POSITION REPORT No. 199 - AOPA Switzerland

AOPA Switzerland 46 Position Report 198
Vertreter von AOPA Japan hatten die
Schweiz bereits einige Male besucht und
wertvolle Kontakte geknüpft. Und die sind
bei solchen Anliegen Gold wert. Und wie es
der Zufall wollte, fand im Mai 2004 das
IAOPA Treffen in Toulouse Frankreich statt,
an dem auch eine Delegation aus Japan
teilnahm. Dabei erklärten die Japaner, dass
sie gerne bereit seien, bei der Erkundung
ihres Luftraumes behilflich zu sein. Allerdings
zeigte uns das Studium von Japans
AOPA-Website, dass es gar nicht so einfach
ist wie in den USA oder Australien,
eine Lizenz zu erhalten. Aber wenigstens
die Hände ans Steuer eines GA Flugzeugs
zu legen, sollte immerhin möglich sein.
Der Flug mit der Lufthansa von Frankfurt
nach Osaka war ein Vergnügen. Ganz im
Gegensatz zur späteren Fortsetzung mit
US-Carriers. Wir liessen uns im Zentrum
der Riesenstadt Osaka nieder, mit 8.8 Millionen
Einwohnern ein wahrer Gigant. Dann
versuchten wir, uns an das emsige Treiben
der überaus freundlichen Einwohner zu
gewöhnen. Meistens zu Fuss oder dann mit
einer der vielen gut funktionierenden Bahnen.
Da es auch in Osaka so etwas wie die
Regenbogenkarte gibt, war das ein Kinderspiel.
Rasch gewöhnten wir uns an die
Ameisenperspektive über und unter der
Erde. Zu unserem Glück waren die Schilder
und Wegweise sehr touristenfreundlich
auch mit unseren Schriftzeichen versehen.
Der erste Versuch AOPA Japan zu erreichen,
war beeindruckend. Die Empfangsdame
am Telefon gab sich alle Mühe, meine
Absicht zu verstehen und mein Anliegen
entgegenzunehmen. Sie entschuldigte sich,
dass Ari Yamagata – so heisst der Vizepräsident
der AOPA Japan - nicht im Büro sei.
Er werde aber umgehend zurückrufen. Und
tatsächlich, keine fünf Minuten später klingelte
mein Telefon. Von da an erfolgte die
Verbindung meistens per Email oder Handy.
Vorerst galt es einen Taifun, das pazifische
notre plume et que nous avons trouvé un vif
intérêt auprès de Philippe Hauser de l’AOPA
Switzerland. Des représentants de l’AOPA
Japan avaient déjà fait plusieurs visites en
Suisse nouer des contacts précieux. Ils
valent de l’or dans de telles circonstances.
Et comme par hasard, un rassemblement de
l’IAOPA a eu lieu en mai 2004 à Toulouse en
France, et une délégation du Japon y a participé.
A cette occasion, les japonais ont
expliqué qu’ils étaient volontiers prêts à
aider les personnes qui souhaitaient faire
connaissance avec leur espace aérien. Une
visite sur le site internet de l’AOPA Japan
nous a déjà appris qu’il n’était pas aussi
facile d’obtenir une licence que cela l’était
aux Etats-Unis ou en Australie. Mais au
moins, il semblait toujours possible de pouvoir
prendre en mains les commandes d’un
avion de l’aviation générale.
Le vol avec Luftansa de Francfort à Osaka
fut un plaisir. Tout le contraire de ce que
nous avons vécu par la suite avec un transporteur
américain. Nous avons pris nos
quartiers au centre de cette immense ville
qu’est Osaka. Avec 8.8 millions d’habitants,
c’est un vrai géant. Ensuite, nous avons
essayé de nous habituer aux activités assidues
des habitants, par ailleurs très sympathiques.
Nous avons fait cette découverte
principalement à pied et parfois avec les
métros qui fonctionnaient parfaitement
bien. Comme Osaka est disposée comme
un arc-en-ciel, ce fût un jeu d’enfant. Nous
nous sommes bientôt habitués à cette perspective
de fourmi que ce soit sur ou sous
terre. Par chance, les panneaux et les indications
étaient également rédigés avec
notre alphabet, d’une manière très agréable
pour les touristes.
Notre première tentative d’atteindre AOPA
Japan a été impressionnante. La réceptionniste
s’est donné toute la peine possible
pour comprendre ce que je voulais et mon
désir. Elle s’est excusée que Ari Yamagata –