constantes de biodégradation peut être attribuée desdifférences des conditions physico-chimiques de la Seine entre les deux campagnes. Alorsque la campagne de juillet a été réalisée à la fin d’un bloom algal, la concentration enchlorophylle A durant la campagne de septembre a révélé que la Seine était en régimebiogéochimique « normal ».Lak (j -1 )0,250,20,150,10,0504-NPk (j -1 )0,20,150,10,050NP 1 ECk (j -1 )0,350,30,250,20,150,10,050NP 1 EOSept.Jonkers Jonkers Staples1999 2000 2001Sept.Jonkers Jonkers Staples1999 2000 2001Sept.Jonkers Jonkers Staples1999 2000 2001MaxFigure IV-13 présente la comparaison des constantes de biodégradation trouvées enseptembre avec celles reportées dans la littérature. Les constantes de la campagne deseptembre sont plus cohérentes avec celles retrouvées par Jonkers et al. (2005) ou Staples etal. (2001). Les valeurs minimales et maximales des constantes du 4-NP (K 3 ) (0,09 - 0,19 j -1 )et NP 1 EC (K 2 ) (0,08 - 0,14 j -1 ) sont relativement proches de celles trouvées par Jonkers et al.(2005) au cours de leur campagne en été 2000 (4-NP : 0,138 à 0,21 j -1 et NP 1 EC : 0,138 -0,159 j -1 ).Mink (j -1 )0,250,20,150,10,0504-NPk (j -1 )0,20,150,10,050NP 1 ECk (j -1 )0,350,30,250,20,150,10,050NP 1 EOSept.Jonkers Jonkers Staples1999 2000 2001Sept.Jonkers Jonkers Staples1999 2000 2001Sept.Jonkers Jonkers Staples1999 2000 2001MaxFigure IV-13 : Constantes de biodégradation de la campagne de septembre vs. littératureLes sources diffuses de NP 1 EC et NP 1 EO ont été calées pour permettre au modèleProSe de simuler au mieux les concentrations de Conflans-S t -Honorine, Poissy etTriel-sur-Seine (Tableau IV-6). Dans le cas du NP 1 EC, les sources diffuses ont été estiméesentre 0,8 g.j -1 juste en aval de la STEP de Seine Aval à 0,3 g.j -1 à partir de Poissy. Lacomparaison de ces valeurs à celles de juillet souligne que les sources diffuses ont diminuéconjointement à la constante du NP 1 EC (K 2 ) (÷ 40 pour les sources, ÷ 33 pour K 2 ). Commeles sources diffuses symbolisent la biodégradation des précurseurs en NP 1 EC, il est logique deles voir diminuer de façon équivalente aux constantes de biodégradation du système. Aucontraire, dans le cas du NP 1 EO, les sources diffuses estimées en septembre (de 1,0 à 0,3 g.j -1 )sont du même ordre de grandeur que celles de juillet (1,5 à 0,02 g.j -1 ), tandis qu’entre les deuxcampagnes les constantes du NP 1 EO (K 1 et K 1 ’) sont triplées.Comme pour la campagne de juillet, à partir des constantes de biodégradation et sur labase de cinétique d’ordre 1, les temps de demi-vie des composés ont été calculés. Les tempsde demi-vie du 4-NP (entre 3,6 et 7,7 jours) et du NP 1 EC (entre 5,0 et 8,7 jours) sontnettement plus élevés qu’en juillet (≈ 0,20 jours). Ces temps de demi-vie sont nettementsupérieurs au temps de la campagne (59 h), laissant supposer que le transport est le processusmajeur qui régit le devenir des NP 1 EC et 4-NP dans le linéaire simulé. Dans le cas du NP 1 EO,le temps de demi-vie a diminué passant de 2 à 6 jours en juillet à environ 2 jours enMin176

Hooray! Your file is uploaded and ready to be published.

Saved successfully!

Ooh no, something went wrong!