Désolé j'ai ciné #8
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07/11<br />
CRAZY RICH ASIANS<br />
DE JON M. CHU. AVEC CONSTANCE WU, HENRY<br />
GOLDING... 2H01<br />
On l’attendant impatiemment, c’était le<br />
film évènement de cette fin d’année car 25<br />
ans après «Le Club de la chance» («The Joy<br />
Luck Club») en 1993, Hollywood continue<br />
sa lancée à l’image du récent «Black Panther»<br />
au casting majoritairement afro-américain<br />
en mettant en avant la communauté<br />
asiatique et plus particulièrement chinoise<br />
à travers l’adaptation du best-seller de<br />
Kevin Kwan du même nom sortie en 2013.<br />
Mondanité, excentricité et jet-set sont au<br />
coeur de «Crazy Rich Asians» qui, à défaut<br />
de révolutionner le genre, a le mérite d’enfin<br />
mettre sur grand écran une communauté peu<br />
représentée (n’en déplaise à certain.e.s) qui<br />
s’inscrit définitivement dans une dynamique<br />
de diversité au <strong>ciné</strong>ma sur laquelle on ne<br />
crache définitivement pas.<br />
Brillante professeure d’économie à NYU,<br />
Rachel Chu s’envole à Singapour en<br />
compagnie de son charismatique petit ami<br />
Nick Young pour le mariage de son meilleur<br />
ami - pour lequel il est également témoin<br />
-. Seule ombre au tableau, Rachel ne sait<br />
rien de la famille de son petit-ami et encore<br />
moins le fait que les Young est l’une des<br />
familles les plus riches du pays et que Nick<br />
est l’un des célibataires les plus convoités.<br />
Une fois arrivés là-bas, le couple va devoir<br />
faire face à un véritable choc des cultures,<br />
des générations et à une famille prête à tout<br />
pour les séparer.<br />
Jon M. Chu («Insaisissables 2») s’empare<br />
d’un best-seller pour nous offrir à l’écran ni<br />
plus ni moins qu’une comédie romantique